Le Deal du moment : -23%
(Adhérents Fnac) Kit de démarrage 3 ...
Voir le deal
99.99 €


touch me and you'll have a thousand enemies

W
H
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Absalom Naftali Zazzera
I've never, ever, ever, ever, ever met someone I believe in as little as you.
:copyright: Gordon Ramsay/John Doe
TW : dépression, idées et tentatives suicidaires


never trust or love a wild thing.
âge ~ Trente-sept ans, quel bel âge ! Absalom commence enfin à se sentir un minimum… grand. Mature. Après, à voir s’il tourne au bon millésime, ou au vinaigre. date et lieu de naissance ~ Né le huit juin 1986 à New York, au soir. Etoile du soir, espoir… sa mère a en tout cas bien choisi ses prénoms, car l’enfant né porte la paix, mais aussi les difficultés. nationalité ~ C’est un américain, rien de plus et rien de moins. Son nom aux consonnances italiennes lui est hérité de sa mère, qui n’a rien d’italien à part, certainement, quelques lointains ancêtres. Quant à son père, Absalom ignore ce qu’il lui a donné, car il ne le connaît tout simplement pas. métier ~ Comme beaucoup d’auto-entrepreneurs, il a trouvé sa voie dans le malheur. Licencié pour faute grave, lâché par ses proches, Absalom a construit sa boîte de façon fortuite. Il est aujourd’hui le dirigeant d’une école culinaire pour particuliers d’excellente renommée, et en est pour l’instant le seul instructeur. orientation sexuelle ~ Ce sont les femmes qui attirent ses passions, il n’y a aucun doute là-dessus. Il s’est déjà posé la question, mais non – les hommes le laissent sans émoi. statut civil ~ Divorcé depuis quelques années, il n’a tenté de rendre sérieuse aucune relation depuis. Des freins se sont créés, des obstacles sont apparus. Absalom juge qu’il ne sera plus jamais ni un bon époux, ni un bon père. Ni même un bon amant. Il n’a rien à offrir de bon. statut monétaire ~ On pourrait le penser aisé. Après tout, il connaît le succès. Des personnalités huppées le saluent dans la rue, des articles ont été écrits sur son entreprise. Mais, les apparences sont trompeuses, et Absalom nage dans des dettes causées par le jeu. Absalom n’en parle pas, c’est sa merde à lui, ses conneries d’un temps passé. groupe ~ The soul on fire – Absalom n’apprécie pas du tout de voir être déballé sur l’espace public les petits secrets de chacun et les racontars des autres. Il craint, qu’un jour, il ne retrouve son nom dans les lignes de The Cosmo. Des choses qu’il aimerait garder cachées, il y en a un tas ! Et ce qui se raconte entre les couteaux et les planches à découper de ses élèves lui suffit largement en termes de racontars.


all night long slow down the song
MORE THAN WORK Inspiré par sa famille, composée de raclures plus infâmes les unes que les autres, et de la conseillère sociale qui venait lui faire et défaire ses valises pour aller de solution d’accueil en solution d’accueil, le brun a eu un parcours ambigu. La rue, il connaît. Il y a traîné, et il y a travaillé. Il a connu le centre correctionnel pour mineur, et a bossé pour le milieu carcéral. Pas en tant que maton, non. La flicaille, c’est pas trop son truc. Absalom se prend encore souvent la gueule avec ses derniers, d’ailleurs. Punir, c’est pas sa came. Il conseille, lui. Conseiller en milieu carcéral, puis agent de classement. Ensuite, agent de libération conditionnelle, et agent de probation. Des canailles, il en a suivi plus de mille. Il en a entendu, et vu, des trucs pas nets. Certains roublards ont dormi sur son canapé, et lui sur le leur. Des soirées à parler, à picoler, à fumer – et pas que du tabac, et pas que de la ganja. Absalom n’est pas tout blanc, et la vie n’est pas toute rose. Ça lui a valu son poste, sa femme et ses gosses, cette histoire de blanc et de rose, il y a quelques années. La rue, elle, ne l’a pas quittée. Elle lui rappelle souvent qu’il lui manque, et on peut encore le voir jouer à la belote avec les tatoués au noir de fumée qui ont encore dans la bouche le goût amer que laissent les barreaux de fer.

