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for some, who are travelers, the stars are guides (...) for others they are no more than little lights in the sky ৩ dothy

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dorothy brooks
it is such a mysterious place, the land of tears.
:copyright: david steindl-rast/deeper than words: living the apostles' creed


never trust or love a wild thing.
âge ~ trente-sept (37) ans, des années mouvementées et les affres du temps qui passe, qui s’installent sournoisement sur son visage. date et lieu de naissance ~ native du vingt-huit juillet de l’année quatre-vingt cinq (01.07.1985), à new-york, états-unis d’amérique. ‹ astrologiquement › lion. nationalité ~ américaine, aux origines vaguement anglaises et australiennes. métier ~ ballerine dépassée par les années, déchue, plus que l’ombre de la danseuse étoile d’autrefois, usée. réincarnée actrice et occasionnellement doubleuse (voix). orientation sexuelle ~ hétérosexuelle, il n’y a jamais vraiment eu de grande interrogation sur le sujet, les hommes sont les seuls dont elle est avide de sentir le contact, du moins ça l’était. statut civil ~ abandonnée, dévastée, émotionnellement brisée. cassée, abimé, son coeur n’est plus qu’un organe délabré, dont l’unique rôle dorénavant est celui de pompe sanguine. statut monétaire ~ conséquent, plein à ras bords, plus d’argent épargné que dépensé et les études de son fils déjà payées. groupe ~ i need you like a thirsty, it's a drop of water.

