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A little coffee to start the day off right (devon)
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Comme tous les jours, la journée démarre très tôt pour Devon. Son réveil n'a même pas le temps de sonner qu'il est déjà debout et qu'il quitte la chambre sur la pointe des pieds sans même se retourner ou un geste tendre pour sa fiancée. Leur appartement grouille encore de cartons de leur déménagement, toutes leurs affaires n'étaient pas encore arrivées de Seattle, mais Devon avait déjà tout ce dont il avait besoin pour son jogging matinal. Il n'arrive toujours pas à se rendre compte qu'il est de retour à New York, ville où il a grandi, ou ses rêves sont nés et ville qu'il a dû quitter pour les réaliser. Seulement, il n'est plus l'adolescent qu'il était en partant, aujourd'hui c'est un sportif reconnu et ambitieux. Son retour signifie surtout beaucoup pour sa carrière, engagé comme nouveau quaterback dans l'équipe des Giants, il lui tarde déjà de porter les couleurs mais surtout prouver sa valeur à cette nouvelle équipe. Il dispose de quelques jours avant de faire son entrée au stade et ainsi faire connaissance avec le reste de l'équipe. Ça ne fait quelques jours qu'il a déposé ses valises dans ce somptueux appartement que sa fiancée avait entièrement décoré et choisie. Si ça ne tenait qu'à lui, Devon, ce serait surement tourné vers quelques chose de beaucoup plus simple, mais… sa fiancée a toujours eu tendance à voir les choses en grand. Un somptueux penthouse en haut d'un immeuble de Manhattan, le rêve pour beaucoup. Pour Devon, ce n'est pas forcément l'idéal, mais il s'adapte. À peine sortie de son lit, il saute déjà dans sa tenue de sport et ses basket puis attrape son téléphone ainsi que ses écouteurs et s'esquive en douceur.(outfit) Il opte pour les escaliers plutôt que l'ascenseur, ça fait un bon petit échauffement. Quand il arrive en bas, un portier le salut par son nom en lui ouvrant la porte, lui souhaitant une bonne journée. Il sourit d'un air crispé puis engouffre ses écouteurs dans ses oreilles avant de partir au pas de courses.
La musique dans les oreilles, il s'élance en courant à un rythme régulier. Il rejoint central park le temps de son footing. Ce genre de moment n'appartient qu'à lui, il s'évade, ne pense à rien et se contente de se concentrer sur la musique. Quand il revient à la civilisation, la ville commence tout juste à se réveiller. La vie nocturne laissant place à la frénésie de la journée, cette ville ne s'arrête jamais de tourner. Quand il reprend le chemin en sens inverse pour retourner chez lui, il s'arrête au Starbuck ou il a pour habitude de prendre son café. Il y a beaucoup de monde qui circule, il avait presque oublié combien les New Yorkais étaient toujours pressés. Il se fraye un chemin jusqu'au porte, mais quand il tente de l'ouvrir, une jeune femme lui rentre dedans assez brusquement au point d'en lâcher toutes ses affaires. - Est-ce que tous va bien ? Je suis désolé, laissez-moi, vous aidez ! Il se baisse pour ramasser les quelques dossiers qui traine au sol avant de relever les yeux vers cette fille aux cheveux sombre. Cette fille qu'il pourrait reconnaitre entre mille tant il a détaillé son visage des centaines de fois. Il reste un instant troublé par la jeune femme. - Je… euh, viens prendre un café. Dit-il bêtement en lui tendant les dossiers qu'il tenait dans ses mains. - Si je m'attendais à te croiser ici ! Tu… tu vas bien ?
La musique dans les oreilles, il s'élance en courant à un rythme régulier. Il rejoint central park le temps de son footing. Ce genre de moment n'appartient qu'à lui, il s'évade, ne pense à rien et se contente de se concentrer sur la musique. Quand il revient à la civilisation, la ville commence tout juste à se réveiller. La vie nocturne laissant place à la frénésie de la journée, cette ville ne s'arrête jamais de tourner. Quand il reprend le chemin en sens inverse pour retourner chez lui, il s'arrête au Starbuck ou il a pour habitude de prendre son café. Il y a beaucoup de monde qui circule, il avait presque oublié combien les New Yorkais étaient toujours pressés. Il se fraye un chemin jusqu'au porte, mais quand il tente de l'ouvrir, une jeune femme lui rentre dedans assez brusquement au point d'en lâcher toutes ses affaires. - Est-ce que tous va bien ? Je suis désolé, laissez-moi, vous aidez ! Il se baisse pour ramasser les quelques dossiers qui traine au sol avant de relever les yeux vers cette fille aux cheveux sombre. Cette fille qu'il pourrait reconnaitre entre mille tant il a détaillé son visage des centaines de fois. Il reste un instant troublé par la jeune femme. - Je… euh, viens prendre un café. Dit-il bêtement en lui tendant les dossiers qu'il tenait dans ses mains. - Si je m'attendais à te croiser ici ! Tu… tu vas bien ?
