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tw : notions d'alcoolisme
(OOTD) le jeton roule entre ton index et ton majeur alors que le liquide ambré danse dans son verre. Assis au bar, sans broncher, il observe le léger mouvement du liquide au rythme des basses et de la musique. Il n'y a pas touché, n'y touchera pas. Il s'impose ces instants là régulièrement, comme pour se rappeler d'où il vient et ce qu'il doit encore accomplir. Ne plus boire, c'est aussi se promettre de changer, transformer son image et se racheter une conduite. C'est oublier cette garce qui s'est bien moquée de lui et tous les gens qui se sont un jour servis de son statut pour entrer dans des soirées où il était le seul à être invité. L'Europe ne lui manque pas, pas un instant. New York lui offre toutes les opportunités du monde mais il n'en profite pas vraiment. Trop concentré à ne pas sombrer, ne plus sombrer. La présence de son frère le rappelle constamment à l'ordre, lui aussi. Non pas qu'il aie des comptes à lui rendre mais au fond, le fait d'échouer si près de Barbie lui donnerait le sentiment de lui donner raison. Alors une à deux fois par semaine, il s'impose cet exercice compliqué. Il se pointe dans un bar, s'installe au comptoir, commande un soft et un whisky. Il ne boit que le soft mais contemple l'alcool des heures. Il a sans doute l'air stupide, il s'en moque. Ici, contrairement à l'Europe, on ne le connait pas encore ou très peu. On ne lui parle pratiquement pas, on ne l'aborde jamais. Il ne s'en réjouit pas, lui qui court après la gloire depuis toujours. Le jeton roule encore entre ses doigts alors que la musique devient de plus en plus fort. Quelle heure est-il ? Il l'ignore, trop concentré à son rituel. Ne pas céder, il se répète en boucle. Ne pas craquer et pourtant, il voudrait. Un verre, ça fait du bien, non ?
(OOTD) le jeton roule entre ton index et ton majeur alors que le liquide ambré danse dans son verre. Assis au bar, sans broncher, il observe le léger mouvement du liquide au rythme des basses et de la musique. Il n'y a pas touché, n'y touchera pas. Il s'impose ces instants là régulièrement, comme pour se rappeler d'où il vient et ce qu'il doit encore accomplir. Ne plus boire, c'est aussi se promettre de changer, transformer son image et se racheter une conduite. C'est oublier cette garce qui s'est bien moquée de lui et tous les gens qui se sont un jour servis de son statut pour entrer dans des soirées où il était le seul à être invité. L'Europe ne lui manque pas, pas un instant. New York lui offre toutes les opportunités du monde mais il n'en profite pas vraiment. Trop concentré à ne pas sombrer, ne plus sombrer. La présence de son frère le rappelle constamment à l'ordre, lui aussi. Non pas qu'il aie des comptes à lui rendre mais au fond, le fait d'échouer si près de Barbie lui donnerait le sentiment de lui donner raison. Alors une à deux fois par semaine, il s'impose cet exercice compliqué. Il se pointe dans un bar, s'installe au comptoir, commande un soft et un whisky. Il ne boit que le soft mais contemple l'alcool des heures. Il a sans doute l'air stupide, il s'en moque. Ici, contrairement à l'Europe, on ne le connait pas encore ou très peu. On ne lui parle pratiquement pas, on ne l'aborde jamais. Il ne s'en réjouit pas, lui qui court après la gloire depuis toujours. Le jeton roule encore entre ses doigts alors que la musique devient de plus en plus fort. Quelle heure est-il ? Il l'ignore, trop concentré à son rituel. Ne pas céder, il se répète en boucle. Ne pas craquer et pourtant, il voudrait. Un verre, ça fait du bien, non ?