A VOCATION C’est ses parties de belote qui ont permis au brun de retomber sur ses pattes. Un immigré qui s’est plaint que ses enfants, nés sur le sol américain, n’aimaient pas emmener au lycée ce que leur mère leur préparait. Dans leurs lunchboxes, des odeurs et des couleurs trop différentes de leurs petits camarades. Alors Absalom a donné quelques conseils culinaires à la matrone, et puis à quelques-unes de ses amies. Semaines après semaines, un petit club de cuisine du dimanche après-midi s’est créé chez lui. L’une a ramené l’autre, pour faire des présentations et créer des liens. Une journaliste en quête d’informations pour un reportage sur les dessous des rues newyorkaises s’est infiltrée, pour picorer quelques idées. Des filles de familles influentes en bisbille se sont retrouvées, et on permit à différents camps de se comprendre, et parfois de s’allier. Un avocat est arrivé, désespéré de faire entendre raison à la femme bientôt divorcée de son client… Une population nouvelle se forma petit à petit dans son club, qui aussi passa de loisir à activité à temps plein. Des cours du mercredi au dimanche. Lundi et mardi fériés, consacrés à la belote dans les estaminets miteux et crasseux. De quoi trancher avec Madame la femme du sénateur ou Madame et ses rubis achetés avec l’argent sale de son mari mafieux.

MOMMY On s’imagine qu’il a eu une enfance horrible, et pourtant Absalom parle de ses jeunes années avec sourire et nostalgie. Il ne se considère pas comme un enfant ayant été maltraité. Elle a fait ce qu’elle a pu, sa maman. Elle a fait ce qu’elle a pu, avec ses trois enfants sans pères, ses démons et sa dépression. Mais parfois, c’était trop pour elle, alors elle appelait les services sociaux et demandait qu’on prenne ses gamins, pour qu’elle pleure de tout son saoul sans rajouter à ses plaintes cinq paires d’yeux peinés. Maman pleurait, et pleure toujours beaucoup. Elle fait des cauchemars et songe souvent à se donner la mort. Elle a même déjà vraiment essayé. Les pompiers connaissent bien le chemin jusqu’à chez elle, maintenant. Et ça, cette meurtrissure du cœur, hélas, Absalom en a hérité. Maman lui a transmis ses superbes yeux bleus et son vague à l’âme poisseux. Il le cache, mieux qu’elle. Il prend ses cachets, (un peu) mieux qu’elle. Il se force à se lever, à manger, à se laver. Elle en est fière, de son grand fiston, et lui se force à sourire et à espérer. Pour sentir son cœur battre, le brun vit à cent à l’heure, et met tout l’amour qu’il n’a pas pour lui dans la vie d’autrui. Absalom, on dit, c’est une jolie éclaircie. Celui qui fait se relever, et qui ne se plaint jamais. Celui qui pourtant, grelotte et tremble dans le froid de son âme esseulée. Il y a de la pluie en lui, et parfois, sans faire gaffe, il le laisse entrevoir. Un orage ! Un tic, un cri. Une phrase assassine. Une once de rage, vite remballée. Le new-yorkais ne se permet pas de pleurer, de ce fait la colère prend le relais. Malgré lui. Contre lui. Et après, il a le hoquet, tellement il se sent contrarié. Cela peut durer des jours, l’empêcher de parler, manger ou se reposer. Chamboulé par ses propres sentiments. Beaucoup en rient, mais certainement pas lui. Ce hoquet, c’est ses sanglots.