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Une vie à 100 à l'heure, ça résume plutôt bien. Même si, pour sa part, Devon se sent plus à l'aise loin de toute cette effervescence, il ne prétend pas détester la ville, au contraire… mais il pourrait s'en passer, il aurait même préféré habiter un peu en retrait plutôt qu'en plein cœur de cette ville qui ne dort jamais. Ville où il n'était pas certain de revenir un jour, mais il ne s'est pas forcément fait prier pour accepter la proposition faite par les Giants, bien au contraire. En plus d'être un point bénéfique pour sa carrière, c'est également un moyen pour lui de revenir dans sa ville natale et peut-être y retrouver des gens qu'ils à longtemps côtoyé. Songe-t-il à une certaine fille aux cheveux sombre ? Peut-être bien… la dernière fois où ils se sont croisés remonte à quelque temps déjà et bien qu'il ne soit pas vraiment fière du résultat, la revoir a remué pas mal de chose dans son esprit au point de le pousser à remettre en question beaucoup de chose.
Justement, en parlant du loup. Si en ce levant ce matin on lui avait dit qu'il allait tomber nez à nez avec elle, il n'y aurait pas cru. Cette ville est grande, combien il y a-t-il de chance pour qu'ils se croisent tous les deux, qu'ils décident l'un comme l'autre de prendre un café au même endroit ? Peu de chance… mais pas impossible. Quand son regard se pose sur la jeune femme, Dev reste quelques secondes troublé de la revoir. Il ramasse les quelques affaire qui trainent au sol puis lui rend. Il se rend compte de l'idiotie de sa réponse et sourire amusé tout en se redressant doucement. - Oui, c'est vrai... c'est idiot. Contrairement à elle, Devon la contemple alors que la brune évite soigneusement de le regarder dans les yeux, il sent comme un certain malaise et c'est surement normal après leur dernière rencontre. Il prend la peine de lui demander si elle va bien à titre personnel, mais aussi par politesse. - Oui, plutôt… moi non plus, combien il y avait de chance pour qu'on se croisent ici ? La ville est immense et il faut pourtant qu'on décide de prendre notre café au même endroit. Une fois ses affaires rendues, il plonge ses mains dans le fond des poches de son short, ne sachant pas trop quoi lui dire. Il remarque son sourire timide ainsi que le bref regard qu'elle ose lui accorder avant de très vite regarder ailleurs, comme si elle n'osait pas le regarder. - Eh bien ... il n'a pas le temps d'expliquer quoi que ce soit puisqu'elle enchaine. Il comprend surtout qu'elle souhaite en savoir plus, elle n'a jamais été du genre à passer par quatre chemins. - La grosse pomme me manquait. Comment-ce-t-il avant de reprendre. - Seattle, c'est pas mal, il pleut souvent là-bas, mais je suis revenu habiter ici, tu as devant toi le nouveau quaterback des Giants Annonce-t-il avec une certaine fierté et ce sourire qui le définit tellement en coin des lèvres. - Tu… as le temps de prendre un café ? Je t'invite !