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un rendez-vous avec un ami dans ce bar sauf qu'au dernier moment, il lui fait faux bon. il est seul maintenant, avec sabière. Jamie boit occasionnellement, il boit surtout en soirée/ ça n'a jamais été un grand buveur, il faisait attention à cause du football. joueur professionnel, les excès n'étaient pas autorisé et il a toujours respecter cette part du contrat. il fumait occasionnellement aussi mais depuis qu'il a arrêté en tant que pro, il fume beaucoup plus. il n'aurait pas dû mais il n'avait que ça à porté de main pendant sa convalescence. est-ce mieux que l'alcool ? pas certain mais il supporte mieux les clopes que l'alcool. et fumer lui fait du bien, l'alcool lui fait plus du mal que du bien. se réveiller avec une gueule de bois ? très peu pour lui. ça lui arrive oui, quand vraiment il a besoin de se changer les idées, que ce putain d'accident lui revient brusquement en plein de la gueule. alors il boit, surtout chez lui. sa safe place. personne n'est là pour le juger. il s'endort souvent dans le canapé et se réveille le lendemain avec un mal de tête. la gueule de bois que ça s'appelle. il n'est jamais fier de lui quand ça arrive mais parfois c'est ce qu'il a besoin, juste le temps d'oublier pendant quelques heures.
assis au comptoir, il observe du coin de l'oeil son voisin. il ne touche pas à son verre d'alcool. pas sa langue dans sa poche, il tourne la tête vers lui tu comptes regarder ton verre toute la soirée ? il demande, intrigué. qui fixe un verre pendant autant de temps sans le boire ? il se rend compte que ce n'est pas ses affaires et qu'en plus, il ne le connait pas mais c'est son franc parlé qui est ressorti désolé, ça me regarde pas il se sent un peu gêné maintenant mais trop tard. la question est posée.
un rendez-vous avec un ami dans ce bar sauf qu'au dernier moment, il lui fait faux bon. il est seul maintenant, avec sabière. Jamie boit occasionnellement, il boit surtout en soirée/ ça n'a jamais été un grand buveur, il faisait attention à cause du football. joueur professionnel, les excès n'étaient pas autorisé et il a toujours respecter cette part du contrat. il fumait occasionnellement aussi mais depuis qu'il a arrêté en tant que pro, il fume beaucoup plus. il n'aurait pas dû mais il n'avait que ça à porté de main pendant sa convalescence. est-ce mieux que l'alcool ? pas certain mais il supporte mieux les clopes que l'alcool. et fumer lui fait du bien, l'alcool lui fait plus du mal que du bien. se réveiller avec une gueule de bois ? très peu pour lui. ça lui arrive oui, quand vraiment il a besoin de se changer les idées, que ce putain d'accident lui revient brusquement en plein de la gueule. alors il boit, surtout chez lui. sa safe place. personne n'est là pour le juger. il s'endort souvent dans le canapé et se réveille le lendemain avec un mal de tête. la gueule de bois que ça s'appelle. il n'est jamais fier de lui quand ça arrive mais parfois c'est ce qu'il a besoin, juste le temps d'oublier pendant quelques heures.
assis au comptoir, il observe du coin de l'oeil son voisin. il ne touche pas à son verre d'alcool. pas sa langue dans sa poche, il tourne la tête vers lui tu comptes regarder ton verre toute la soirée ? il demande, intrigué. qui fixe un verre pendant autant de temps sans le boire ? il se rend compte que ce n'est pas ses affaires et qu'en plus, il ne le connait pas mais c'est son franc parlé qui est ressorti désolé, ça me regarde pas il se sent un peu gêné maintenant mais trop tard. la question est posée.
