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FAQindependance day (ambroise)
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L'oisillon a finalement quitté le nid. Amertume non refoulée pour elle, Diane s'en amuse et s'en délecte, elle n'est pas une adulte responsable et ne le sera jamais, instable tant dans ses actions que ses émotions Diane est un électron libre qui s'évade là où seront ses intêrets, il en a toujours été ainsi, il fallait survivre trop tôt et se débrouiller seule, elle n'a jamais été capable de s'attarder sur les rencontres qu'elle faisait, l'égoïsme accroché à l'âme, comme avec le père d'Ambroise, homme en deuil, et une femme arrivée trop récemment aprés son décés, Diane se fiche d'avoir froisser la fragilité d'Ambroise elle n'y peut rien si son père aime bien trop les femmes, s'il savait, qu'il n'avait pas qu'elle. Diane se fichait de savoir qu'elle n'était pas la seule, ça lui a convenu un temps, c'était sympa d'avoir l'impression de faire partit d'une famille à nouveau, puis elle est partit, fini de jouer ou faire semblant de ressembler à une famille parfaite, quelques mois qu'elle gardera en mémoire avant de passer à autre chose, comme elle le fait toujours. Jamais d'attaches assez forte pour lui donner une raison de rester.
La haine qu'Ambroise lui porte l'amuse autant qu'elle l'attire, gamin délaissé par son père et visiblement loin de se douter de l'homme qu'il est. Le mal être lui colle à la peau et c'est ce qui pousse Diane à s'en approcher, tendance malsaine à s'approprier les gamins égarés, c'est plus fort qu'elle. Insolente et provocante, malgré les dix années qui les séparent. Se garant à l'adresse indiquée, elle ne vient pas les mains vides, il paraît que ça se fait, quand on va chez quelqu'un pour la première fois, et le moins que l'on puisse dire c'est que passer un moment avec Ambroise est bien une première pour elle. Ils se toléraient seulement quand le père du brun était dans les parages, et ce que ça pouvait l'amuser de l'énerver. Rendre la vie impossible autant qu'on la lui rend, elle est douée pour ça, ses balades excessives en petite tenue, ses plats qu'elle salait beaucoup trop, des mesquineries qu'elle ne regrette pas. Quelques coups donnaient contre la porte. Brooklyn. Un beau quartier. Elle ne savait pas qu'elle avait un nouveau voisin. Et bien si je m'attendais à ce que l'on soit voisin ! Brooklyn est un joli quartier. un sourire qu'elle affiche devant la mine renfrognée d'Ambroise qui lui ouvre la porte, Diane sent qu'elle dérange déjà, une raison de plus pour rester et s'éterniser. Du vin et un gâteau, cadeau de la maison. elle a au moins le mérite de posséder une pâtisserie reconnue dans le quartier, ses talents l'ont faîte se démarquer. Il faut croire que Diane est finalement douée pour quelque chose.Tu comptes me faire visiter ton appartement ou me laisser sur le pas de la porte ? Tu as déjà perdu ton courage Ambre ? familiarité qu'elle se permet, il déteste ça, elle appuie exprés le lien qu'ils avaient. Que ça lui plaise ou pas, elle a vécu avec lui quelques mois, elle n'a pas oublié, l'air triste du gamin qui se lisait parfois dans son regard, sa colère qui explosait sans qu'il ne la contrôle ou les quelques rires qu'elle pouvait parfois attraper au vol.