AND DADDY Cela fait depuis un tout petit peu plus d’un an qu’il n’a pas vu ses enfants. Les visites, au fil du temps, se sont fait de plus en plus espacées, et courtes, et difficiles. Absalom se le demande, de temps en temps : est-il encore leur père ? Petit à petit, leurs visages s’effacent de sa mémoire, et les photos disparaissent de son chez-lui. Ils grandissent et changent si vite ! Pourrait-il encore les reconnaître dans le métro newyorkais ? Habitent-ils encore du côté du Queens ? Absalom ressent comme du poil à gratter sous sa peau, et même quelques verres de trop ne parviennent pas à estomper cette désagréable sensation. Même, il se sent sale et puant. Minable. Pacotille, père en carton. Mais, c’est tout, c’est ainsi. C’est un choix qu’il a finalement fait. Le brun laisse tout glisser, et ce n’est finalement pas très grave. En même temps, l’appellent-ils ? Cherchent-ils à avoir de ses nouvelles ? Rien, que ce soit pour la fête des pères, ou son anniversaire. Pas même un sms. Sur le moment, cela lui a foutu une de ses rages ! Espoirs brûlés. Mais, il se le répète – ce n’est finalement pas très grave. Lui-même a grandi sans père, et cela n’a pas été une grande cassure pour son petit cœur ! Il s’en contrefout, de son géniteur. Ou, plutôt, il s’en contrefoutait. Parlons au passé. Ce triste anniversaire, ces un an sans ses enfants, lui a remué tous les viscères. Maintenant, Absalom se pose plein de questions sur la partie masculine qui a causé sa naissance. Est-ce qu’il aimait maman ? Est-ce qu’il l’aimait, lui ? Sait-il qu’il est père, et plus encore, son père à lui ? Que penserait-il de l’abandon silencieux d’Absalom envers ses enfants ? Compatirait-il, ou le houspillerait-il ? Dans ses traits, Absalom recherche ce qui ne vient pas de sa mère. Et un jour, il osera lui demander, à elle, comment il s’appelle, et qui il est. Oh, ces putains d’angoisses, de remises en question, de recherches de soi-même… il s’en passerait bien, Absalom.

PLAY THE HAND YOU’RE DEALT Ses activités sont nombreuses, et son cercle social bien rempli. Déjà, être auto-entrepreneur, avec un projet en pleine expansion, cela occupe toutes les journées, et une bonne partie des nuits. Parti de rien, Absalom a développé un tout. Une petite école de cuisine, d’apparence sans prétentions. Des cours aux buts différents, aux publics éclectiques. Les cours de pâtisserie végane, suivi par une majorité de jeunes newyorkais aux idées progressistes. Les cours de b.a.-ba en cuisine, où on retrouve beaucoup d’actifs quarantenaires, en quête d’un renouveau dans leur vie affective. Les cours de travail du cru, un peu plus pointus, où on retrouve des personnages excentriques, et où le rire est très souvent présent. Et bien évidemment, les cours du noble, où on revisite les classiques et les mets raffinés, où toute la haute société newyorkaise se bouscule. Pour y rentrer, il faut déposer un dossier, à ce cours – mais chut, c’est une information qu’il faut garder discrète. Il y en a bien d’autre, des cours. Le brun ne manque pas d’idées. Il prévoit d’embaucher, d’acheter de nouveaux locaux, et de faire plein de formations, aussi, juste pour lui. En comptabilité, en fiscalité, en connaissance des produits et des cuisines du monde. Parce qu’à la base, il est assistant social, pas cuisiner – même s’il a toujours aimé faire la popote, comme disent ses potes bourrus pour qui la cuisine, c’est pour bobonne. Bref, Absalom s’occupe, et s’use avec entrain. Cela lui laisse juste assez de temps pour participer à tous les tournois de belote de New York, aime à dire en plaisantant le brun. Alors qu’en fait, c’est le blackjack, le baccarat et le poker sa vraie passion. Il y était bon, tellement bon, qu’on murmurait qu’il savait compter les cartes ! Sauf qu’il y a fait passer ses économies, et a explosé le plafond de toutes ses cartes de crédit, avec ses conneries. A son divorce, il s’est saboté. Il a joué, médiocrement. Compulsivement. Cherchant une raison supplémentaire de s’en vouloir. Espérant que ce serait suffisant, cette fois, pour qu’il ose en finir avec lui-même. Hélas, la vie n’a pas voulu le lâcher, et il est toujours là, à traîner avec contrition des dettes incroyables. Absalom fait partie d’un groupe de soutien, depuis un long moment. Il tient bon. Poker est devenu belote. Les casinos sont devenus des buvettes. Sa voiture, vendue, a fait place au métro. Son appartement, une location dans le Bronx, est tristement vide. Rien ne lui appartient, et son argent est gagné pour le plaisir de ses créanciers. Selon ses derniers calculs, si tout se passe bien, il aura tout remboursé à ses soixante-douze ans.