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(OOTD) Sans doute que dans un monde parfait, Amos pourrait boire sans avoir à se sentir coupable. Sans doute même qu'il pourrait faire la fête, un peu, se détendre et oublier tout ce qu'il porte sur les épaules. Dans un monde parfait, la famille Arnauld n'aurait pas été riche de sa célébrité et l'ainé n'aurait pas enchaîné les mauvaises décisions, le poussant ainsi irrémédiablement vers les excès. Sans doute que dans un monde parfait, il serait comme n'importe quel quidam. Inconnu au bataillon, loin d'avoir une pastille bleue à côté de son pseudo sur les réseaux sociaux qui lui donnerait accès à une certaine notoriété. Mais ici, à New York, tout est à refaire. S'il était connu dans l'Hexagone, et si sa notoriété avait dépassé les frontières, elle n'avait pas trouvé écho de l'autre côté de l'Atlantique, tout du moins, pas suffisamment pour qu'il ne puisse pas s'offrir le luxe d'une soirée en solitaire. Mais dans un monde parfait, Amos ne serait pas qui il est, foncièrement. Assoiffé, oui, mais de gloire et de célébrité... pas d'alcool. Non, ça, c'était juste une manière comme une autre d'oublier. Oublier ses échecs, oublier ce qu'il n'avait pas et ce qu'il n'aurait jamais. Alors venir ici et se confronter à cette putain d'obsession, c'était comme lui faire un doigt d'honneur. Je repartirai aussi sobre que je suis arrivé, c'était toujours la même promesse qu'il se faisait lorsqu'il s'installait derrière un comptoir. Le mec à ses côtés interrompt le fil de ses pensées, la question est sans appelle, d'une franchise presque troublante. Amos lève les yeux vers lui, aucune animosité dans le regard, juste une certaine nostalgie. Il sourit à la seconde remarque, pose le jeton entre eux, sur le bois. Je suis un ancien alcoolique. qu'il répond, en toute franchise. Il hausse les épaules, malgré lui. Je commande toujours un verre, mais je n'y touche pas... c'est pervers, mais c'est une manière comme une autre de me rappeler ce que j'ai déjà traversé. il rigole à peine, pousse le verre dans la direction du jeune homme. Il est à toi, si tu veux.
(OOTD) Sans doute que dans un monde parfait, Amos pourrait boire sans avoir à se sentir coupable. Sans doute même qu'il pourrait faire la fête, un peu, se détendre et oublier tout ce qu'il porte sur les épaules. Dans un monde parfait, la famille Arnauld n'aurait pas été riche de sa célébrité et l'ainé n'aurait pas enchaîné les mauvaises décisions, le poussant ainsi irrémédiablement vers les excès. Sans doute que dans un monde parfait, il serait comme n'importe quel quidam. Inconnu au bataillon, loin d'avoir une pastille bleue à côté de son pseudo sur les réseaux sociaux qui lui donnerait accès à une certaine notoriété. Mais ici, à New York, tout est à refaire. S'il était connu dans l'Hexagone, et si sa notoriété avait dépassé les frontières, elle n'avait pas trouvé écho de l'autre côté de l'Atlantique, tout du moins, pas suffisamment pour qu'il ne puisse pas s'offrir le luxe d'une soirée en solitaire. Mais dans un monde parfait, Amos ne serait pas qui il est, foncièrement. Assoiffé, oui, mais de gloire et de célébrité... pas d'alcool. Non, ça, c'était juste une manière comme une autre d'oublier. Oublier ses échecs, oublier ce qu'il n'avait pas et ce qu'il n'aurait jamais. Alors venir ici et se confronter à cette putain d'obsession, c'était comme lui faire un doigt d'honneur. Je repartirai aussi sobre que je suis arrivé, c'était toujours la même promesse qu'il se faisait lorsqu'il s'installait derrière un comptoir. Le mec à ses côtés interrompt le fil de ses pensées, la question est sans appelle, d'une franchise presque troublante. Amos lève les yeux vers lui, aucune animosité dans le regard, juste une certaine nostalgie. Il sourit à la seconde remarque, pose le jeton entre eux, sur le bois. Je suis un ancien alcoolique. qu'il répond, en toute franchise. Il hausse les épaules, malgré lui. Je commande toujours un verre, mais je n'y touche pas... c'est pervers, mais c'est une manière comme une autre de me rappeler ce que j'ai déjà traversé. il rigole à peine, pousse le verre dans la direction du jeune homme. Il est à toi, si tu veux.
