shoot for the stars — iris

Une soirée en sa compagnie, cet homme était spécial car en un sens tu aurais balayer de la main tous les prétendants qui voudraient s'approcher de ta personne, comme t'as tabasser cet homme au bar sous les yeux de Vadim. Une femme qui met un homme ko au sol, possédant quelques centimètres de plus que toi, cet air de dure à cuir et le voilà, interdis de dire une parole déplacée. On t'avais donc dit de faire attention, de ne pas dévoiler ton petit secret, que personne ne sache quelle était ta véritable identité. Ça avait été plus fort que toi, t'allais pas laisser un homme te prendre pour la poupée de service, une simple femme de joie qu'ils pouvaient avoir le temps d'une nuit, non t'es beaucoup plus que ça Iris. Tu n'es pas dupe, tu n'allais jamais céder sous la pression quoiqu'il puisse en coûter, t'as jamais été comme cela et certaines personnes disaient aussi que tu agissais beaucoup trop sans penser aux conséquences. On t'as dis de ne pas réagir trop brusque, telle une tornade qui pourrait très bien tomber dessus sans que l'on puisse y penser, t'es pas comme cela. Sauf que la seule personne pour te faire sortir de tes songes, il t'avais invité à passer un moment, sous les étoiles en sa charmante compagnie, un rendez-vous et pas un rencart car non, vous n'êtes pas du genre romantique. Il t'es précieux, c'bien la première fois qu'un truc comme cela se passait, t'arrivais en plein dans la figure, tu l'adores, tu pourrais tout faire pour lui d'un amour inconditionnelle. Tu ne l'as jamais jugé pour ce qu'il faisait dans la vie, bien qu'il était assez vieux pour savoir ce qu'il faisait, un boulot pas comme les autres, quelque chose que tu n'aimais pas voir, surtout quand il s'agissait de Vesper. Se vendre de la sorte, que quelqu'un paie pour avoir ses services, tu serais prête à l'acheter et que plus personne ne vienne à s'en prendre à lui, cependant tu sais que tu pouvais pas faire ça. Le printemps était particulièrement doux, le temps avait laissé place à la chaleur et c'est pourquoi t'optais pour un look frais, de simple jeans skinny et ce petit top, quelque chose qui était loin d'être extravagant. Un look que jamais tu ne recevra de mauvais commentaires, que jamais on va te pointer du doigt, toi qui es loin d'être comme ta soeur, cette pauvre petite princesse parfaite, déchue à l'heure qui est. Un passé que tu voulais garder pour toi, comme cet ex-petit ami qui est sortis, sans doute dans l'optique de posséder sa vengeance, de celle qui l'a enfermée pendant ces dernières années. Un film d'horreur, tu essayais de chasser ces idées de ton crâne, cependant alors que t'étais perdue dans tes songes, tu viens à sentir ton téléphone vibrer dans la poche arrière de ton jeans. Le prenant du bout des doigts, voilà que tu viens à remarquer le message de Vesper, un doux sourire se dessinant sur tes lèvres et voilà que tu viens à enfiler ton manteau de jeans, prenant au vol tes cartes et de voler jusqu'à lui, escaliers descendus jusqu'à ce que tu puisses arriver vers lui. J'espère ne pas t'avoir fait trop attendre. souffles-tu avant de ne pas lui laisser le temps de répondre à cette phrase, tes bras qui s'enroulent autour de sa nuque, tes doigts se posant contre ses cheveux que tu masses discrètement et te voilà, embrassant ses lippes. T'ignores quel mot mettre sur ce genre de relation et pourtant, tu t'en fiches, il avait été le seul à ne pas te voir tel un objet, le premier à te faire oublier tous tes soucis quand t'étais dans ses bras. Il sera le seul et unique. Mettant fin à cette idylle, tu restes tout près, tes bras toujours enroulés autour de son cou, vos visages presque prêts à s'épouser une nouvelle fois et pourtant, tu le regardes droit dans les yeux. J'dois avouer que tu m'as manquer...  @Vesper Lazarus  