all night long slow down the song
premiere née - pression constante, enivrante, étouffante que d’être l’ainée. première née d’une fratrie de cinq filles, dont paislee (1989), kleo (1995) et everly (2001). toutes si différentes et pourtant complémentaires, unies et réunies d’un amour profond, de cet amour qui prend aux tripes et vous rend plus fort que tout. ambition et excellence pour seul crédo, elles ne vivent que pour faire la fierté et la joie de monsieur et madame brooks, se partageant amour et soutient parental à parts égales. paislee : née 4 ans après, sa cadette, son tout et son rien. parfaite imperfection, combinaison explosive. elles sont tout à la fois, les plus proches et les plus hargneuses, noble ouragan. elles sont piliers, barrière et crocs acérés lorsque le monde se fait trop torturé pour l’autre moitié. cyclothymiques, elles savent aussi bien se battre l’une avec l’autre, que l’une contre l’autre. en quête constante de l’attention parentale. kleo : 9 ans, presque 10 années les séparent, beaucoup mais encore trop peu pour creuser une faille  fatale entre ces deux antagonistes. finalement, peut-être les opposés s’attirent-ils. l’une assidue et cérébrale, dorlotée, surprotégée et envahie par son ainée manichéenne dévorante au coeur débordant, aimant, ardent. rapprochée par le trouble et le déséquilibre psychologique, pilier dramatique. elles avancent ensembles, s’apprivoisent et s’aime malgré les différences. everly : 16 années pour les séparer et autant d’incompréhensions. le dialogue ne passe pas bien, il est hasardeux, hésitant, chaotique et l’ainée se laisse tourner en bourrique. elles s’aimaient ce fût certain et aujourd’hui l’une pleur l’autre bien qu’elle n’y comprenne toujours rien. idée d’excellence - auto-bafouée, bernée, s’est considérée elle-même comme décevante. auto-sabotage jusque ses seize ans environ, l’idée d’être la honte de la famille profondément gravée dans ses tripes, la vilaine écorchure. toujours élevée dans l’idée d’excellence, mais jamais vraiment remarquable durant sa scolarité, dothy n’a jamais été jusqu’aux études supérieures, trop obnubilée par ses activités extra-scolaires. admirable exclusivement sur les planche de la scène, pianiste et violoniste accomplie, membre actif de la chorale du lycée, ré inscrite au club de théâtre à chaque nouvelles promotion. finalement, ce n’est que dans ses chaussons de danse qu’elle s’est véritablement rencontrée elle-même, jusque’à atteindre le sommeil d’affiche de l’opéra. gracieuse poupée - intègre le ballet à l’âge de douze ans, petit rat d’opéra, parallèlement à la poursuite de ses études primaires et secondaires. convaincante et même éblouissante dans son tutu blanc, c’est à ses seize ans au cours d’une représentation qu’elle achève de rallier ses parents à sa cause pour atteindre l’apogée de sa carrière à dix-huit ans, ballerine montante, étoile éclatante. pourtant il est bien connu que le ballet n’est qu’un monde requins, enfer rosé, habilement dissimulé derrière voiles de tules et pointes millimétrées. environnement carnassier, où tout se compte, tout se mesure et tout se contrôle. c’est par l’alimentation qu’elle garde le dessus. réduisant les apports, jour après jour, pour pratiquer plus, encore et toujours. Haute toxicité, la menant jusqu’aux falaises abruptes des trouble du comportement alimentaire et de l’anorexie mentale. Hypotensions, constipations, troubles hormonaux, répercussion psychologiques autant que physiques, ce n’est que l’amour qui lui maintien la tête hors de l’eau. sauvetage in extremis - vingt-quatrième automne hors de tout contrôle, la ballerine dérape, sa lumière vacille et elle s’écroule en pleine répétition. ralentissement hémodynamique, elle est transportée d’urgence au mount sinai hospital, bradycardie. le diagnostique d’anorexie est posé par un professionnel de santé, psychiatre intelligent et bienveillant, bouée de secours lancée en pleine mer. c’est reconnaissante et pleine de gratitude qu’elle lui fait parvenir, ainsi qu’aux pompiers, des invitations témoins de ses remerciements sincères. passée trop près d’une issue funeste et bien décidée à se reprendre en mains. elle ne le rencontre véritablement qu’après la représentation, aaron, son bienfaiteur. ce même homme qui l’année de ses vingt-sept ans pose un genou à terre pour lui demander sa main. rédempteur et fossoyeur, qui l’abandonnera devant l’autel d’un baiser d’adieu délicatement craché au front. quelques jours s’en suivent, un test positif et le pas est franchit, l’amour se fait haine. pomme empoisonnée - un malheur n’arrive jamais seul. tel est l’enfant à naître, aussi salutaire qu’il est préjudiciable, il sonne le glas d’une carrière étincelante. tunnel sombre. rapidement la première danseuse se voit rétrogradée et d’étoile scintillante elle n’est plus qu’un morceau de charbon froid. forcée de raccrocher ses pointes, le ventre rond, qui gonfle tel un ballon prêt à la rupture, sans avoir jamais vraiment prit le temps de réfléchir aux engagements et responsabilités de la maternité, heureusement elle est bien entourée la poupée. neuf mois plus tard, l’année de ses vingt-huit ans, le marmot vient au monde. il est beau, le doux mélange parental, divin équilibre au rire cristallin. déjà prêt à ravir tous les coeurs, affectionné de ses quatre tantes sans exception. les début sont difficiles, plus difficiles que la normes dit le psychiatre, le baby blues devient dépression post-partum et la jeune mère dépassée devient dragon. irritable, instable, cyclothymique, anxieuse et insomniaque. l’encéphale disjoncte, nouveau travail à mettre en place dont, cette fois, ce sont les soeurs le pilier. S’en suivent deux années tumultueuses. par la grande porte - nouvelle chance, contactée à trente ans, on lui propose un rôle dans un film. pas un premier rôle et certainement pas celui de sa vie, mais suffisant pour la mener au cinéma. enchainement et nouvel équilibre, pour un nouveau chemin dans la lumière, conciliation de deux carrières. mère et actrice. en sept ans, cinq grands films pour cinq grands rôles et six doublages. trois gros cachets et trois mentions. triomphe. débâcle de réussites. elle achète une maison l’année de ses trente-cinq ans, en plein coeur de manhattan. une maison bien trop grande pour n’héberger que deux personnes, tout près du central park. aboutissement. trop beau pour être vrai - un nouveau drame ébranle l’ensemble de la famille brooks l’été deux mille vingt-deux. fracas. une route tard dans la nuit aura suffit à marquer du sceau de la peine huit vies. deuil chaotique. everly, vingt-et-un ans, à peine majeure rentre de son anniversaire lorsqu’un chauffard la pousse hors de l’asphalte. la benjamine meurt sur le coup, laissant derrière elle quatre filles déboussolées.