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il n'est pas là pour juger, il est juste surpris de voir la personne à côté de lui regarder son verre depuis de longues minutes, sans l'avoir encore toucher. de nature curieuse il demande la raison, comme si ça le regardait. mais ils sont seuls tous les deux, ici, au comptoir. à qui pouvait-il parler d'autre ? même si Jamie est ici depuis deux ans, on ne peut pas dire qu'il s'est intégré dans cette ville. à part ses séances de kiné, aller au parc pour marcher un peu et voir un ou deux amis, il ne fait pas grand chose de sa vie et ça l'emmerde. il a été habitué à être actif, à avoir des entraînements tous les jours. en tant qu'ex joueur professionnel de foot, il n'avait pas une seule seconde de libre. là, ça fait deux ans qu'il ne fait presque rien. foutu accident.
il tourne la tête vers lui et un léger sourire s'affiche sur son visage, ne sachant pas quoi répondre. il n'aurait probablement jamais dû poser la question, ça aurait été bien mieux que d'avoir cette gêne entre eux désolé je ne savais pas le sujet est sûrement un peu tabou, à moins qu'il soit ouvert à en parler mais ce serait ironique quand même. parler de ça, dans un bar où la tentation est grande je vois. si ça peut t'aider à ne pas boire, pourquoi pas ? je suppose que chacun gère comme il peut il n'est jamais tombé dans l'alcool Jamie, même quand ça n'allait pas. oui, il est tombé en dépression suite à son accident mais il a su remonter la pente, grâce à ses proches. la seule chose qu'il a augmenté depuis son accident, c'est la clope. de toute manière, il ne reviendra pas sur un terrain de foot alors... il peut se le permettre, non ? oh non.. je ne disais pas ça pour l'avoir il dit, riant un peu mais merci un petit sourire aux lèvres, il regarde son téléphone qui affiche une notification. rien de bien important et il pose une nouvelle fois son regard sur le jeune homme à ses côtés tu n'es pas de New-York, je me trompe ? il a un accent pas du tout américain. même si il parle très bien l'anglais, il devine qu'il n'est pas un pur américain, comme Jamie. il est anglais et ça s'entend quand il parle, il ne peut renier ses origines.
il n'est pas là pour juger, il est juste surpris de voir la personne à côté de lui regarder son verre depuis de longues minutes, sans l'avoir encore toucher. de nature curieuse il demande la raison, comme si ça le regardait. mais ils sont seuls tous les deux, ici, au comptoir. à qui pouvait-il parler d'autre ? même si Jamie est ici depuis deux ans, on ne peut pas dire qu'il s'est intégré dans cette ville. à part ses séances de kiné, aller au parc pour marcher un peu et voir un ou deux amis, il ne fait pas grand chose de sa vie et ça l'emmerde. il a été habitué à être actif, à avoir des entraînements tous les jours. en tant qu'ex joueur professionnel de foot, il n'avait pas une seule seconde de libre. là, ça fait deux ans qu'il ne fait presque rien. foutu accident.
il tourne la tête vers lui et un léger sourire s'affiche sur son visage, ne sachant pas quoi répondre. il n'aurait probablement jamais dû poser la question, ça aurait été bien mieux que d'avoir cette gêne entre eux désolé je ne savais pas le sujet est sûrement un peu tabou, à moins qu'il soit ouvert à en parler mais ce serait ironique quand même. parler de ça, dans un bar où la tentation est grande je vois. si ça peut t'aider à ne pas boire, pourquoi pas ? je suppose que chacun gère comme il peut il n'est jamais tombé dans l'alcool Jamie, même quand ça n'allait pas. oui, il est tombé en dépression suite à son accident mais il a su remonter la pente, grâce à ses proches. la seule chose qu'il a augmenté depuis son accident, c'est la clope. de toute manière, il ne reviendra pas sur un terrain de foot alors... il peut se le permettre, non ? oh non.. je ne disais pas ça pour l'avoir il dit, riant un peu mais merci un petit sourire aux lèvres, il regarde son téléphone qui affiche une notification. rien de bien important et il pose une nouvelle fois son regard sur le jeune homme à ses côtés tu n'es pas de New-York, je me trompe ? il a un accent pas du tout américain. même si il parle très bien l'anglais, il devine qu'il n'est pas un pur américain, comme Jamie. il est anglais et ça s'entend quand il parle, il ne peut renier ses origines.