Vous êtes deux étoiles libertines, sans aucune attaches et pourtant, tu ne voulais pas qu'on brise le coeur de Vesper, personne n'a le droit et disons-le t'as pas envie qu'il puisse devenir malheureux vu toute cette espace perdue. Il n'y a pas de mauvaises réactions, toi qui a un caractère de merde alors que tu ne laissais personne se rapprocher de ton être, t'allais certainement pas perdre patience. Tu as un caractère de merde, tu ne laisse personne s'imposer quand t'as quelque chose à dire, c'est intense parfois mais tu sais que les vrais sont les seuls qui t'apprécient. Tu ne sais pas ce qu'il se passe dans sa vie personnelle, avait-il rencontré quelqu'un ? jalousie ne sera certainement pas présente car ça ne t'as jamais empêché d'aller voir d'autres hommes tout comme c'est la même chose pour lui, emploi que tu n'as guère apprécié d'apprendre et malgré tout, ça reste sa vie. Vesper il est important pour toi, cet âme soeur que t'as rencontré à New York, un battement de coeur instantané et depuis cette première rencontre tu ne l'as jamais laissé tombé. Tes démons toujours présents, sachant que ton ex soit en liberté, quittant la californie pour se rendre jusqu'à toi, un secret nullement révélé et tu ne sais pas si c'était une bonne idée. Tu viens à te rapprocher de cet homme, posé tout près de cette moto qu'il appréciait chevaucher la nuit, tout comme toi qui était cette déesse nocturne, elle qui adorait sortir le soir sans te poser aucune question. Leila elle n'est pas comme toi et par chance, t'allais pas la laisser être cette jumelle qu'on puisse te dire. Le bruit de tes talons hauts contre le sol, ceux qui n'étaient pas aiguilles mais assez confortables pour ces pieds de porcelaine, tes converses dans l'entrée de ton appartement mais ce soir, tu t'es fait belle pour ses beaux yeux. Tu te rapproche en quelques secondes, venant à presser ton corps contre celui de cet homme, vos lèvres s'épousant parfaitement, ayant attendu cet instant pendant un long moment maintenant. Il t'avais manqué, celle de passer la soirée en sa compagnie, même la nuit pourquoi pas ? Tes mains posées contre son torse, un long frisson parcourant ton corps entier, sa main qui caresse ta peau, adorant tout ce qu'il te faisait, te donnant des sensations fortes. Tu sais très bien que d'te perdre, j'pourrais pas m'en remettre... t'es au courant ? il volait comme il le voulait, allant chez l'un et chez l'autre, cependant tu sais que si tu venais à lui envoyer un message texte ou même l'appeler, il viendrait à ta rescousses sans penser aux conséquences tout comme tu le ferais pour lui. Pressant ta lippe inférieure, tu esquisses un petit sourire contre ton visage, venant à approuver d'un signe de la tête car oui en fait, il savait comment se faire pardonner. Cendrillon, princesse, ces mots qu'il disait toujours à ton encontre et ça ne t'as jamais dérangée. Je ferai exprès d'oublier mon soulier, histoire que tu puisses revenir m'trouver. petit clin d'oeil par la même occasion, tu viens à prendre le casque avant de l'enfiler, prenant place derrière Vesper, tes bras s'enroulant autour de sa taille histoire de ne pas tomber de la moto. Le moteur vrombrissant, voilà qu'il vient à prendre la route, conduisant entre les voitures de New York, se rendant jusqu'à la plage, endroit dont vous pourrez vous laisser aller, oubliant vos problèmes mutuels. Peu de temps après, vous étiez arrivés, le laissant prendre ce qu'il fallait, casque enlever de ta tête et le voilà, prenant ta main pour que tu puisses le suivre, le coeur battant dans ta poitrine. Tu viens a le suivre, marchant vers la plage, le noir qui vous envahissait et pourtant, les étoiles dans le ciel semblaient beaucoup plus brillantes que de ton appartement. Restant auprès de lui, ta tête se relève vers cette constellation, tu esquisses un sourire. Nah, j'connais pas grand chose mais j'pense que tu vas m'en dire plus. petit clin d'oeil pour appuyer tes propos, il vient a te montrer du doigt la première constellation. Sauf qu'au moment où il mentionne que tu sentais bon, tu le laissais être en arrière de toi, ta tête qui se retourne vers lui. C'que t'es chanceux c'est seulement avec toi que j'met ce parfum. l'une de tes mains vient à se poser contre son avant-bras, ton dos se pose contre son torse aussi, espace de trop en fait. Bien que j'sais que tu meurt d'envie... d'embrasser ma nuque. tu avais dis cela d'une petite voix soufflée, que seulement lui peux entendre.  @Vesper Lazarus  

