just the beating of hearts like two drums in the grey (juliet)

l'écran devient noir et l'appareil revient rapidement dans la poche de son pantalon. il ferme les yeux, un soupire s'échappant de ses lèvres sèches en entendant ses deux enfants de chamailler pour ce qui doit être la quatrième fois aujourd'hui. mais le pire, c'est qu'une troisième voix se fait entendre dans cette dispute enfantine. celle de son épouse qui vient plus envenimé les choses que de les calmer. il se lève et sort de son bureau à pas de géant. il faut qu'il sorte d'ici ou bien il est presque sûr que ses oreilles vont finir par saigner. il essai de passer incognito dans le salon, après tout, il se dit que les cris couvriront le son de ses pas. mais ce n'était sans compter sa femme qui virevolte soudainement. merde. ils s'échangent un regard, il sait déjà ce qu'elle va dire, ce qu'elle va lui demander. "Il y a une urgence sur un dossier, je dois rejoindre mon client." excuse qu'il utilise pour la centième fois mais qui fonctionne toujours. "Quel client ?" pourquoi est-ce qu'elle doit en demander plus. "Le russe."à ces mots, il reprend son chemin rapidement, du moins assez rapidement pour qu'elle ne pose pas plus de questions. il attrape ses clés de voitures et son manteau son pour autant l'enfiler. il ouvre la porte d'entrée et la referme juste à temps avant qu'il n'entende une nouvelle fois la voix de sa femme l'interpeller. un nouveau soupire s'échappe de sa bouche avant qu'il ne face marche vers l'ascenseur tout en enfilant son long manteau noir.

arrivé au parking, il monte dans son ashton martin direction le queens. après s'être installé au volant, il jette un rapide coup d'œil au message et entre une adresse dans le GPS. 1254 rue Bolton. les pneus crissent légèrement lorsqu'il démarre et le voilà en route pour rejoindre sa maîtresse. ce n'est pas une relation non, c'est plus un divertissement, un amusement entre deux adultes consentants. elle est différente de sa femme. elle est plus calme juliet, beaucoup moins agaçante, extrêmes séduisante. elle lui fait oublié, le temps d'un soir ou d'une nuit, le capharnaüm qu'est son foyer. les yeux rivés sur la route, il tapote doucement son volant avant de tourner à gauche, puis à droite. quelques gouttes tombent sur son parebrise puis enfin... vous êtes arrivé à votre destination. il se gare près du bâtiment à sa droite et coupe le contact. tournant la tête, il aperçoit alors l'entrée du bar en question et aussi une chevelure familière près du comptoir. la portière s'ouvre et ses dents se serrent en sentant l'impacte d'une goutte de pluie froide sur sa nuque. il se hâte alors de sortir pour rejoindre l'entrée du bar. poussant la porte, il balaye rapidement la salle du regard tout en s'approchant du comptoir et de son rendez-vous. ils posent alors son regard sur ses courbes, sa robe et vient s'accouder à côté d'elle, sans lancer un seul regard sur le barman. "Un whisky s'il vous plais." dit-il à l'attention du barman, sa voix rauque s'adressant ensuite à la belle blonde. "Tu avais raison, te voir en robe ne me déplait pas du tout." annonce-t-il en plongeant son regard dans le siens.