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(OOTD) On peut le croire tordu ou même maso mais dans le fond, Amos n'a jamais réussi à gérer mieux ses addictions depuis qu'il s'y confronte. Venir ici, c'est un constant rappel de tout ce qu'il a perdu à cause d'elles. Alors commander un verre et l'observer, c'est aussi une manière pour lui de lever le majeur en direction de toutes ces langues qui se sont permises un jour de le connaître. Toxico, dépravé, mauvais exemple, culture du vide... autant de sobriquets qui lui collent aujourd'hui au corps et au coeur. Être ici, c'est un moyen comme un autre de ne jamais oublier mais de faire la différence. Les rêves sont là, l'envie de grandeur, de gloire et de lumières. Il sait pour autant qu'il n'aura pas droit à une seconde chance, cette fois. Il a utilisé toutes ses cartes, celle de New York est la dernière qu'il possède. Alors il fait les choses bien, cette fois. S'évertue à garder à l'esprit que la route est encore longue et pavée d'embûches mais qu'il est capable, comme tous les autres, de s'en sortir. Le jeune homme s'excuse, machinalement. Faut dire que l'entrée en matière est compliquée. Amos sourit, secoue la tête en guise de réconfort. Il s'moque bien d'avoir à dire ce qu'il est et ce qu'il fait, il n'a jamais eu honte de rien... en témoignent toutes les vidéos qui circulent de lui sur la toile. Il pousse son verre loin de lui, l'autre l'accepte presque à contre-coeur, dans un petit rire. Je sais que tu ne l'as pas fait pour ça... c'est juste que ce sera plus simple pour moi de te voir le boire. et puis, l'alcool, ça ne se gâche pas. D'ordinaire, il dépose le verre en repartant sur une table au hasard. Pas certain que quelqu'un le boive pour autant, faut dire que l'état du monde actuel aurait tendance à maintenir l'écart entre vous et l'inconnu qui vous offre un verre. Non, je suis français d'origine. Je suis arrivé ici il y a peu. il confie, sans cesser de sourire. L'homme est agréable, gentil et plutôt avenant. C'est sympa de faire de nouvelles connaissances, surtout dans ces conditions. Je m'appelle Amos. qu'il ajoute en tendant la main en guise de salutations.
(OOTD) On peut le croire tordu ou même maso mais dans le fond, Amos n'a jamais réussi à gérer mieux ses addictions depuis qu'il s'y confronte. Venir ici, c'est un constant rappel de tout ce qu'il a perdu à cause d'elles. Alors commander un verre et l'observer, c'est aussi une manière pour lui de lever le majeur en direction de toutes ces langues qui se sont permises un jour de le connaître. Toxico, dépravé, mauvais exemple, culture du vide... autant de sobriquets qui lui collent aujourd'hui au corps et au coeur. Être ici, c'est un moyen comme un autre de ne jamais oublier mais de faire la différence. Les rêves sont là, l'envie de grandeur, de gloire et de lumières. Il sait pour autant qu'il n'aura pas droit à une seconde chance, cette fois. Il a utilisé toutes ses cartes, celle de New York est la dernière qu'il possède. Alors il fait les choses bien, cette fois. S'évertue à garder à l'esprit que la route est encore longue et pavée d'embûches mais qu'il est capable, comme tous les autres, de s'en sortir. Le jeune homme s'excuse, machinalement. Faut dire que l'entrée en matière est compliquée. Amos sourit, secoue la tête en guise de réconfort. Il s'moque bien d'avoir à dire ce qu'il est et ce qu'il fait, il n'a jamais eu honte de rien... en témoignent toutes les vidéos qui circulent de lui sur la toile. Il pousse son verre loin de lui, l'autre l'accepte presque à contre-coeur, dans un petit rire. Je sais que tu ne l'as pas fait pour ça... c'est juste que ce sera plus simple pour moi de te voir le boire. et puis, l'alcool, ça ne se gâche pas. D'ordinaire, il dépose le verre en repartant sur une table au hasard. Pas certain que quelqu'un le boive pour autant, faut dire que l'état du monde actuel aurait tendance à maintenir l'écart entre vous et l'inconnu qui vous offre un verre. Non, je suis français d'origine. Je suis arrivé ici il y a peu. il confie, sans cesser de sourire. L'homme est agréable, gentil et plutôt avenant. C'est sympa de faire de nouvelles connaissances, surtout dans ces conditions. Je m'appelle Amos. qu'il ajoute en tendant la main en guise de salutations.