cause we're ready for the fame.
~ liens recherchés
femmes/hommes (indifférenciés) : ils/elles peuvent être régisseur, costumiers, dramaturges, agents artistiques, chef de chant ou d’orchestre, compositeurs, musiciens, scénographes, critiques, attachés de presse, directeurs artistiques, chorégraphes, maîtres de ballet, metteur en scène, ou encore ballerines, autant de professions qui se disputent une place au ballet. et, comme à chacun le sait, le ballet est un monde fauves, de brutes sauvages et sans pitié habilement dissimulé. tous font partie de son ancienne vie, de ses cicatrices, pourtant sans eux elle ne se retrouve plus vraiment elle-même.
Spoiler:


femme/homme (indifférenciés) : des pilules, des tonnes de pilules, de toutes les couleurs. des pilules pour des arc-en-ciel dans la tête. il/elle est psychiatre (pas psychologue), personne ne sait quoi que ce soit de leurs entrevues, ni les soeurs brooks ni les tabloïds. tout comme on ne sait rien des pathologies qui grisonnent le quotidien de dothy. des pilules il y en a pour tout, pour oublier, pour avance, pour manger, pour sourire, il n’en manque qu’une, une seule pour danser. pl par ici.
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    hurricane never warns

Soeur cadette - elles sont nées à quatre ans d’intervalle, sa cadette, son tout et son rien. parfaite imperfection, combinaison explosive. elles sont tout à la fois, les plus proches et les plus hargneuses, noble ouragan. elles sont piliers, barrière et crocs acérés lorsque le monde se fait trop torturé pour l’autre moitié. cyclothymiques, elles savent aussi bien se battre l’une avec l’autre, que l’une contre l’autre. en quête constante de l’attention parentale, une relation chamaillerie et chevalerie.




    in the eye of the storm

Soeur cadette² - neuf ans, presque dix années les séparent, beaucoup mais encore trop peu pour creuser une faille fatale entre ces deux antagonistes. finalement, peut-être les opposés s’attirent-ils. l’une assidue et cérébrale, dorlotée, surprotégée et envahie par son ainée manichéenne dévorante au coeur débordant, aimant, ardent. rapprochée par le trouble et le déséquilibre psychologique, pilier dramatique. elles avancent ensembles, s’apprivoisent et s’aime malgré les différences. parfois elles se resembles bien plus qu’il n’y parait, dans leurs troubles tout particulièrement.




    dancing queens

Concurrences enfantines - ‹ have you seen my ballet shoes ? › trente-cinq et trente-sept ans, deux années les séparent peut-être mais la passion certainement pas. douces sont présumées les rencontres de l’enfance et pourtant comme elles peuvent être sauvages lorsque l’ambition s’en mêle. amies-ennemies de bas âge, mais pas de bas étage. rivalité brillante, concurrence motivante, jalousie déterminante. de l’éveil aux cours de danse classique, elle se suivent, se poursuivent et parfois de dépassent avant de s’attraper, se rattraper à nouveau. tout n’a pas toujours été rose et tout n’avait pas bien commencé entre ces deux danseuses étincelantes. puis les années ont effacé le poids des rivalité pour ne les rassembler que bien plus tard, ensemble pour toujours tirer le meilleur l’une de l’autre.



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    abandoned in front of the altar of memories

Ex-fiancé - c’était il y presque dix ans maintenant, pourtant dans ses cauchemars le soleil illumine encore de ses rayons flamboyants. il avait environ 26 ans et elle 27, lorsqu’il a posé le genou à terre pour lui demander sa main, elle se souvient encore de la sensation de l’anneau qui lui glisse le long du doigt. elle s’y revoit, chaque fois, les cheveux habilement coiffés et de blanc vêtue. toutes les conditions étaient pourtant réunies, un objet neuf et un objet vieux, un emprunté et un autre bleu, chacune de ses soeurs y avait été de son grigri. pourtant, il a dit non, ses yeux plongés dans les siens ‹ no, .. i don’t want to make you unhappy › ont été ses dernières paroles. la caresse de ses lèvres sur son front et son dos qui lui tourne les talons en partant. la chute fatale, un traumatisme encrée profondément dans ses chaires.