@juliet hammond

Tu l'as invité à venir te rejoindre, ce bar dans lequel tu as l'habitude de poser pied surtout après une journée de travail longue et emmerdante. Il est rare que tu lèves le coude souvent de cette manière, sauf que tu en as besoin, de te changer les idées, faire disparaître ces idées sombres de ta tête. Pourquoi ? tant de questions remontent à la surface, ta famille, celle que tu as mis un trait dessus, changeant de nom de famille et de prénom, ne plus être associée à cela. Tu avais pris ton temps pour réfléchir, de te dire que c'était la bonne chose à faire et maintenant, le démon de ton passé reviens dans ta tête, il essayait de te rallier dans ses troupes, tu sais comment ton paternel est, vil manipulateur. Par chance tu n'as pas hérité de cette caractéristique, cependant tu es quelqu'un de calculatrice, tu sais bien manier une arme on te l'as souvent dit, surtout en étant une femme. Tes anciens coéquipiers avaient presque la bouche par terre lorsque t'as soigneusement envoyer les balles en plein dans la poitrine, au coeur. Jamais ils n'auraient penser qu'un cadet de la police devienne une étoile montante aussi rapidement. Un jugement qu'on a souvent pour les femmes et pourtant, tu as décidé de te rendre dans une section un peu moins sur le terrain, chercher des indices et mettre ces criminels derrière les barreaux, c'est ce que tu veux. Tandis que tu avais envie de passer la soirée en bonne compagnie, ne voulant pas rester seule, prise dans tes songes, tu as cette brillante idée d'envoyer un message texte à Sullivan. La seule relation sans prise de tête, vous laissant aller tous les deux sans aucune attente car oui, tu es au courant qu'il est marié, ayant un mariage qui battait de l'aile, l'infidèle. On pourrait certainement te cracher en pleine figure, de te traiter de tous les noms, dire que tu es une sans coeur et pourtant, tu leur faisais presque un doigt d'honneur. Repoussant les portes avec tes mains, tu jettes un coup d'oeil autour de ta personne afin de vérifier que rien ne pourrait troubler l'ordre, sans doute ton métier de flic qui prenait possession de ton corps. Cependant tu as troquer ton uniforme ce soir pour cette robe rouge, moulante ton corps à souhait, dévoilant tes courbes à ces charognards ivrognes qui étaient un peu plus loin de ta personne. S'ils venaient à se rapprocher d'un peu trop près, tes tactiques d'intervention seront utiles pour une fois, jamais personne ne pourra faire un geste déplacé, c'est impossible. Observant le barman qui se rapproche de ta personne, tu viens à lui commander un verre de scotch, avec glaçons. Il est rare que tu prennes de l'alcool forte mais cela pourrait faire en sorte que tu puisses souffler, en la charmante compagnie qui vient tout juste de passer le seuil de la porte. Tandis qu'une présence vient à se poser tout près de ta personne, un sourire esquisse tes lippes lorsque sa voix viens jusqu'à tes oreilles, tu la reconnaitrais entre mille. Sullivan, le fruit défendu, un homme que tu as détesté lorsque tu l'as vu passer le seuil de la porte, après avoir réussi un coup pour un connard de service et pourtant, vous voilà, tous les deux, nus comme un vers, quelques fois par semaine. Il quittait sa femme, dans l'optique de passer une nuit dans tes bras, une relation sans attaches tu sais que t'as pas le temps pour ça et pourtant, tu l'apprécies. ... Et je suis certaine que tu ne dirais pas non pour me l'enlever. souffles-tu avant de le regarder, tes billes dans les siennes, portant ton verre contre ta bouche, laissant le divin liquide couler le long de ta gorge. Tu n'as pas trop eu de mal a t'échapper de ta prison dorée ? parlant de sa femme, alliance toujours autour de son doigt et pourtant, tu te posais cette question, du pourquoi il restait dans une telle situation. T'es au courant de ses gosses mais pourtant, tu laissais ces choses dans ta tête, ça ne te regarde pas tout compte fait.  @Sullivan Branagh

il n'aura fallu que quelques secondes avant que ses yeux ne viennent s'attarder sur ses courbes que l'on devine que très facilement avec la robe rouge qu'elle porte. il n'est qu'un simple mortel après tout. l'ambiance n'est pas la même que les bar qu'il a l'habitude de fréquenter, celui ci est beaucoup plus sobre, et la fréquentation qui s'y fait n'est pas des plus aisée. il n'a pu aussi que remarquer les autres hommes dans la salle, dévorant son rendez-vous comme si cela était la première fois qu'ils voyaient une belle femme en robe. robe qui lui va d'ailleurs à ravir. robe qui, comme elle venait si bien de le dire, il lui enlèverait avec le plus grand plaisir. ne la quittant pas des yeux, il attrape alors le verre de whisky qui vient de lui être servi, l'apporte à ses lèvres pour en prendre une petite gorgée, cette sensation si familière de brûlure dans la gorge lui avait manqué. un soupire lui échappe de la bouche à la mention de sa prison dorée. ils se tournent alors vers le comptoir et y pose son verre avant de s'y appuyé de ses deux bras. "Non. Mais elle commence à me poser de plus en plus de questions lorsque je dois partir urgemment." répond-t-il, son regard venant furtivement se poser sur son alliance avant qu'il ne tourne la tête pour la regarder elle."Sa compagnie se fait de plus en plus... indésirable. Je ne croyais pas ça possible." Indésirable pour lui. D'autres semblent réussi à apprécier son épouse. Ces autres personnes sont des gens du même monde qu'elle, avec un caractère un peu (trop) similaire au siens.