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chacun gère ses addictions comme il le peut, il ne va pas juger la façon dont le jeune homme à côté de lui gère. ça ne doit pas être simple de toute manière, il n'a jamais vécu ça, il ne pourrait même pas se mettre à sa place. Jamie lui, il devrait diminuer la clope, il le sait. c'est ça son addiction, encore plus depuis qu'il a eu son accident et qu'il ne fait quasi plus rien de ses journées. être un ancien sportif de haut niveau et du jour au lendemain ne plus rien faire, c'est compliqué à gérer. il s'est réfugié dans la clope, aussi pire que l'alcool en réalité. ça tue les poumons à petit feu mais comme il le dit si bien, il faut bien mourir de quelque chose pas vrai ?
son regard qui se pose sur lui et il secoue la tête, ramenant alors le verre en face de lui. il n'est pas un grand buveur mais juste un ou deux verres en soirée j'imagine oui... merci c'est un verre gratuit qu'il a mais pour autant ça le gène un peu d'accepter mmh, tu veux autre chose à boire ? un soda ? il demande, pour lui rendre la pareille, il est comme ça Jamie, on le changera pas. il l'écoute, secouant la tête à ce qu'il dit, l'anglais avait bien remarqué un petit accent autre qu'américain, de type français mais il n'en était pas certain d'accord, et ça va, tu te plais ici ? il fait un peu son curieux mais c'est jamais simple d'arriver dans une ville complètement inconnue. Jamie en a fait les frais, ça fait deux ans qu'il est là et malgré tout, il a encore un peu de mal. peut-être simplement parce qu'il se sent un peu seul, que sa famille est en Angleterre et qu'elle n'est jamais venue le voir, si ce n'est qu'une seule fois en deux ans. ils se parlent via les réseaux, via facetime ou skype mais c'est tout. l'ancien footballeur sait aussi que sa famille lui en veut d'être parti pour l'Amérique, il leur a expliqué les raisons mais ça n'a pas fait l'unanimité enchanté Amos, moi c'est Jamie. il lance, serrant alors sa main pour les présentations.
chacun gère ses addictions comme il le peut, il ne va pas juger la façon dont le jeune homme à côté de lui gère. ça ne doit pas être simple de toute manière, il n'a jamais vécu ça, il ne pourrait même pas se mettre à sa place. Jamie lui, il devrait diminuer la clope, il le sait. c'est ça son addiction, encore plus depuis qu'il a eu son accident et qu'il ne fait quasi plus rien de ses journées. être un ancien sportif de haut niveau et du jour au lendemain ne plus rien faire, c'est compliqué à gérer. il s'est réfugié dans la clope, aussi pire que l'alcool en réalité. ça tue les poumons à petit feu mais comme il le dit si bien, il faut bien mourir de quelque chose pas vrai ?
son regard qui se pose sur lui et il secoue la tête, ramenant alors le verre en face de lui. il n'est pas un grand buveur mais juste un ou deux verres en soirée j'imagine oui... merci c'est un verre gratuit qu'il a mais pour autant ça le gène un peu d'accepter mmh, tu veux autre chose à boire ? un soda ? il demande, pour lui rendre la pareille, il est comme ça Jamie, on le changera pas. il l'écoute, secouant la tête à ce qu'il dit, l'anglais avait bien remarqué un petit accent autre qu'américain, de type français mais il n'en était pas certain d'accord, et ça va, tu te plais ici ? il fait un peu son curieux mais c'est jamais simple d'arriver dans une ville complètement inconnue. Jamie en a fait les frais, ça fait deux ans qu'il est là et malgré tout, il a encore un peu de mal. peut-être simplement parce qu'il se sent un peu seul, que sa famille est en Angleterre et qu'elle n'est jamais venue le voir, si ce n'est qu'une seule fois en deux ans. ils se parlent via les réseaux, via facetime ou skype mais c'est tout. l'ancien footballeur sait aussi que sa famille lui en veut d'être parti pour l'Amérique, il leur a expliqué les raisons mais ça n'a pas fait l'unanimité enchanté Amos, moi c'est Jamie. il lance, serrant alors sa main pour les présentations.