La haine qu'Ambroise lui porte l'amuse autant qu'elle l'attire, gamin délaissé par son père et visiblement loin de se douter de l'homme qu'il est. Le mal être lui colle à la peau et c'est ce qui pousse Diane à s'en approcher, tendance malsaine à s'approprier les gamins égarés, c'est plus fort qu'elle. Insolente et provocante, malgré les dix années qui les séparent. Se garant à l'adresse indiquée, elle ne vient pas les mains vides, il paraît que ça se fait, quand on va chez quelqu'un pour la première fois, et le moins que l'on puisse dire c'est que passer un moment avec Ambroise est bien une première pour elle. Ils se toléraient seulement quand le père du brun était dans les parages, et ce que ça pouvait l'amuser de l'énerver. Rendre la vie impossible autant qu'on la lui rend, elle est douée pour ça, ses balades excessives en petite tenue, ses plats qu'elle salait beaucoup trop, des mesquineries qu'elle ne regrette pas. Quelques coups donnaient contre la porte. Brooklyn. Un beau quartier. Elle ne savait pas qu'elle avait un nouveau voisin. Et bien si je m'attendais à ce que l'on soit voisin ! Brooklyn est un joli quartier. un sourire qu'elle affiche devant la mine renfrognée d'Ambroise qui lui ouvre la porte, Diane sent qu'elle dérange déjà, une raison de plus pour rester et s'éterniser. Du vin et un gâteau, cadeau de la maison. elle a au moins le mérite de posséder une pâtisserie reconnue dans le quartier, ses talents l'ont faîte se démarquer. Il faut croire que Diane est finalement douée pour quelque chose.Tu comptes me faire visiter ton appartement ou me laisser sur le pas de la porte ? Tu as déjà perdu ton courage Ambre ? familiarité qu'elle se permet, il déteste ça, elle appuie exprés le lien qu'ils avaient. Que ça lui plaise ou pas, elle a vécu avec lui quelques mois, elle n'a pas oublié, l'air triste du gamin qui se lisait parfois dans son regard, sa colère qui explosait sans qu'il ne la contrôle ou les quelques rires qu'elle pouvait parfois attraper au vol.
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Offrande qu'il accepte, ce n'est peut être pas si désespéré aprés tout. Diane a toujours été amusée par cette situation, les provocations et les piques sont assez stimulantes, le plat du quotidien l'a toujours profondément ennuyé, elle n'est pas faîte pour une vie rangée et stable. Diane est faîte pour l'adrénaline, pour le chamboulement, elle est faîte pour le grand saut sans possibilité d'atterrissage. C'est ça la vie. Sa vie. C'est tomber sans jamais toucher le fond. C'est si gentiment proposé. Sourire narquois sur ses lèvres elle passe la porte, faisant claquer ses talons sur le carrelage, elle peut constater que ça n'a pas beaucoup changer de l'état de sa chambre c'est juste le bordel permanent mais dans une surface bien plus grande. Trés originale ta décoration. Je savais pas que tu comptais devenir designer d'intérieur. Meme si le style ado rebelle à vingt cinq ans est un peu dépassé non ?
Diane parcourt les pièces comme si elle était familière avec les lieux, elle se sent toujours à l'aise partout où elle va, incapable de s'écraser, de faire preuve de gêne, il n'y en a aucune, seulement de la curiosité sur cet endroit et sur les raisons qui l'ont poussé à l'inviter chez lui surtout. Des rapports qui n'ont jamais été courtois pas même une main tendue qu'il accepterait de prendre si elle la lui proposait. Il doit avoir d'autres motivations, celles qui concernent son paternel. Diane n'est pas certaine de ce qu'elle peut lui dire, ou des informations qu'il attend d'elle exactement. Je ne compte pas toucher tes caleçons sales, ne t'en fais pas. Sans façon. La bouteille de vin qu'elle pose sur la table et ses yeux qui tombent sur une photo au mur, lui et ses parents, cette femme qu'elle n'a jamais vu parce qu'il n'y a aucune photo apparente d'elle chez les Wood. Comme si elle n'avait jamais existé, la blessure était peut être trop profonde ? A moins qu'il ne l'ai jamais vraiment aimé. La question a déjà effleurer son esprit, elle a eu le temps d'en savoir un peu plus de cet homme et de son quotidien. Si tu me disais plutôt pourquoi tu m'as faîte venir ici ? Diane se retourne vers lui et s'appuie contre la table du salon. [color=#ff9999]A moins que ça ne soit pour mes beaux yeux ou pour faire plaisir à tes fantasmes, c'est bon, tu m'as vu, ne te touches pas trop en pensant à moi ok ? [color] énième provocation, c'est bien trop amusant. Elle a envie de rire mais se retient de justesse pour conserver un air sérieux. La blonde adore jouer avec ses nerfs, mais au fond les interrogations sont plus profondes. Elle s'est toujours demandée pourquoi il était si triste, pourquoi il avait tant de rage en lui, pourquoi c'était si dur de vivre ?