mais il n'était pas là pour parler de ses problèmes, de sa femme qui le fait tourner en bourrique, de ses enfants qui lui explose les tympans à la moindre contrariété. laissant une de ses mains sur le comptoir, près de son verre, il vient délicatement poser son autre main dans le bas du dos de sa maîtresse. son dos, ses hanches, sa poitrine, son cou... avec leurs nombreuses rencontres érotiques, son corps n'a plus de secrets pour lui. il le connait par cœur. chaque parcelle de peau qui la fait vibrer avec une simple caresse, l'endroit qui lui donne la chaire de poule dès qu'il y dépose un baiser. chaque petit plaisir qui lui arrache un gémissement, il s'en souvient et il les exploite. "Mais parlons de toi plutôt." déclare-t-il en laissant alors son pouce doucement caresser sa peau à travers le tissus de sa robe. "Que me vaut l'honneur de ce rendez-vous ?" plaisante-t-il sans pour autant lâcher un sourire. ils se voient quand ils en ont besoin, quand ils stressent trop, quand leur pensées sont trop lourdes, trop occupés et il voulait curieusement savoir pourquoi avait-elle voulu le voir aujourd'hui. des problèmes au boulot ou plus personnels ? il ne voulait pas de détails non, juste une réponse qui dépeindra sûrement comment le reste de la soirée se passera pour eux. douce ou animée.