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(OOTD) Est-ce une bénédiction que de tomber sur cet inconnu à cet instant précis ? Sans doute que oui... sans doute qu'il me fallait toi pour éviter de sombrer à nouveau. Un rituel à la con qu'il suit à la lettres, se confronter à ses propres démons pour savoir s'il est encore capable d'y résister. Souvent, ça fonctionne, parfois, il flanche presque. Alors il lève le verre, il hume le parfum de l'alcool, fait glisser le liquide jusqu'à ses lèvres serrées et demande ensuite au serveur de s'en débarrasser. Pas ce soir, Jamie l'attrape avec plaisir avant de lui proposer autre chose. Amos rigole un peu, lève le bras pour avertir le jeune homme derrière le bar. Un coca light. commande ridicule dans un endroit comme celui-là et pourtant, il le fait... plus pour tenir quelque chose entre les mains que pour boire. Il tourne la tête vers son nouvel ami de fortune. Merci vieux. ce même vieux qui l'interroge ensuite, lance la conversation comme pour crever l'abcès, permettre à deux âmes vagabondes d'apprendre à se connaître un peu mieux. Il s'explique, Amos. Il n'est pas hermétique, au contraire, la compagnie l'enchante lorsqu'elle se présente sous cette forme. Pour l'instant, c'est pas fameux... repose moi la question dans un an. il dit sans grandes convictions. Pas du genre à s'étaler non plus même si la confidence lui ferait du bien. L'autre se présente enfin, deux mains se serrent et le sourire d'Amos s'agrandit. T'as pas l'air du coin, toi non plus... il lui répond, laconiquement. C'est peut-être l'accent dans la voix, ou juste le fait qu'il ait l'air aussi perdu qu'Amos finalement. Les âmes en détresse ont ça de singulier qu'elles savent se reconnaître sans avoir à se prononcer.
(OOTD) Est-ce une bénédiction que de tomber sur cet inconnu à cet instant précis ? Sans doute que oui... sans doute qu'il me fallait toi pour éviter de sombrer à nouveau. Un rituel à la con qu'il suit à la lettres, se confronter à ses propres démons pour savoir s'il est encore capable d'y résister. Souvent, ça fonctionne, parfois, il flanche presque. Alors il lève le verre, il hume le parfum de l'alcool, fait glisser le liquide jusqu'à ses lèvres serrées et demande ensuite au serveur de s'en débarrasser. Pas ce soir, Jamie l'attrape avec plaisir avant de lui proposer autre chose. Amos rigole un peu, lève le bras pour avertir le jeune homme derrière le bar. Un coca light. commande ridicule dans un endroit comme celui-là et pourtant, il le fait... plus pour tenir quelque chose entre les mains que pour boire. Il tourne la tête vers son nouvel ami de fortune. Merci vieux. ce même vieux qui l'interroge ensuite, lance la conversation comme pour crever l'abcès, permettre à deux âmes vagabondes d'apprendre à se connaître un peu mieux. Il s'explique, Amos. Il n'est pas hermétique, au contraire, la compagnie l'enchante lorsqu'elle se présente sous cette forme. Pour l'instant, c'est pas fameux... repose moi la question dans un an. il dit sans grandes convictions. Pas du genre à s'étaler non plus même si la confidence lui ferait du bien. L'autre se présente enfin, deux mains se serrent et le sourire d'Amos s'agrandit. T'as pas l'air du coin, toi non plus... il lui répond, laconiquement. C'est peut-être l'accent dans la voix, ou juste le fait qu'il ait l'air aussi perdu qu'Amos finalement. Les âmes en détresse ont ça de singulier qu'elles savent se reconnaître sans avoir à se prononcer.
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