everything is fine... or not. (oscar)

Une journée épuisante s'était pointée le bout du nez. Entre ton père qui a pointé le bout de son nez après que tu ai décidé de mettre un stop à cette vie de famille, dans cette illégalité, c'est trop pour toi. T'y pense depuis un certain moment maintenant, t'en dors mal en fait, ces cauchemars qui pointent le bout de leur nez. Tu ne le démontrais à personne puisque t'as peur qu'on puisse te dire que t'es faible, alors que c'est pas le cas, t'as un sacré tempérament quand tu le veux. C'est bien pour cela que t'as accepté ce nouveau poste, surtout avec tout ce qui se passe dans la ville de New York, c'est un sacré challenge en fait, tu ne te laisses pas marcher sur les pieds, tu sais comment te servir d'une arme bien plus que ce que les gens peuvent penser. Bref, alors que tu pousses la porte du bout de tes doigts, tu baisses la fermeture éclair de ton manteau d'enquêteuse, observant les quelques messages que tu voyais sur ton téléphone, douze messages non lus. Ton père, il s'inquiète de ne pas avoir eu de tes nouvelles, pourquoi ? t'en sais rien, comme si t'as un pressentiment que quelque chose ne va pas bien. Perdue dans tes songes, tu ne regardes absolument pas où tu allais, fonçant dans la première personne que tu rencontre sur ton passage. Frottant ton front systématiquement, tu te recules de quelques pas, sans pour autant avoir poser un regard sur lui ou elle. Désolée, je regardais pas où j'allais... souffles-tu avant de relever le regard bleuté vers l'inconnu, pas si inconnu.  @Oscar Boyle

Le service était sur le point de se terminé, tu étais venu faire ton rapport à ton chef alors que Plume était bien au calme dans un coin du bureau. C’était l’heure pour elle de se faire câliner par les autres manques de l’équipe. Tu reportas quelques délits mineurs et tu donnas les informations que tu as trouvé sur un potentiel Traffic de drogue dans le queens. Plume est super dans son domaine, tu étais plutôt fier du travail que tu as pu faire avec elle. Tu saluas ton patron quand il te dit que tu pouvais rentrer. « plume, on y va » dis-tu en la sifflant par la suite. Elle arriva bien vite à tes côtés et tu lui remis la muselière sur le moment. C’était une obligation quand tu étais en tenu de travail. Ton regard posé sur ta chienne, tu te dirigeais vers la porte, ne faisant pas attention à la personne qui venait de passer la porte du poste de police. Tu eus un mouvement de recul quand le choc se fit et tu grimaças légèrement, ta chienne a couiné à tes côtés. « nan c’est moi » dis-tu du tac au tac. Ton regard finit par se poser sur la personne en face de toi et tu étais plutôt surpris de faire face à Juliet. On peut dire que tu ne la croises pas souvent ici, vos emplois du temps sont relativement différents. Il faut dire que vous n’avez pas le même grade. « juliet » dis-tu comme salutation. On n’oubliera pas le fait que vous soyez des exs tous les deux et que la rupture, c’est à cause de toi.

Une journée emmerdante concernant les demandes que tu avais, disons-le tu n'as pas la tête à ça, c'est pourquoi tu viens à repousser ces mauvaises idées de ta tête, images que tu n'as pas envie de penser. Vadim est arrivé dans ta vie comme une fusée, avec ces faux messages qu'il t'as envoyé, cependant tu en as marre de devoir être sous une fausse identité, la mafia russe qui faisait partie de ton passé, cependant la mort de Olga n'était pas prévue et tu sais que ça risque de donner plus de problèmes qu'autres choses. Tandis que tu viens à avoir la tête un peu perdue, perdue dans tes songes et ne sachant pas où tu allais dans le poste de police, quelques choses qui sont toujours ancrées dans ta tête, cauchemars que tu gardais en ta personne. Une chose qui te tourmente, tu sais que les funérailles sont passées, que les choses ne se sont pas passées comme tu l'aurais voulu, ton père qui t'as mentionné que tu devrais être mieux six pieds sous terre, à la place de ta soeur. Alors que tu viens à marcher sans réellement regarder où t'allais, tu fonces dans quelqu'un sans faire exprès. Sauf que tu reconnais cette voix, cet homme que tu as jadis aimé et pourtant, c'est pour cela que t'as mis fin à ces relations amoureuses, tu n'as pas envie de tomber dans les bras de quelqu'un, c'est impossible. Tu avales difficilement ta salive, tes prunelles qui se posent vers celles d'Oscar, toi qui ne savait pas comment réagir. Oscar. ta voix sentait l'amertume, disons que tu n'avais pas digérer toutes ces choses qui se sont passées, toi qui restait en face de lui. Ça faisait longtemps. dis-tu, ce regard ayant envie d'en finir mais tu n'allais rien faire, ça faisait partie de ton passé... ou pas.  @Oscar Boyle

C’était quand même mouvementé au poste de police, t’as cru comprendre que tes collègues ont été pas mal productif. T’étais sur le point de partir avec ta chienne quand tu rentras en cohésion avec une tête connue. Juliet, ça faisait longtemps que tu ne l’avais pas croisé – bien qu’elle travaille au même endroit que toi. Tes prunelles entrèrent en contact avec les siennes. « on peut dire que ça fait longtemps qu’on ne sait pas croisé en effet » dis-tu en haussant les épaules. Ta chienne restait à tes pieds comme toujours. « tu dois partir en mission ? » pourquoi tu poses la question ? tu sais très bien qu’elle ne risque pas de te répondre réellement à ta question. Après tout, t’es le connard de service pour avoir été honnête avec elle. Tu ne l’as pas trompé pour autant mais ça semblait être tout comme de son côté. Comme quoi, t’es pas le plus doué dans les relations amoureuses – ce n’était pas une première.