@juliet hammond

On t'avais piétiné à maintes reprises, t'avais mentionné que tu n'aurais jamais la chance de te trouver un emploi du temps, quelque chose qui pourra t'aider à gagner de l'argent comme bon te semble sauf si tu trempes dans l'organisation criminelle. Valentina, ton réel prénom et pourtant, peu de gens sont au courant pour cela, ils ignorent ton passé, il faut que tous ne soient pas au courant le reste tu t'en fiches. Ça pourrait foutre ta vie en l'air tu en as conscience, ton travail mais surtout ta vie, en fait tu n'as pas réellement envie de pouvoir tomber dans ces problèmes. Sans doute que le fait de voir ton père essayer de reprendre contact avec toi n'es pas anodin mais que pouvais-tu faire de plus dans un cas présent ? T'ignores ce qui peut se passer, cependant il est hors de question qu'on puisse te dire quoi faire, te demander de retomber dans l'enfer qui s'est accroché à ta personne. Heureusement, tu pouvais compter sur de merveilleuses personnes qui sont disponibles pour toi, comme Timothy que t'as rencontré sur la toile. Évidemment tu ne pouvais pas compter sur personnes, tu sais comment te protéger toute seule bien que tu avais cette petite taille qui étais un réel handicap sauf que tu sais manier une arme, il n'y a pas de doute là-dessus. Bref, tu avais cette envie de te changer les idées, de pouvoir souffler un peu car oui le fait de passer une soirée en la charmante compagnie de Sullivan avait comme bienfait de te faire souffler un peu, tu n'allais certainement pas l'avouer à personne, c'est surtout mieux comme ça, ne pas avoir de sentiments pour personne et avancer contre toute attente. Une vie amoureuse avec un homme, c'est trop pour toi, surtout en sachant que t'as déjà de la difficulté à penser à toi, s'imaginer être avec quelqu'un qui pourrait passer la journée, de pouvoir être présent quand t'allais passer le seuil de la porte après une longue soirée. T'allais ainsi observer ces hommes qui t'observaient tel un morceau de viande, qu'est-ce que ça te ferait ? si l'un aurait la brillante idée de se rapprocher de ta personne dans l'optique de faire un faux pas, il se pourrait bien que l'un de tes talons haut se retrouve contre toute attente entre les jambes de ce malfrat. Alors que tu viens à sentir son parfum masculin venant jusqu'à tes narines, sachant très bien à qui il pouvait appartenir, tu sais que Sullivan se devait de sortir de cette prison dorée, de pouvoir laisser sa femme ainsi que ses enfants de côté, le temps d'une torride nuit. Vous étiez semblables sur certains points, évidemment au tout début ça n'a pas été de tout repos et pourtant, aujourd'hui tu n'as pas envie que ça change. Sans pression, aucune prise de tête non plus. Ce n'est pas ce que l'on dit, lors d'un mariage ? Jusqu'à ce que la mort nous sépare ? Voilà pourquoi je ne serai jamais mariée... un léger sourire esquisse tes lippes, alors que tu apportes le verre contre ces dernières, le liquide coulant à flot dans tes veines. Tu ne voulais pas l'emmerder avec cela et c'est pourquoi t'as décidé de changer de sujet de conversation, cette robe qui épousait parfaitement tes courbes, toi qui est heureuse de voir que Sullivan appréciait ce genre de choses. Alors que tu viens à déposer le verre contre le comptoir, tes pupilles se posent vers cet homme, assis toujours auprès de toi mais un long frisson parcourut ton corps tout entier, sa main qui s'est délicatement posée contre le bas de ton dos. Tu ne pouvais oublier toutes ces nuits passionnées tous les deux, qui vous arrachaient de nombreux gémissement, quand il donnait ses coups de reins. Oubliant tous vos problèmes, il semblait être l'échappatoire idéal, celui qui te faisait tout oublier, tes pensées impures, tout. Parce que j'avais envie de te voir, est-ce que c'est une bonne réponse ? gardant un sourire amusé sur ton visage, tu viens doucement à l'observer car disons que tu n'oserais jamais dire une telle chose, tu n'es pas un livre ouvert. Personne n'as découvert une telle chose et cela ne changera jamais en fait, tu ne voudrais pour rien au monde qu'on soit au courant pour ça, à commencer par Sullivan. Nah en fait, j'ai besoin d'oublier certaines choses de mon passé. dis-tu sans pour autant entrer dans les détails, cependant rien qu'en plongeant tes océans dans ceux de l'avocat, tu sais qu'il ne devrait pas aller dans ce terrain entouré de mines. Tu crois être capable de me faire oublier tout ça ? souffles-tu en prenant une nouvelle gorgée, observant Sullivan droit dans les billes, ce regard rempli de sous-entendus. @Sullivan Branagh

Ce n'est pas ce que l'on dit, lors d'un mariage ? Jusqu'à ce que la mort nous sépare ? Voilà pourquoi je ne serai jamais mariée... c'est vrai que c'est un pacte, une promesse faite au nom de l'amour. si il pouvait revenir dans le temps, il n'est pas sûr qu'il referait la même chose. il pense à ses enfants, ils ont beau lui casser les pieds, le rendre parfois fou, il les aime comme n'importe quel père aime ses enfants. et pourtant il sait que si il devait refaire le choix, il ne la demanderait pas en mariage, n'aurait pas d'enfant avec elle. ils étaient amoureux, c'est vrai. mais ils ne sont certainement pas des âmes sœurs. il se demande d'ailleurs si sa femme aussi regrette, si elle aussi elle referait les choses différemment si elle en avait le pouvoir. sûrement que oui.  "Certains mariages fonctionnent à merveille, pas le miens." c'est tout. ne mettons pas tout dans le même panier. sa relation amoureuse n'est certainement pas un bon exemple pour quiconque ne voit déjà pas le mariage comme une chose indispensable.