AND HOPE FOR THE BEST Il n’a peut-être rien dans ses poches, mais il en a dans le crâne. Absalom, c’est l’as de la débrouille. Vif d’esprit, plein de connaissances utiles. Voiture en rade ? Machine à laver qui n’essore plus ? De ses dix doigts, d’un  bout de ficelle et d’un rouleau de scotch, Absalom vous fait des miracles. Avoir grandi dans les quartiers pauvres de New York force à obtenir certains savoirs pratico-pratiques ! L’école, il l’a souvent séchée pour donner un coup de main à son oncle plombier, ou au voisin garagiste. Absalom sait même jouer du piano, tiens, préférant aller jusqu’à frotter de son cul les bancs de l’église de son quartier plutôt que ceux de son lycée. Pas besoin de préciser que l’école, pour lui, c’était fini à dix-huit ans pile. Il connaît tous les bons plans de la ville, et c’est un champion du couponing. Le brun arrive à faire des feux d’artifices à partir d’étincelles. Partir pour deux-cents dollars pour un weekend sous le soleil de Californie ? Possible ! Demandez-lui, il vous dira comment faire. Le quasi-quarantenaire a la main sur le cœur – même s’il n’a pas la langue dans sa poche. Engueuler pour mieux aider, c’est sa devise, on pourrait croire. Sa voix a fait sonner les tympans de plus d’un, mais pour l’instant la vie ne lui a pas trop mal rendu la monnaie de sa pièce. Son plus grand Judas, c’est lui-même. Pas les autres. Les autres, généralement, ils l’adorent. Le seul qui semble lui en vouloir au point de chercher à l’anéantir, c’est lui.


cause we're ready for the fame.
FRIENDS THAT CAN'T STAND EACH OTHER // (H ou F) Un damné de la vie qu’il a rencontré alors qu’il était assistant social. Même si aujourd’hui il ne l’est plus, Absalom a gardé des liens étroits avec ce dernier. Ils ont le chic, une fois réunis, pour se mettre dans des situations inattendues. Le truc, c’est qu’ils s’engueulent tellement souvent, qu’on a du mal à penser qu’ils sont prêts à tout l’un pour l’autre. Une amitié compliquée, tendue, mais incroyablement solide et sincère.

I DREAM ABOUT YOUR PAINFUL DEATH // (H ou F) Un coup de couteau dans le dos. Une personne qui s’est rapprochée de lui pour aider son ex-compagne à récupérer absolument tout ce qu’ils avaient lors de leur divorce. La garde exclusive de leurs enfants, leur appartement si cher payé, quasiment toutes leurs économies, et même leur animal de compagnie. Absalom en a terriblement souffert, et s’est juré qu’un jour, il rendra à cette personne la monnaie de sa pièce, fois mille. Il lui fait la misère dès qu’il en a l’occasion !

WORDS, ONLY WORDS // (H ou F) Ils ne se sont jamais vus, mais cela fait des mois qu’ils communiquent ensemble. Tout est parti d’un mot mal adressé, et les voilà partis dans des discussions intenses. Ils font leur possible pour ne pas trop en dévoiler. Un accord tacite : ne pas dire qui ils sont et de ce fait, ne pas chercher à se rencontrer. Leurs échanges portent sur des idées, ou des faits. Le dernier livre lu, la dernière exposition vue. Mais, tout peut être amené à changer, par un mauvais (ou bon ?) coup du sort…

PLEASE, DO NOT IDEALIZE ME // (H ou F) Absalom, c’est son parrain, et même un peu plus. Les conseils du quasi-quarantenaire sont toujours pris en compte, et son parcours de vie, même si chaotique, est vu comme une source d’inspiration. Plus il/elle grandit, plus ils deviennent proches, ce qui met mal à l’aise Absalom, qui en aucun cas ne veut prendre un rôle qu’il considère ne pas avoir à prendre. Lui, il est là pour les cadeaux, les moments de découverte… il ne veut pas être la figure paternelle qui ne serait pas le père, ou le mentor un peu trop apprécié.


cause we're ready for the fame.

