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FAQnana is a mom (vesper)
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L'inquiétude s'est rapidement emparé d'elle.
Maman poule avec Vesper. Elle transmet son besoin d'affection sur ce jeune garçon. Déboussolé, sans vraiment personne à qui se raccrocher, il a trouvé en elle une figure maternelle, Polyna attire les enfants perdus, lumière au bout du tunnel alors que la nuit elle s'éteint, ne brille plus, se fond dans le paysage pour n'en ressortir qu'au levé du jour. Ce soir, elle ne passera pas par l'entrepôt, les livraisons sont en place, elle a supervisé quelques opérations par téléphone. Quand elle prévoit de voir Vesper, Diane se débrouille toujours pour avoir sa soirée. Un tablier de cuisine sur ses vêtements elle a sortit ses casseroles pour lui préparer un repas digne de ce nom, elle aime cuisiner, mais ne le fait plus si souvent depuis qu'elle vit seule.
L'heure passe. Et un rappel à l'ordre s'avère nécessaire. Suffisamment pour qu'il ne se dépêche d'arriver, il vaut mieux, parce que si elle se déplace pour venir le chercher il risque de passer un mauvais moment, polyna peut se montrer terrible, particulièrement instable dans ses émotions. Plat qui mijote sur le feu et gâteau qui gonfle dans le four, elle retire son tablier et installe la table pour que tout soit parfait. Vesper semble avoir pris sa menace au sérieux parce que quelques coups contre la porte lui signifie qu'il est déjà là. Il a été rapide. Elle masque son sourire en prenant une mine renfrogner pour lui faire comprendre qu'elle est mécontente, elle ne compte pas lui pardonner si vite. Elle s'est inquiétée bon sang ! Vesper a le don de s'attirer des ennuis, il est doué pour ça, alors elle imagine toujours le pire quand il n'est pas à l'heure pour venir la voir. Ou parfois passer la nuit ici, quand il ne se sent pas de rester seul chez lui. Elle ne pose jamais de questions sur son histoire Nana, elle n'a pas besoin de savoir, elle sait mieux que quiconque qu'il ne vaut mieux pas remuer le passé. C'est ça que tu appelle "arriver vite" ? elle se montre de mauvaise foi, croisant les bras sur sa poitrine pour lui faire comprendre qu'elle est contrariée. Tu imagines le sang d'encre que je me suis fais ? Je pensais qu'il t'étais arriver quelque chose ! Deuxième sermons. Et comme il n'y en a jamais deux sans trois. Et en plus de ça tu m'as oublié ? Je suis outrée Vesper. elle espère qu'il a bien compris où elle voulait en venir. Elle se décale tout de même pour le laisser entrer, minois enfantin mais esprit de diablotin, refermant la porte derrière lui. Elle ne sait pas encore si elle est décidée à lui pardonner.
Maman poule avec Vesper. Elle transmet son besoin d'affection sur ce jeune garçon. Déboussolé, sans vraiment personne à qui se raccrocher, il a trouvé en elle une figure maternelle, Polyna attire les enfants perdus, lumière au bout du tunnel alors que la nuit elle s'éteint, ne brille plus, se fond dans le paysage pour n'en ressortir qu'au levé du jour. Ce soir, elle ne passera pas par l'entrepôt, les livraisons sont en place, elle a supervisé quelques opérations par téléphone. Quand elle prévoit de voir Vesper, Diane se débrouille toujours pour avoir sa soirée. Un tablier de cuisine sur ses vêtements elle a sortit ses casseroles pour lui préparer un repas digne de ce nom, elle aime cuisiner, mais ne le fait plus si souvent depuis qu'elle vit seule.