Justement, en parlant du loup. Si en ce levant ce matin on lui avait dit qu'il allait tomber nez à nez avec elle, il n'y aurait pas cru. Cette ville est grande, combien il y a-t-il de chance pour qu'ils se croisent tous les deux, qu'ils décident l'un comme l'autre de prendre un café au même endroit ? Peu de chance… mais pas impossible. Quand son regard se pose sur la jeune femme, Dev reste quelques secondes troublé de la revoir. Il ramasse les quelques affaire qui trainent au sol puis lui rend. Il se rend compte de l'idiotie de sa réponse et sourire amusé tout en se redressant doucement. - Oui, c'est vrai... c'est idiot. Contrairement à elle, Devon la contemple alors que la brune évite soigneusement de le regarder dans les yeux, il sent comme un certain malaise et c'est surement normal après leur dernière rencontre. Il prend la peine de lui demander si elle va bien à titre personnel, mais aussi par politesse. - Oui, plutôt… moi non plus, combien il y avait de chance pour qu'on se croisent ici ? La ville est immense et il faut pourtant qu'on décide de prendre notre café au même endroit. Une fois ses affaires rendues, il plonge ses mains dans le fond des poches de son short, ne sachant pas trop quoi lui dire. Il remarque son sourire timide ainsi que le bref regard qu'elle ose lui accorder avant de très vite regarder ailleurs, comme si elle n'osait pas le regarder. - Eh bien ... il n'a pas le temps d'expliquer quoi que ce soit puisqu'elle enchaine. Il comprend surtout qu'elle souhaite en savoir plus, elle n'a jamais été du genre à passer par quatre chemins. - La grosse pomme me manquait. Comment-ce-t-il avant de reprendre. - Seattle, c'est pas mal, il pleut souvent là-bas, mais je suis revenu habiter ici, tu as devant toi le nouveau quaterback des Giants Annonce-t-il avec une certaine fierté et ce sourire qui le définit tellement en coin des lèvres. - Tu… as le temps de prendre un café ? Je t'invite !
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C'est une agréable surprise de tomber sur elle, non pas qu'elle soit la seule personne qu'il souhaite voir dans cette ville, ou presque, mais… c'est agréable de la revoir bien qu'il subsiste un certain malaise entre eux depuis leur dernière rencontre. Mais ils ont toujours eu cette complicité ensemble, cette alchimie qui rendait leur couple si solide. Le souvenir de cette petite anecdote le fait doucement sourire, elles lui semblent tellement leurs années lycée, quand tous étaient encore si simple. - Oui, même carrément impossible. Et puis de toute façon, les Maths, ce n'était vraiment pas la matière dans laquelle il était le meilleur. Le souvenir reste tout de même agréable, ce temps où il ne devait pas se préoccuper d'autre chose que ses cours, les matchs et les sorties entre potes. - Toi plus que moi, je viens ici uniquement parce que c'est sur ma route, mais je te crois sur parole quand tu dis que c'est une excellente adresse. Il a vécu des années dans cette ville, mais New York change constamment. Il conserve quelques souvenirs de ses sorties entre amis, mais il imagine que la plupart des bars et autres lieux qu'il fréquentait ne sont plus vraiment d'actualité. Quoi qu'il en soit, Devon lui annonce avec une certaine fierté qu'il est de retour en ville parce qu'il est le nouveau quaterback des Giants. Et Izabella sait mieux que personne combien c'était un rêve pour lui de gravir ainsi les échelons afin de jouer dans une véritable équipe de pro. La réaction de la jeune femme ne tarde pas, son sourire si communicatif, ce regard qu'elle pose sur lui, après tant d'années ça lui donne toujours cette même impression, une sensation agréable. Et ce surnom qu'elle lui a tant de fois donné au cours de ses matchs. Elle n'en loupait aucun, toujours présente pour l'acclamer. C'est assez étrange de l'entendre l'appeler ainsi après autant de temps. - Merci ! il m'en aura fallu du temps, mais j'y suis ! Je vais porter les couleurs des Giants ! Je t'avoue que même moi, j'ai du mal à y croire des fois ! Et pourtant, c'est une réalité, d'ici quelques jours, il va entrer dans le stade des Giants et faire partie de cette équipe qu'il admire depuis si longtemps.