    find noon at her doorstep

Voisin et bricoleur bienveillant - une maison, en plein coeur de manhattan, une concrétisation. à trente-cinq ans, aboutissement. être de bon voisinage, telle est la règle tacite qui s’impose dans cette maison bien trop grande pour n’abriter en son sein que deux personnes tout près de central park et bien trop vide avec cet enfant calme qui est le sien. telle est la bonne excuse qui l’a menée là, un soir de semaine, sur le palier de la maison d’en face. ‹ welcome home, call me dothy, i live across the street › muffins myrtilles à la main. si l’on lui avait dit, un jour, qu’il suffisait de quelques sucreries pour se faire des amis fiables probablement qu’elle aurait déjà le répertoire bien garnit ou qu’elle ne l’aurait jamais cru. ‹ did you order a charred apple pie? › et voilà c’est parti. paix et tendresse d’une compagnie bienveillante, services donnés pour services rendus, amitié naissante. ‹ i finished building the library - great, would you like a rhubarb cake ? ›.




    a bottle in the sea

De fil en aiguille - veuf terassé. sa défunte épouse, infirmière rencontrée il y a neuf ans à la naissance de son premier et unique enfant, rayon lumineux dans la noirceur d’une vie ébranlée. sauvetage inexetremis, c’est elle qui a su forte de son expérience ou de son intuition, comprendre que tout n’était pas rose pour la jeune mère célibataire. baby blues, depression post partum, santé mentale du dimanche. elle aura su alarmer les personnes appropriées. de bouée inespérée à amie dévouée.
été deux mille vingt-deux, hécatombe, ‹ mrs. novak's funeral will take place this Sunday, 4 p.m. › invitation pour la forme d’un époux aussi endeuillé qu’il fut aimé. dothy aimerait mieux le connaitre, maladroite, ne sachant trop comment s’y prendre. alors elle essaie d’être fidèle à la mémoire de son amie et tente tant bien que mal d’aider jayson à garder la tête hors de l’eau. d’amie secourue à bouée inespérée.




    poetic relationship

Rencontre peu amicale - il a trente ans et elle en a trente-sept, on aurait pu croire que dothy serait plus mature que ça, d’ailleurs rien n’aurait pu les destiner à se rencontrer. pourtant elle ne l’apprécie guère, elle ne l’aime meme voir pas du tout. vestige du passé, rappel sombre d’une période de vie sinistrée. elle ne supporte pas de voir son visage dans les magasines, sur leurs couvertures. ballerine déchue, lui héritier de l’opéra familial, catalogué. à ses yeux il est comme tous les autres, comme tous ces être infâmes lui ayant coupé les ailes. depuis l’été deux mille vingt-deux, depuis qu’elle se rend à la messe presque chaque dimanche, il arrive qu’ils se croisent sur le parvis, ‹ go to hell, ripper of wings, slayer of careers and defiler of dreams › qu’elle pense tout bas, le soupire au bord des lèvres. jusqu’au jour ou elle dira tout haut le fond de sa pensée.



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Salut, un lien ?
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Plutôt milles fois qu'une même, t'as une idée ou un besoin précis ? 1146254469
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@Dorothy Brooks pour être franc, je suis venu en touriste. 805420653 mais pour ma défense, je trouve ta demoiselle intéressante 1146254469
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Désolée pour le délai du retour @Mattia Galvani, je suis passée totalement à côté de ton message. huh J’ai cru voir dans ta fiche de liens que Mattia était propriétaire de plusieurs bars à travers le monde, NY city comprise ? 4109942226
Si oui, on peut partir de ça, Dothy vient régulièrement en aide à Jayson l’ivrogne, peut-être qu’ils auraient pu se rencontrer un soir à cette occasion ? superman Qu’est-ce que tu recherche plus, des liens positifs, négatifs ou sans évolution fixe à voir en rp ?
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@Dorothy Brooks c'est bon, j'ai aussi du retard :oops:
Oui dans la city de ton choix lol

Je t'avoue que je préfère jouera les liens positifs ahah
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