L'heure passe. Et un rappel à l'ordre s'avère nécessaire. Suffisamment pour qu'il ne se dépêche d'arriver, il vaut mieux, parce que si elle se déplace pour venir le chercher il risque de passer un mauvais moment, polyna peut se montrer terrible, particulièrement instable dans ses émotions. Plat qui mijote sur le feu et gâteau qui gonfle dans le four, elle retire son tablier et installe la table pour que tout soit parfait. Vesper semble avoir pris sa menace au sérieux parce que quelques coups contre la porte lui signifie qu'il est déjà là. Il a été rapide. Elle masque son sourire en prenant une mine renfrogner pour lui faire comprendre qu'elle est mécontente, elle ne compte pas lui pardonner si vite. Elle s'est inquiétée bon sang ! Vesper a le don de s'attirer des ennuis, il est doué pour ça, alors elle imagine toujours le pire quand il n'est pas à l'heure pour venir la voir. Ou parfois passer la nuit ici, quand il ne se sent pas de rester seul chez lui. Elle ne pose jamais de questions sur son histoire Nana, elle n'a pas besoin de savoir, elle sait mieux que quiconque qu'il ne vaut mieux pas remuer le passé. C'est ça que tu appelle "arriver vite" ? elle se montre de mauvaise foi, croisant les bras sur sa poitrine pour lui faire comprendre qu'elle est contrariée. Tu imagines le sang d'encre que je me suis fais ? Je pensais qu'il t'étais arriver quelque chose ! Deuxième sermons. Et comme il n'y en a jamais deux sans trois. Et en plus de ça tu m'as oublié ? Je suis outrée Vesper. elle espère qu'il a bien compris où elle voulait en venir. Elle se décale tout de même pour le laisser entrer, minois enfantin mais esprit de diablotin, refermant la porte derrière lui. Elle ne sait pas encore si elle est décidée à lui pardonner.
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Les coeurs alternés aux âmes disloquées, la colérique a atteint le summum de sa patience devant le retard de son protégé qu'elle avait attendu plus de quelques heures. Être fragile qui ne l'était jamais vraiment mais qu'elle avait recueillit le temps de guérir ses paies béantes sans jamais pouvoir réellement réparer son âme. Nana n'est pas un ange, elle n'a rien d'une gardienne des songes, marchandes de rêves à coup de crack et de cocaïne, elle distille le paradis dans ces petits sachets qu'elle envoie ses pantins vendre pour elle, mère des âmes égarées qui reviennent toujours vers elle et qu'elle manipule à sa guise, la nuit la blonde se fait leader, femme du business qui n'a rien de glorifiant, loin de la pâtissière aux sourires tendres et de façades, capable de berner son monde et tromper son quotidien, une seule personne réellement au courant de ses agissements, secret bien gardé pour le commun des mortels. Des monstres de la nuit, et pourtant jamais elle n'interroge l'ange qui franchit sa porte, se contentant de ses sourires et ses regards discrets, jardins secrets qui doivent le rester. C'est moche la nuit. C'est assassin l'obscurité. Alors pour Vesper elle ne sera que rayon de soleil, c'est la facette d'elle qu'elle lui accorde, qu'elle lui donne avec plaisir et volupté pour réchauffer son coeur blessé. Gamin perdu, pris sous son aile comme la mère qu'elle est. Si sa fille ne veut plus d'elle, Diane peut toujours être une mère pour d'autre, manque cruel qu'elle comble d'une façon toxique, peu ordinaire, instinct primaire qui lui appartient et que personne n'a besoin de réellement connaître.
Colère palpable quand il passe la porte de l'appartement, regard sombre qui se plante dans le sien tandis que sa posture exprime à elle seule son mécontentement avant même qu'elle ne parle. Langage corporel fermé à l'image de ses bras croisés sur sa poitrine contemplant le visage juvénile qui lui, arrive tout sourire. Ne me fais pas croire que je suis unique quand tu es capable de manquer un de nos rendez-vous. réplique cinglante et langue qui claque contre son palais, pas de paroles doucereuses avec elle, ni de fausses promesses. Polyna ne se laisse pas attendrir par la flatterie, beau parleur de ces dames, de ces hommes, capable d'envoûter le monde pour le mettre à ses pieds et pourtant Vesper était à terre quand elle l'a trouvé. Je suis plus maline que ça. et ce serait presque insultant qu'il puisse imaginer la faire flancher comme il fait plier le monde pour ses yeux beaux et son joli sourire.
Un sachet tendu dans sa direction attisant la curiosité de Diane, décroisant lentement ses bras pour se saisir du fin sachet entre les doigts de Vesper, admirant en effet l'intérieur, charmeur vicieux se rappelant de chacun de ses péchés mignons, dans un lit comme dans la vie, rose noire présentée en offrande qui fait renaître quelque peu la tendresse sur le visage de la blonde. Elle tend sa main pour effleurer la fleur, la prendre entre ses doigts en évitant soigneusement les piquants, tendant sa joue pour en apprécier le contact de ses lèvres dessus. Bien, ça ira pour cette fois, mais je t'interdis de me refaire ce coup là. Compréhension plutôt claire non ?