Il souhaite volontiers prolonger ce tête-à-tête en sa compagnie si son agenda le lui permet bien entendu. Pour le moment, Devon dispose de quelques jours devant lui, pour le moment ses journées se résume à déballer des cartons et faire du sport alors prendre un café avec elle reste surement sa meilleure activité de toute la journée. Il est content d'entendre qu'elle dispose d'un peu de temps libre à lui accorder. - J'ai de la chance alors ! Allons-y ! Lance-t-il avec un beau sourire aux lèvres avant de lui ouvrir la porte pour la laisser entrer sans la bousculer cette fois. Ils attendent leur tour sans s'adresser un mot, Devon lève les yeux vers la liste des boissons proposés, il met un petit bout de temps pour se décider, il opte pour un cappuccino à la vanille et ose même se faire plaisir avec un cookie, car il sent déjà que son estomac cris famine. Il la laisse passer sa commande en premier, un nouveau sourire étire ses lèvres. - Je t'invite, tu prend ce qui te fait plaisir ! Pour moi, ce sera un cappuccino saveur vanille et un cookie au chocolat. Il lui jette un regard amusé avant de reprendre. - J'ai fait mon footing… ça creuse. Lance-t-il en haussant les épaules avec ce même ton qu'elle avait pris quelques instants plus tôt. Une complicité qui semble toujours intacte et ça fait plaisir à voir. Une fois leur commandée récupérée et payée, Devon la suit jusqu'à une petite table reculée du café et s'installe en face d'elle. - C'est assez étrange de revenir ici après tant d'années, mais je suis content d'être de retour. New York me manquait un peu, je dois dire… Il attrape le sucre et en met une bonne quantité dans sa boisson, chose qu'il faisait déjà et il n'a jamais perdu l'habitude. - Elle est fan, elle rêvait de venir vivre ici. Elle nous avait déjà trouvé un logement avant même que je signe mon contrat, elle était aussi impatiente découvrir la ville où j'ai grandi même si je trouve que beaucoup de choses ont changé depuis. Ajoute-t-il avec une certaine nostalgie. - Je suis passé devant ce petit dinner ou on allait souvent boire des milkshakes après les cours et il c'est transformé en salon de thé. Lieux emblématique qui n'existe plus et il surement le premier de beaucoup d'autre. Il mélange son café puis relève les yeux vers elle. - Mais assez parlé de moi, comment est-ce que tu vas ? Les affaires ont l'air d'aller bien pour toi !
Il souhaite volontiers prolonger ce tête-à-tête en sa compagnie si son agenda le lui permet bien entendu. Pour le moment, Devon dispose de quelques jours devant lui, pour le moment ses journées se résume à déballer des cartons et faire du sport alors prendre un café avec elle reste surement sa meilleure activité de toute la journée. Il est content d'entendre qu'elle dispose d'un peu de temps libre à lui accorder. - J'ai de la chance alors ! Allons-y ! Lance-t-il avec un beau sourire aux lèvres avant de lui ouvrir la porte pour la laisser entrer sans la bousculer cette fois. Ils attendent leur tour sans s'adresser un mot, Devon lève les yeux vers la liste des boissons proposés, il met un petit bout de temps pour se décider, il opte pour un cappuccino à la vanille et ose même se faire plaisir avec un cookie, car il sent déjà que son estomac cris famine. Il la laisse passer sa commande en premier, un nouveau sourire étire ses lèvres. - Je t'invite, tu prend ce qui te fait plaisir ! Pour moi, ce sera un cappuccino saveur vanille et un cookie au chocolat. Il lui jette un regard amusé avant de reprendre. - J'ai fait mon footing… ça creuse. Lance-t-il en haussant les épaules avec ce même ton qu'elle avait pris quelques instants plus tôt. Une complicité qui semble toujours intacte et ça fait plaisir à voir. Une fois leur commandée récupérée et payée, Devon la suit jusqu'à une petite table reculée du café et s'installe en face d'elle. - C'est assez étrange de revenir ici après tant d'années, mais je suis content d'être de retour. New York me manquait un peu, je dois dire… Il attrape le sucre et en met une bonne quantité dans sa boisson, chose qu'il faisait déjà et il n'a jamais perdu l'habitude. - Elle est fan, elle rêvait de venir vivre ici. Elle nous avait déjà trouvé un logement avant même que je signe mon contrat, elle était aussi impatiente découvrir la ville où j'ai grandi même si je trouve que beaucoup de choses ont changé depuis. Ajoute-t-il avec une certaine nostalgie. - Je suis passé devant ce petit dinner ou on allait souvent boire des milkshakes après les cours et il c'est transformé en salon de thé. Lieux emblématique qui n'existe plus et il surement le premier de beaucoup d'autre. Il mélange son café puis relève les yeux vers elle. - Mais assez parlé de moi, comment est-ce que tu vas ? Les affaires ont l'air d'aller bien pour toi !
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