Diane parcourt les pièces comme si elle était familière avec les lieux, elle se sent toujours à l'aise partout où elle va, incapable de s'écraser, de faire preuve de gêne, il n'y en a aucune, seulement de la curiosité sur cet endroit et sur les raisons qui l'ont poussé à l'inviter chez lui surtout. Des rapports qui n'ont jamais été courtois pas même une main tendue qu'il accepterait de prendre si elle la lui proposait. Il doit avoir d'autres motivations, celles qui concernent son paternel. Diane n'est pas certaine de ce qu'elle peut lui dire, ou des informations qu'il attend d'elle exactement. Je ne compte pas toucher tes caleçons sales, ne t'en fais pas. Sans façon. La bouteille de vin qu'elle pose sur la table et ses yeux qui tombent sur une photo au mur, lui et ses parents, cette femme qu'elle n'a jamais vu parce qu'il n'y a aucune photo apparente d'elle chez les Wood. Comme si elle n'avait jamais existé, la blessure était peut être trop profonde ? A moins qu'il ne l'ai jamais vraiment aimé. La question a déjà effleurer son esprit, elle a eu le temps d'en savoir un peu plus de cet homme et de son quotidien. Si tu me disais plutôt pourquoi tu m'as faîte venir ici ? Diane se retourne vers lui et s'appuie contre la table du salon. [color=#ff9999]A moins que ça ne soit pour mes beaux yeux ou pour faire plaisir à tes fantasmes, c'est bon, tu m'as vu, ne te touches pas trop en pensant à moi ok ? [color] énième provocation, c'est bien trop amusant. Elle a envie de rire mais se retient de justesse pour conserver un air sérieux. La blonde adore jouer avec ses nerfs, mais au fond les interrogations sont plus profondes. Elle s'est toujours demandée pourquoi il était si triste, pourquoi il avait tant de rage en lui, pourquoi c'était si dur de vivre ?
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Diane lève les yeux au ciel, insensible à sa remarque. Tu n'es surtout pas une fée du logis. Peu importe. Elle se fiche un peu que ça le soit ou pas, c'était plus contraignant quand elle vivait sous le même toit qu'Ambroise à l'époque où elle cotoyait son père, c'était insupportable de voir ses affaires traînées dans toutes les pièces. Un léger sourire se dessine sur les lèvres de Diane, satisfaite de l'effet qu'elle produit, il est vrai qu'on ne sait jamais de quoi elle est capable, Diane elle même ne le sait pas, imprévisible, impulsive, et incapable de contrôler ses émotions. Elle ressent tout. Trop empathique. Trop instable surtout. Il se lève pour aller chercher deux verres et un ouvre bouteille dont elle se saisit, il lui faut au moins du vin pour supporter une conversation avec Ambroise, parce que ça finit toujours en guerre interminable. Il a raison, elle aime avoir le dernier mot, Diana le prend, toujours, avec sa fille, avec les personnes qu'elle côtoie, c'est plus fort qu'elle. C'est à elle de mettre le point final.
Bouteille ouverte elle verse le liquide dans les deux verres, lui en donnant un, puis prenant le sien pour en boire une gorgée, il est délicieux, l'une de ses meilleures bouteilles, elle se demande pourquoi elle la gaspille avec lui, mais tant pis. Diane rit aux éclats cette fois, absolument pas convaincu, ou trop imbu d'elle-même, mais elle s'installe sur la table, s'asseyant dessus pour l'observer, verre de vin entre ses mains et tentant de calmer son rire. D'accord Ambroise, si tu veux. Elle lui prouvera le contraire, un jour. Elle n'est pas là pour ça, même si l'envie de lui faire ravaler ses mots est forte. Question d'égo. Question de fierté aussi. C'est ça qu'il veut. Savoir exactement ce que disais son père. Diane perd son sourire cette fois, ce n'était qu'une pique, elle ne pensait pas qu'il rebondirait dessus, et cette fois elle aurait vraiment du réfléchir avant de parler. Mais Diane ne réfléchit jamais, c'est ce qui crée souvent des conséquences bien trop vastes. Ambroise je te piquais, c'est tout. Je n'ai rien à te dire de plus. Elle ment. Mais il n'a pas besoin de savoir. Qu'est-ce qu'il veut qu'elle lui dise ? Qu'il n'est pas son fils à ses yeux ? Que sa mère n'était qu'une amante de plus ? Cet homme est aussi froid que la mort, c'était amusant, un temps, mais Diane se doute que c'est un homme dangereux, presque certaine d'un jour le recroiser de l'autre côté. Pendant ses activités nocturnes. Ou dans une réunion où on ne l'attendrait pas. Il n'y a rien d'intéressant à savoir sur ton père. Tu n'as pas envie de le savoir. C'est ce qu'elle voudrait rajouter, mais se retient.