Le sachet de gâteaux et la rose qu'elle pose sur le meuble de l'entrée, porte refermée et orbes sombres se rencontrant de nouveau, frissonnement s'installant sur sa peau. Tu n'es pas invincible Vesper. Ce n'est pas la première fois qu'elle le lui souffle, Diane ne pourra jamais s'empêcher de s'inquiéter pour lui. C'est plus fort qu'elle. besoin viscérale, presque maternelle, de le savoir en sécurité. Protégé. Et il ne l'est jamais autant que dans ses bras. Les mains qui se posent sur ses hanches l'attirent au plus prés de lui, corps qui se plaque contre le sien, les mains de Diane allant se perdre dans la chevelure ébène de son garçon, tête rejetée en arrière, place qui lui est réservé, douces caresses contre ses mèches quand le visage se blottit dans son cou, doigts se faisant plus aventureux quand il trace avec lenteur extrême la courbure de son dos. Es-tu sûre de me mériter ? voix doucereuse, venant se perdre contre l'oreille du brun, souffle percutant sa peau quand elle recule de quelques pas, iris brillantes, mais néanmoins décidée à ne pas céder si facilement, excuse pas encore tout à fait accepter. Aide moi à mettre la table. ordre claqué de sa voix tendre, récupérant la rose qu'il lui a offerte pour la mettre dans un vase, souvenir de Vesper qu'elle entreposera dans son salon.
Colère palpable quand il passe la porte de l'appartement, regard sombre qui se plante dans le sien tandis que sa posture exprime à elle seule son mécontentement avant même qu'elle ne parle. Langage corporel fermé à l'image de ses bras croisés sur sa poitrine contemplant le visage juvénile qui lui, arrive tout sourire. Ne me fais pas croire que je suis unique quand tu es capable de manquer un de nos rendez-vous. réplique cinglante et langue qui claque contre son palais, pas de paroles doucereuses avec elle, ni de fausses promesses. Polyna ne se laisse pas attendrir par la flatterie, beau parleur de ces dames, de ces hommes, capable d'envoûter le monde pour le mettre à ses pieds et pourtant Vesper était à terre quand elle l'a trouvé. Je suis plus maline que ça. et ce serait presque insultant qu'il puisse imaginer la faire flancher comme il fait plier le monde pour ses yeux beaux et son joli sourire.
Un sachet tendu dans sa direction attisant la curiosité de Diane, décroisant lentement ses bras pour se saisir du fin sachet entre les doigts de Vesper, admirant en effet l'intérieur, charmeur vicieux se rappelant de chacun de ses péchés mignons, dans un lit comme dans la vie, rose noire présentée en offrande qui fait renaître quelque peu la tendresse sur le visage de la blonde. Elle tend sa main pour effleurer la fleur, la prendre entre ses doigts en évitant soigneusement les piquants, tendant sa joue pour en apprécier le contact de ses lèvres dessus. Bien, ça ira pour cette fois, mais je t'interdis de me refaire ce coup là. Compréhension plutôt claire non ?
Le sachet de gâteaux et la rose qu'elle pose sur le meuble de l'entrée, porte refermée et orbes sombres se rencontrant de nouveau, frissonnement s'installant sur sa peau. Tu n'es pas invincible Vesper. Ce n'est pas la première fois qu'elle le lui souffle, Diane ne pourra jamais s'empêcher de s'inquiéter pour lui. C'est plus fort qu'elle. besoin viscérale, presque maternelle, de le savoir en sécurité. Protégé. Et il ne l'est jamais autant que dans ses bras. Les mains qui se posent sur ses hanches l'attirent au plus prés de lui, corps qui se plaque contre le sien, les mains de Diane allant se perdre dans la chevelure ébène de son garçon, tête rejetée en arrière, place qui lui est réservé, douces caresses contre ses mèches quand le visage se blottit dans son cou, doigts se faisant plus aventureux quand il trace avec lenteur extrême la courbure de son dos. Es-tu sûre de me mériter ? voix doucereuse, venant se perdre contre l'oreille du brun, souffle percutant sa peau quand elle recule de quelques pas, iris brillantes, mais néanmoins décidée à ne pas céder si facilement, excuse pas encore tout à fait accepter. Aide moi à mettre la table. ordre claqué de sa voix tendre, récupérant la rose qu'il lui a offerte pour la mettre dans un vase, souvenir de Vesper qu'elle entreposera dans son salon.