les yeux de la blonde scannent son visage, il fait de même. elle est plus jeune que lui, de quelques années. sa peau est bien lisse comparée à la sienne. sa peau est douce, chaude. c'est ce qu'il sent lorsque son pouce dépasse légèrement le tissus de sa robe rouge qu'il caresse. à sa question, il obtient la plus simple des réponses. ça lui va mais pourtant, elle change de réponse, le laissant légèrement surpris. il n'a pas l'habitude de ça de la part de la jeune femme. elle plonge son regard de sirène dans le siens, la voilà un peu plus proche de lui. et voilà qu'un sourire au coin apparaît sur le visage de l'irlandais à la phrase sortant de la bouche de sa maîtresse. il attrape son verre de whisky pour le vider d'une traite, sans la quitter une seule seconde du regard."Ai-je déjà failli à cette tâche ?" lui rétorque-t-il en s'approchant d'elle, fermant le peu d'espace qui les séparait. sans plus attendre, ses lèves viennent se poser sur les siennes. le goût du whisky se mélange alors au goût de scotch. la main sur son dos vient la coller encore un peu plus un lui, rendant le baiser un peu plus fougueux, passionnel. il sait déjà que les yeux des autres homme sont rivés sur eux, que certains doivent le maudire parce qu'ils voulaient tentés leurs chances avec elle. il n'aurait jamais osé faire un tel geste dans un endroit plus fréquenté mais l'avantage c'est qu'ici, personne ne le connait, personne ne sait qui il est. aucun témoin clé pour son adultère. il préfère ça. pour une fois, il ne veille pas au grain autour de lui, non, toute son attention est sur elle, sur le goût de ses lèvres, sur le mouvement de leurs langues, sur la chaleur de son corps. tout simplement divin.

@juliet hammond

Tu te demandais bien ce qui pouvait pousser. deux êtres, à être liés à tout jamais. Une vie à deux, petite maison achetée, découvrant un nid d'amour comme on vois dans tous les films romantiques. Sauf que la vie c'est pas ça, en fait t'avais vécu pire en faisant partie d'une famille russe, Valentina est toujours encrée dans ton esprit mais faisant partie de ton passé, tu te refuses à la laisser sortir une seule seconde. T'avais besoin de t'évader, de repousser les limites et disons-le, c'est toujours un peu plus compliqué lorsque le sang coule dans nos veines, qu'il ne souhaite pas en sortir. Tu avais tirer un trait à toute éventualité dans ta vie, tu ne te voyais pas comme certains couple aimants, se chérissant. Ta vie est parsemée d'embûches. ton travail prenait le clair de ton temps et aujourd'hui encore, il fallait que tes amis viennent te prendre la main pour sortir prendre un verre. Ta vie, c'est rendu le travail tout simplement. Il y avait Sullivan par chance pour te redonner ce sourire perdu, vous entreteniez un lien particulièrement étrange, toi étant sa maitresse quand il voulait s'évader de sa prison dorée, de laisser sa femme seule dans le ménage alors que ce dernier, goûtait le plaisir de ta chair. Vous iriez sans doute en enfer, cependant avec tous les crimes que t'as commis dans ton adolescence on ne peut pas dire que tu iras au paradis en même temps que ta propre famille. Tandis qu'il vient à affirmer que certains ménages allaient particulièrement bien, tu viens à grimacer, en fait t'avais pas réellement fait attention à ces couples aimants car tout cela, toute forme d'amour te dégoûte tout simplement. Chacun ses combats d'après ce que je peux voir. souffles-tu après avoir pris le verre dans la paume de ta main, prenant une nouvelle gorgée, ce liquide fort qui t'as presque fait grimacer sauf que tu avais tellement sentir l'alcool couler à flot dans tes veines que tu ne prenais même plus connaissance, du goût amère. Iris plongés dans les siens, tu sentais une longue décharge électrique qui faisait le tour de ton corps en entier. Sullivan, c'est une passion inexpliquée, tu l'avais bien détesté alors qu'aujourd'hui c'est totalement l'inverse. Se retrouvant dans un bar, dont personne de votre entourage ne connaissait, qu'on ne puisse tout simplement pas se rendre compte de votre alliance, ce rôle de maitresse. Tu sais que si sa femme serait au courant pour le rôle, certainement que tu serais la pire vipère qu'il n'y existe point, cependant tu arrives à fermer l'oeil la nuit. Sentant son pouce se frayer un chemin contre le bout de tissus accroché à ton corps, frisson parcourant ton corps, échappant même un petit soupir au passage. Comme si vous n'étiez que tous les deux dans ce bar, comme si personne autour de vous deux n'existait. Remarquant ce tout premier sourire de la soirée, tu en glissais un pour ta part, pressant ta lippe inférieur, la chaleur grimpant dans la pièce et vos deux voix qui ne faisaient que chuchoter. J'dois avouer que t'es particulièrement doué en la matière. t'es particulièrement amusée par la situation cependant t'as besoin de t'évader, c'est ce que Sullivan savait le mieux faire dans toute cette vie. Son corps se rapproche dangereusement du tien, toi qui sentait les battements de ton coeur s'affoler dans ta poitrine, sa main dans le creux de ton dos et vos lèvres s'épousant à la perfection. Tu te laisses aller dans ce baiser, mélangeant ta langue contre celle de l'irlandais, tes mains se posant contre sa nuque afin d'amplifier votre baiser, ta poitrine se pressant contre son torse. Par chance, aucune personne ne vous connaissait ici, vous étiez de vulgaires inconnus et c'est ce qui est mieux, personne ne peut vous balancer. Tu romps donc le baiser, à contre-coeur avant de pouvoir rester tout près de lui, tes pupilles plongées dans les siennes. Et si... on se trouvait un coin un peu plus tranquille... l'un de tes doigts glissait le long de son cou, pour terminer sa course contre son torse, n'allant pas plus loin vu les personnes présentes dans le bar. @Sullivan Branagh