De voir ces étoiles dans le ciel, tu semblais être perdue dans tes songes, entre tous ces problèmes qui remontaient dans ta tête, toi qui avait ce petit sourire sur le coin de tes lippes. Douce amertumes, tu ne voulais pas entrer dans les détails de tes problèmes, ceux qui remontent dans ton être, toi qui voulait passer ce moment en sa compagnie, avoir le sourire encore plus détaillé. Vesper, il est ton vent de fraicheur, il était ce souffle que tu voulais avoir dans ton être, tu voulais le laisser prendre encore plus de place dans ta vie. Important pour toi comme il l'a toujours été, lui qui avait beaucoup trop d'emprise dans ton coeur, ce coeur qui n'a jamais aimé d'une telle amitié, même pas ton ex avait eu cette possibilité. Certaines personnes verraient cette chose comme un couple, une histoire d'amour écrit a l'eau de rose, cependant ce n'est pas ce qui se passe, vous étiez deux amants, deux personnes volages qui ne demandent qu'a mieux se retrouver. Une relation non-écrite, brouillon sur certains bords et pourtant, tu n'avais pas envie de te laisser aller dans ses bras, quoique l'envie y est présente. Vesper, ce prénom qui hante tes songes, toujours disponible pour d'éventuelles retrouvailles, présentes pour s'adonner a une idée, une image. Ce ciel était somptueux tout simplement, ces étoiles qui ne faisaient qu'éclaircir vos deux visages, vos pupilles posées contre celles du beau brun, coeur voulant s'échapper de cette prison dorée. Sa main masculine contre ton poignet, délicat à souhait comme il l'avait toujours été, torse brûlant contre ton dos, vos bras croisés contre ton ventre. Il pouvait presque sentir les battements de ton coeur contre ta poitrine, un long frisson parcourant ton corps entier, brûlant de plus en plus de désir. Tes cheveux qui était déplacés sur le côté, peau découverte par la même occasion, jusqu'à ce que ses baisers vinrent à se poser contre ta peau, ta nuque, toi qui échappe un long soupir entre tes lippes. Tandis que tu viens doucement à fermer ls prunelles, frémissant de plaisir sous ces baisers. Ton être pourrait très bien se détourner, se plaquer contre son corps, de te laisser aller dans ses bras mais surtout laisser vos idées carnassières telles que mentionnées. Cependant, tout était mentionné noir sur blanc pour que vous puissiez entrer dans les règles de l'art, de ne pas vous laisser faire tous les deux, avoir une relation normale et ce sans tomber dans les bras l'un de l'autre. Tu viens donc à te laisser aller, les mains du beau brun se posant contre tes hanches, retournant ton corps, poitrine collée contre le torse de Vesper, il peux sentir encore les battements plus forts. Tu esquisses un sourire, forcée d'admettre que tu faisais beaucoup plus de choses avec lui qu'aucun autre homme sur cette terre. Aussi que tu n'aimes pas partager... j'le sais. petit clin d'oeil pour approuver, tu restes auprès de lui, l'une de tes mains contre son torse, tes doigts caressant par dessus ce t-shirt qu'il possédait. Doux baiser contre tes lippes, voilà que tu le laisses donc faire, te laissant aller, fermant tes océans, te laissant aller sur cette vague. Sa voix vient à te faire sortir de tes songes, tu ouvres encore le regard, prunelles sombres contre les siennes, approuvant d'un signe de la tête, connaisseur de l'endroit. Main posée contre la sienne, vos pas difficiles dans ce sable si fin, couverture positionnée sur terre, voilà qu'il te dicte de te coucher, de tout oublier sous ce ciel magnifiquement étoilé. Tu t'actives, ne disant pas un seul mot, te couchant dessus contre ton dos, menton accoudé vers le ciel. Ta tête restait un certain moment dans cette position, jusqu'à ce que tu décides de la poser contre son torse, main posée sur sa poitrine, regard toujours posés vers cette voie d'étoile, doux spectacle. J'suppose que tu dois venir souvent ici dans l'optique de tout oublier... dis-tu, esquissant un petit sourire sur ton visage, tes océans déviant vers les siennes, observant le moindre de ses mouvements.  @Vesper Lazarus