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Adhérence palpable des sens, les traits de l'ange ne l'envoûte pas quand la colère étreint l'égo. Un oubli. Ses yeux acérés pourraient le fusiller sur place tant l'affront est tenace. Caresse doucereuse de ses doigts contre sa joue, douceur de sa peau qu'elle laisse glisser sous son épiderme, visage angélique aux pupilles ébènes aussi brûlante que l'enfer. Elle pourrait s'y perdre, enfant égaré accueillit en son sein, fils qu'elle n'a jamais eu. Polyna compte heures, les secondes, les minutes, mais rien. Toujours pas de nouvelles de son frère. Pas même un appel ou un message. Coeur en miette. Coeur qu'il recolle à coup de baiser contre sa nuque et de chaleur contre son épiderme. Tête rejetée en arrière, lèvre mordillée quand le souffle rauque de Vesper s'égare contre la peau fine de son cou, douceur qui n'est pas voilée, qui pourrait lui donner envie de frissonner, d'aller se perdre entre les bras et les cuisses de Vesper.
Nana recule. Nana domine. Elle ne s'incline pas, ne plie pas quand ce soir il ne mérite pas qu'elle soit à sa merci. Regard qui se rouvre dans le sien. Iris qui se toisent et se cherchent, provocation et insolence. Nana fait claquer sa langue contre son palais quand il balance sa veste contre son canapé.Ce n'est pas parce que tu sais te battre que ça m'empêche de m'inquiéter pour toi. les sourcils qui se froncent. Logique implacable à ses yeux. Enfant chéri, adulé par la matriarche, l'envie de fondre sous ses baisers, mais la provocation l'emporte sur les lèvres tentatrices du serpent qui l'anime.
Il s'approche et elle soutient son regard, penchant son visage sur le côté pour l'observer. De la possession. Eclat qui s'anime dans les iris de Nana. Tu crois que tu me possèdes ? Sa main qu'elle glisse contre le tissu de son haut, le frôle du bout de ses doigts. Présomptueux. Il pense la posséder ? Diane pourrait lui glisser entre les doigts. A n'importe quel moment. Tourner le dos est ce qu'elle sait faire de mieux. Corps qui s'approche plus encore, se plaque contre le sien dans une presque étreinte, toxique. intrépide. terriblement volage. Je ne t'appartiens pas Vesper. provocation ultime. Sourire insolent sur son visage, elle bat des cils retire ses doigts de sa peau.
Coeur qui explose à l'idée de le voir franchir la porte. Colére éclatante qui voudrait attraper son poignet pour l'empêcher de le faire s'il décide de se détourner d'elle. Mais l'égo est tenace. Démesuré. La fierté est ancrée. Mais comme tu l'as dis, ce n'est pas une question de mérite. Elle pose ses doigts sous son menton, englobant son visage vers le sien. Chéri si tu passes cette porte, ne reviens plus. menace à peine voilée. coeur qu'ils pourraient piétiner. Chantage qui s'étend entre eux, qui fera céder, craquer, plier l'autre en premier. Clope qu'il allume contre ses lèvres en se laissant tomber sur une chaise, Diane vient s'installer sur ses cuisses, tirant sa clope de ses lèvres pour prendre une latte à son tour. Respirer cette fumée blanche, s'enivrer de nicotine, et d'un désir plus vif. Bassin ondulant légèrement contre le sien. Pression magnétique.
Nana recule. Nana domine. Elle ne s'incline pas, ne plie pas quand ce soir il ne mérite pas qu'elle soit à sa merci. Regard qui se rouvre dans le sien. Iris qui se toisent et se cherchent, provocation et insolence. Nana fait claquer sa langue contre son palais quand il balance sa veste contre son canapé.Ce n'est pas parce que tu sais te battre que ça m'empêche de m'inquiéter pour toi. les sourcils qui se froncent. Logique implacable à ses yeux. Enfant chéri, adulé par la matriarche, l'envie de fondre sous ses baisers, mais la provocation l'emporte sur les lèvres tentatrices du serpent qui l'anime.