c'est fou comme il retrouve cette sensation, ces sortes de papillons dans le ventre lorsque leurs lèvres se touchent. c'est agréable. sensation qu'il n'arrive plus à avoir avec sa femme, des baisers qui semblent presque formels, mécaniques. mais avec elle, c'est différend. elle le désire, il le sent. il la désire tout autant. elle réussi à lui arraché un léger grognement en appuyant sur sa nuque, approfondissant ce baiser. il la sent, collée à lui et il ne peut caché l'effet que cela lui fait. le baiser est long, délicieux et... il est interrompu. il sait déjà que ses lèvres à lui sont légèrement colorées grâce au rouge à lèvre de la jeune femme. le regard plongé dans le siens, sa respiration s'accélère légèrement lorsqu'elle fait glisser son doigt lentement sur son cou avec de s'arrêter sur son torse. sa proposition, il ne peut que l'accepter.

"Ma voiture est juste devant." dit-il, approchant son visage de son cou pour y déposer ses lèvres une fois. puis deux fois. avant de relever sa tête de manière à ce que sa bouche soit collée à son oreille. il vient alors lui chuchoter doucement : "Chez toi ?" parce qu'elle vit seule, parce qu'ils y ont tout l'intimité qu'ils souhaitent, parce qu'ils peuvent y faire autant de bruits qu'ils le veulent. parce que c'est plus simple aussi. si non, il ne peut que lui proposer une chambre d'hôtel. son appartement à lui est hors de question. même si sur le moment, sa femme et ses enfants n'étaient pas là, il ne l'y emmènerait pas. peut-être parce qu'il a assez de respect pour sa petite famille pour ne pas y emmené sa maîtresse. peut-être pour éviter le risque de se faire prendre. ou peut-être parce qu'elle apprendrait encore plus à le connaître. on peut en dire beaucoup sur quelqu'un en voyant l'environnement dans lequel il vit, en observant les décorations. l'y emmené elle,  un membre des forces de l'ordre de surcroit, ça serait une mauvaise idée. tu n'as pas prit la peine de ton côté d'analyser son appartement. vous savez ce que vous devez savoir sur l'un et l'autre. apprendre à se connaître plus que vous ne vous connaissez déjà, c'est prendre le risque de s'attacher. hors c'est justement votre accord : aucun attachement. juste du plaisir. pas de discussions profondes, juste des gémissements de satisfaction.

ses deux mains viennent se poser sur les hanches de celle qu'il considère comme son secret. la gardant coller à lui. il n'attend qu'une chose, qu'elle dit oui. qu'ils se mettent en route et qu'ils profitent l'un de l'autre. la simple pensée de son corps cambré sous le siens le fait frissonner. son entre-jambe réagissant à cette image qu'il dépeins dans sa tête.