Spoiler:

Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
bienvenue, hâte de savoir ce que tu vas faire de ton perso, j'aime beaucoup le prénom :7033:
I Dare you
I Dare You
Messages
Rp posté(s)
Pseudo IRL : Staff de WOH
Pronom(s) IRL : Elles
Âge IRL : Osef.
Faceclaim : No one.
Crédits : Midnight Shadow (av.), swifit (gif), gif-hunts-for-you (gif profil)
Multicomptes : None.
Statut actuel : Présent.e.s
Contact via MP : Oui
Triggers : //
Warnings : //
Âge : Forever Young
Statut civil : Certains disent que je serais en couple avec mon ordinateur ou beaucoup trop en amour avec moi-même, je vous laisse juger.
Orientation sexuelle : Potinsexuel.le.
Métier(s)/Étude(s) : Bloggeur, est-ce un emploi ? oui car j'adore entendre vos opinions mitigés à mon sujet
Quartier de résidence : Peut-être dans manhattan, peut-être dans brooklyn ou même le bronx. malgré vos efforts de recherches je reste muet comme une tombe.
Image/gif du profil : touch me and you'll have a thousand enemies 1af4d6adf8c167edebe74f4c663ddf06ea43eec7
Zone libre :
Got a secret, can I keep it ?
{ Compte IDY }
Image/gif sous l'avatar : touch me and you'll have a thousand enemies Tumblr_oz7peqrCwA1wfzj2do7_400
Image/gif de la barre des sujets : touch me and you'll have a thousand enemies Tumblr_p39xxxUfKc1wfzj2do5_400
Messages : 1658
Rp postés : -3
Date d'inscription : 28/03/2023

   https://wicked-society.forumactif.comhttps://wicked-society.forumactif.comhttps://wicked-society.forumactif.com/t1915-i-dare-you-classehttps://wicked-society.forumactif.com
I Dare You
bienvenuuuue il est mignon ❤
ommmmg comment ton pseudo me dit vaguement quelque chose mais je ne me souviens plus où 1194034422 1340082138
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
1117208202 1117208202 1117208202 1117208202 1117208202 ce pseudo et FINN !!!! quelle bonne surprise, je ne l'ai que trop rarement croisé 1194034422 1194034422 je sens que ce personnage va être LOURD LOURD LOURD ! tellement mais tellement pressé d'en lire davantage, surtout avec cette plume 3364237943 1023187298 gw34mt gw34mt

je réserve ton avatar immédiatement, te souhaite la bienvenue à la maison, j'espère que tu t'y plaira et j'ai hâte d'en savoir plus sur ce personnage de fifou :twoh: :twoh:
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Oh je ne connais pas ce fc 2369551186 joli choix, bienvenue parmi nous, c'est bien trop vide qdcmgw
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
bienvenue parmi nous avec cte bombe ❤
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Bienvenue parmi nous 859726454
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Bienvenue sur le forum 859726454
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
:coeur: Merci à tous pour vos mots de bienvenue ! :coeur: J'espère que je me ferai ma petite place tranquillement, douillettement, parmi vous. Ravie que le FC et le pseudo plaisent, j'ai quand-même mis plusieurs heures à me décider.p43msc

J'ai rajouté quelques informations, dont les liens possible, si jamais certains sont déjà intéressés ma boîte à MP est ouverte. :coeur: Vu que l'histoire n'est pas encore totalement fixée pour mon personnage, je peux encore modifier des trucs pour donner vie à des liens, etc. 1194034422

@Camila Renfield je crois bien que j'étais sur un de tes anciens forums, les retrouvailles du hasard ! 2570226144 Mais je n'en dirai pas plus. C'est ma vilennie naturelle. whistle

@Ares Selinofoto merci pour la réservation d'avatar et j'espère que la suite sera aussi bien que le début, quelle pression tu me mets là ! :threat:
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
cette fiche gk8p8b *** 3949598346
magnifique, j'ai adoré ce que j'ai lu ! ne parlons pas du combo fc + pseudo qui est pépite 3364237943
j'aime beaucoup ta plume, bienvenue chez toi gw34mt je vais creuser mes méninges pour trouver quelque chose qui les lie 38041711
Messages
Rp posté(s)

   
Contenu sponsorisé