Il s'approche et elle soutient son regard, penchant son visage sur le côté pour l'observer. De la possession. Eclat qui s'anime dans les iris de Nana. Tu crois que tu me possèdes ? Sa main qu'elle glisse contre le tissu de son haut, le frôle du bout de ses doigts. Présomptueux. Il pense la posséder ? Diane pourrait lui glisser entre les doigts. A n'importe quel moment. Tourner le dos est ce qu'elle sait faire de mieux. Corps qui s'approche plus encore, se plaque contre le sien dans une presque étreinte, toxique. intrépide. terriblement volage. Je ne t'appartiens pas Vesper. provocation ultime. Sourire insolent sur son visage, elle bat des cils retire ses doigts de sa peau.
Coeur qui explose à l'idée de le voir franchir la porte. Colére éclatante qui voudrait attraper son poignet pour l'empêcher de le faire s'il décide de se détourner d'elle. Mais l'égo est tenace. Démesuré. La fierté est ancrée. Mais comme tu l'as dis, ce n'est pas une question de mérite. Elle pose ses doigts sous son menton, englobant son visage vers le sien. Chéri si tu passes cette porte, ne reviens plus. menace à peine voilée. coeur qu'ils pourraient piétiner. Chantage qui s'étend entre eux, qui fera céder, craquer, plier l'autre en premier. Clope qu'il allume contre ses lèvres en se laissant tomber sur une chaise, Diane vient s'installer sur ses cuisses, tirant sa clope de ses lèvres pour prendre une latte à son tour. Respirer cette fumée blanche, s'enivrer de nicotine, et d'un désir plus vif. Bassin ondulant légèrement contre le sien. Pression magnétique.
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Visage angélique aux traits délicats, démon des nuits aux intentions aussi scandaleuses que macabres, Polyna n'avait de cesse de le regarder depuis qu'elle l'avait trouvé un soir. Désorienté, esseulé, enfant rendu à la rue, coeur noir rejetée par la vie elle-même. Il aurait pu l'oublier ce soir. Faute qui ne l'aurait pas surprise, bien que rattrapée. Ange qu'elle gronde, d'une voix presque maternelle, inquiète. Jusqu'au bout de ses ongles. Jusque dans son regard trop clair. Enfant qui se pense immortel, mais la violence de la rue pourrait l'engloutir tout entier. Et si les soucis arrivaient jusqu'à lui, alors que ferait-il ?
Pensées vagabondes qui s'entrechoquent dans son esprit, quand elle se perd dans les yeux sombres de Vesper. l'attention singulière qu'elle lui porte aussi vive que l'affection qu'elle peut ressentir, coeur battant, Polyna s'attachant bien trop facilement, attirant ainsi multiples complications dans sa vie. C'est son égo qui parle, c'est sa fierté aussi, celle de ne pas se laisser écraser par les bras de son démon qui pourrait la broyer d'une main de fer si elle montrait un signe de faiblesse. Elle ne lui appartient pas, elle n'est qu'une ombre, l'accueillant quand il en a besoin, ou se fondant contre lui quand ça devient trop difficile. Quand l'affection maternelle prend le dessus, petite blonde qui n'a jamais eu d'enfant. l'enfant c'est lui. Esprit cassé, abîmé, façonné par Manos depuis des années, toxicité des échanges dont elle a envie. besoin. la nécéssité de son être. addict, accro, le besoin de le toucher qu'elle masque sous l'ego, sous le regard tenu et enfiévré, le toisant de toute sa hauteur bien qu'il faille lever le visage pour pouvoir l'atteindre.
Installée sur ses genoux, clope volée entre ses doigts fins, Polyna inspire une bouffée, nicotine dans les poumons. nicotine dans la tête. nicotine love dans son être. Bassin qu'il plaque contre le sien, souffle qui s'accélère, clope qu'elle retire de ses lèvres pour la tenir entre ses doigts fins, observant de ses yeux bleus le visage ô combien délicat mais le regard acéré de l'ange démoniaque de ses nuits. Tu m'abandonnerais ? question murmurée du bout de ses lèvres quand elle penche son visage sur le côté pour l'observer, une main se posant contre la nuque de Vesper. Tu saurais te passer de moi ? voix soufflée, presque fissurée. Fragilité entrevue, autorité entravée par le rebelle en face d'elle.