@juliet hammond

Une relation cachée, une chasse gardée, personne ne devait être au courant de cette idylle, pas même tes plus proches amis car c'est pas une bonne idée de devoir en parler, toi qui ne voyait pas d'un bon oeil la relation qu'entretenais Kayce avec cette femme. Rien que de voir de la manière dont vous agissiez tous les deux, tu appréciais chacun de ses mouvements, les battements de ton coeur devenant encore plus forts lorsque tu te rapprochais de lui, tu voulais ne pas t'attacher et continuer sur une voie dont tu ne sais pas si ce serait le meilleur. Sullivan, il mettait de la vie sur ton être, toi qui était en train de vivre pas mal de chose en ce moment, ces choses qui font en sorte que tu veux t'évader, tomber dans un nouveau cercle qui peut te redonner le sourire et t'aider a oublier les problèmes de la mafia russe. Vos deux ne réclamant que l'un et l'autre, un long frisson parcourant ton corps, ne voulant que plus ce soir et tu sais que votre soirée, celle qui vous attend est celle que tu as rêvé depuis une semaine entière. T'es devenue folle, voulant te brûler les ailes, de devoir tomber dans un autre problème, de n'avoir que vos deux corps être présents dans cette simple vie, comme si le monde avait cessé de tourner. L'un de tes doigts parcourant un chemin jusqu'à son torse, pouvant même sentir les battements sortant de sa cage thoracique. Ce baiser, dont tu ne te serais aucunement passé, un baiser passionnel, un baiser chaleureux mais surtout se voulant sauvage. T'en oublie presque que t'étais sa maitresse, deux êtres en quête de soif, de chaleur mais surtout oubliant les pêchés que vous étiez en train de subir. Sentant son souffle chaud de Sullivan contre ton cou, un baiser embrassant ta peau de braise, tu fermes les prunelles, échappant par la même occasion un soupir de plaisir. Tu voulais t'échapper ce soir, sans être l'un des admirateurs de ce spectacle, de garder votre secret dans votre tombe, que personne ne soit au courant, jamais. Gardant les yeux clos, laissant sa voix masculine contre le creux de ton oreille, voilà que tu prends une longue inspiration, esquissant un sourire sur ton visage. Oui, avec plaisir. tu ne t'aurais pas voulu te rendre chez lui, dans l'intention de tomber sur sa femme ainsi que ses enfants, pas question. T'avais pas envie que ça arrive jusqu'à ses oreilles, un secret que l'on doit de garder précieux, de ne pas dire ces détails qui faisaient ce que vous étiez l'un pour l'autre. Un secret gardé, sans aucune attache puisque cela pourrait détruire tout ce que vous aviez bâtis, ce qu'il avait avec sa femme et ça tu peux pas te le permettre, aucunement pas. Ses mains contre tes hanches, un long frisson qui continuait de parcourir ton corps, appréciant tous les gestes de Sullivan, appréciant tout de cet homme. Tu sais qu'en ce moment, tu lui faisais de l'effet, il n'avait pas besoin de te le dire, de mentionner quelque chose du genre, tu pouvais sentir cela naturellement. L'une de tes mains vient a se passer discrètement contre sa cuisse, sentant cette petite bosse qui s'est permise de montrer une forme. J'crois que nous devrions il aller bientôt monsieur Branagh. dis-tu d'un air charmeur, car oui t'es au courant qu'il ne tiendrait pas beaucoup longtemps et rien qu'à cette image tu en souriais encore plus. Te posant sur tes jambes, tu enfiles donc ton manteau contre tes épaules, puisque le soir n'est pas réellement un bon moment pour sortir a moitié nue, avant de finalement marcher vers la sortie, suivie de près par Sullivan, beaucoup trop d'images remontant à la surface surtout.  @Sullivan Branagh  

il reste stoïque en apparence, mais son regard ne trompe pas, son regard brûle de désir pour elle. sa mâchoire se contracte en la sentant poser sa main sur sa cuisse. en continuant comme ça, son pantalon risque de devenir un peu trop étroit. il ne la quitte pas des yeux, la dévore du regard lorsqu'elle se redresse et enfile son manteau. se tournant légèrement vers le barman, il sort son portefeuille et en sort un billet qu'il dépose sur le comptoir. il tourne les talons et suit alors de près la belle blonde, profitant de la vue qu'elle offre. il n'est qu'un simple mortel après tout. et il se demande combien d'hommes dans ce bar les regardes partir en se disant qu'ils aimeraient être à sa place. combien le maudissent en se disant que si il n'avait pas débarqué, ils auraient eu leurs chances. il est quasi sûr que tous en eu ces pensées là.

il sort du bâtiment, laissant sa main venir frôler celle de l'américaine. il s'approche alors de son ashton martin et vient ouvrir la porte du côté passager pour elle. il est gentleman avant tout. il ne manque pas de la regarder dans les yeux lorsqu'elle s'installe. fermant la portière derrière elle, il observe rapidement les alentours en se dirigeant vers la portière du conducteur. ouvrant la portière, il s'assoit tranquillement en refermant la porte derrière lui. il prend soin d'enfiler sa ceinture avant de mettre sa voiture en route. "Je te laisse le choix de la musique." déclare-t-il. il se connait, s'il était seul, il mettrait de la musique classique, ce n'est pas au goût de tous. tournant le volant en veillant à ce qu'il n'y ait pas de voitures arrivant derrière, il se met alors en route, son index tapotant le volant. c'est qu'il est presque impatient qu'ils arrivent. il n'a même plus besoin d'entrer l'adresse de la blonde dans son gps, il ne la connait que trop bien. sa main droite se décolle du volant, venant alors se poser sur la cuisse de juliet. sa main à un contacte directe avec sa peau et son pouce vient alors la caresser doucement. il garde cependant le regard sur la route tout du long. bien que la regarder elle serait bien plus agréable pour ses rétines.

@juliet hammond

Vous étiez tous les deux pareils sur certains points, cependant ton regard brûlait de désir, tout comme celui de Sullivan, deux êtres en recherche de sensations fortes et c'est pourquoi t'es devenue sa maitresse. Rien que de garder ce secret entre vous deux, ça t'avais donner des frissons, de jouer avec le danger mais surtout avec le feu. Ta main posée contre sa cuisse, tu sais qu'il se sentait légèrement serrer dans ses pantalons, toi qui esquisses un sourire sur ton visage, charmeur. Enfilant ton manteau après t'être posé sur tes pieds, le bruit de tes talons hauts qui se faisaient entendre contre le sol. Tu sais qu'il te suit, que son regard devait dévier vers cet endroit physique, qu'il regardait avec envie comme ces hommes présents au bar mais tu t'en fiches, tu sais que ce n'est pas avec eux que tu allais finir ta soirée. Repoussant la porte du bout de tes doigts, tu viens à sortir dehors en sa compagnie, observant tout autour de vous deux, la voie était libre et sentant sa main frôler la tienne, un long frisson parcourait ton corps tout entier, pressant ta lippe inférieure par la même occasion. Remarquant la luxueuse voiture, tu viens à prendre place côté passager, plongeant tes océans vers ceux de Sullivan, esquissant ce même sourire, posant tes fesses contre le banc de cuir de cette même voiture. Ceinture posée contre ton fin corps, tu entends sa voix qui vient jusqu'à tes oreilles, ta tête se tournant par la même occasion vers lui. Avec le temps que nous aurons à faire en voiture, ça ne sera pas nécessaire. souffles-tu avant de lui faire un petit clin d'oeil, le laissant conduire jusque chez toi, sentant sa main droite se poser délicatement contre ta cuisse dénudée par ta robe, frémissant sous son geste. Ta tête se tourne vers lui, sérieux au volant, voulant sans doute te regarder sauf que ta main se glisse aussi contre sa cuisse, glissant un peu plus vers l'intérieur, histoire de ne pas trop le déranger quoique, ça te venait de plus en plus à l'esprit... Vous arriviez donc en face de ton immeuble, toi qui vient a sortir du véhicule mais surtout, de vous rendre jusqu'à ton entrée, déverrouillant la porte. Impatiente.  @Sullivan Branagh