Le corps réponds, les sens s'enflamment, se retient de lui dire qu'il a raison, ne veut pas lui donner cette satisfaction. Sa main disparaît entre leurs deux corps, bassin se soulevant légèrement de ses cuisses pour davantage le sentir. énième bouffée de nicotine qu'elle inspire, qu'elle respire. Un doigt entre ses cuisses, frissons qui se dessinent sur sa peau, mordillant la cigarette entre ses lèvres, récupérée par Vesper. Désir qui brille, humidité sur la pulpe de ses doigts, hypnotisée par la voix mielleuse du brun elle entrouvre ses lèvres roses, caressant son doigt de sa langue, refermant sa bouche autour de ce doigt qu'elle titille, aspire, mordille. Libère de ses lèvres pour passer ses mains contre sa nuque, approcher ses lèvres des siennes. je te connais plus vorace que ça. baiser vorace qu'elle impose à ses lèvres, sa langue qui se glisse entre ses lèvres pour venir caresser la sienne, corps en ébullition, bassin appuyant contre le sien. Plus vite. plus fort. Tissus bien trop gênants. attisement des sens.
Pensées vagabondes qui s'entrechoquent dans son esprit, quand elle se perd dans les yeux sombres de Vesper. l'attention singulière qu'elle lui porte aussi vive que l'affection qu'elle peut ressentir, coeur battant, Polyna s'attachant bien trop facilement, attirant ainsi multiples complications dans sa vie. C'est son égo qui parle, c'est sa fierté aussi, celle de ne pas se laisser écraser par les bras de son démon qui pourrait la broyer d'une main de fer si elle montrait un signe de faiblesse. Elle ne lui appartient pas, elle n'est qu'une ombre, l'accueillant quand il en a besoin, ou se fondant contre lui quand ça devient trop difficile. Quand l'affection maternelle prend le dessus, petite blonde qui n'a jamais eu d'enfant. l'enfant c'est lui. Esprit cassé, abîmé, façonné par Manos depuis des années, toxicité des échanges dont elle a envie. besoin. la nécéssité de son être. addict, accro, le besoin de le toucher qu'elle masque sous l'ego, sous le regard tenu et enfiévré, le toisant de toute sa hauteur bien qu'il faille lever le visage pour pouvoir l'atteindre.
Installée sur ses genoux, clope volée entre ses doigts fins, Polyna inspire une bouffée, nicotine dans les poumons. nicotine dans la tête. nicotine love dans son être. Bassin qu'il plaque contre le sien, souffle qui s'accélère, clope qu'elle retire de ses lèvres pour la tenir entre ses doigts fins, observant de ses yeux bleus le visage ô combien délicat mais le regard acéré de l'ange démoniaque de ses nuits. Tu m'abandonnerais ? question murmurée du bout de ses lèvres quand elle penche son visage sur le côté pour l'observer, une main se posant contre la nuque de Vesper. Tu saurais te passer de moi ? voix soufflée, presque fissurée. Fragilité entrevue, autorité entravée par le rebelle en face d'elle.
Le corps réponds, les sens s'enflamment, se retient de lui dire qu'il a raison, ne veut pas lui donner cette satisfaction. Sa main disparaît entre leurs deux corps, bassin se soulevant légèrement de ses cuisses pour davantage le sentir. énième bouffée de nicotine qu'elle inspire, qu'elle respire. Un doigt entre ses cuisses, frissons qui se dessinent sur sa peau, mordillant la cigarette entre ses lèvres, récupérée par Vesper. Désir qui brille, humidité sur la pulpe de ses doigts, hypnotisée par la voix mielleuse du brun elle entrouvre ses lèvres roses, caressant son doigt de sa langue, refermant sa bouche autour de ce doigt qu'elle titille, aspire, mordille. Libère de ses lèvres pour passer ses mains contre sa nuque, approcher ses lèvres des siennes. je te connais plus vorace que ça. baiser vorace qu'elle impose à ses lèvres, sa langue qui se glisse entre ses lèvres pour venir caresser la sienne, corps en ébullition, bassin appuyant contre le sien. Plus vite. plus fort. Tissus bien trop gênants. attisement des sens.
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