Bouteille ouverte elle verse le liquide dans les deux verres, lui en donnant un, puis prenant le sien pour en boire une gorgée, il est délicieux, l'une de ses meilleures bouteilles, elle se demande pourquoi elle la gaspille avec lui, mais tant pis. Diane rit aux éclats cette fois, absolument pas convaincu, ou trop imbu d'elle-même, mais elle s'installe sur la table, s'asseyant dessus pour l'observer, verre de vin entre ses mains et tentant de calmer son rire. D'accord Ambroise, si tu veux. Elle lui prouvera le contraire, un jour. Elle n'est pas là pour ça, même si l'envie de lui faire ravaler ses mots est forte. Question d'égo. Question de fierté aussi. C'est ça qu'il veut. Savoir exactement ce que disais son père. Diane perd son sourire cette fois, ce n'était qu'une pique, elle ne pensait pas qu'il rebondirait dessus, et cette fois elle aurait vraiment du réfléchir avant de parler. Mais Diane ne réfléchit jamais, c'est ce qui crée souvent des conséquences bien trop vastes. Ambroise je te piquais, c'est tout. Je n'ai rien à te dire de plus. Elle ment. Mais il n'a pas besoin de savoir. Qu'est-ce qu'il veut qu'elle lui dise ? Qu'il n'est pas son fils à ses yeux ? Que sa mère n'était qu'une amante de plus ? Cet homme est aussi froid que la mort, c'était amusant, un temps, mais Diane se doute que c'est un homme dangereux, presque certaine d'un jour le recroiser de l'autre côté. Pendant ses activités nocturnes. Ou dans une réunion où on ne l'attendrait pas. Il n'y a rien d'intéressant à savoir sur ton père. Tu n'as pas envie de le savoir. C'est ce qu'elle voudrait rajouter, mais se retient.
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Verre de vin entre ses doigts, Diane regarde le gamin en face d'elle en se demandant pourquoi il l'a invité à venir ici, ça n'a pas de sens, il la déteste bien qu'elle n'ai jamais vraiment compris pourquoi, Diane a joué de cette haine pour le déstabiliser, pour l'énerver, provoquante et insolente, davantage tendance à envenimer les situations plutôt que vraiment les apaiser. Elle ne sait pas faire, une des raisons pour laquelle sa fille a décidé d'aller vivre chez son père. Il veut des réponses, et elle regrette déjà d'en avoir trop dis, Diane a rarement de scrupules, et encore moins de remords, mais c'est son âme de maman qui lui hurle de ne pas blesser davantage Ambroise qui ne jure que par son père, il est le seul parent qu'il lui reste. C'est pourtant trop tard, il n'y a pas de retour en arrière possible. On ne peut pas dire que ton père était trés bavard, pas même sur l'oreiller. mais ça tombe bien, Diane n'avait pas besoin d'un homme qui avait beaucoup de conversation. Il aura comblé sa solitude un temps, avant qu'elle ne passe à autre chose. Jamais capable de se poser dans une relation durable, Jasper a été son seul et unique amour, elle se lasse trop souvent des hommes, ou détient trop de secrets pour eux. Si seulement son mariage avait pu fonctionner.
Elle arque un sourcil Diane, buvant une gorgée de vin avant de délaisser son verre sur la table. Je t'arrête tout de suite Ambroise, c'est trés amusant de jouer la sorcière de ton histoire, je te l'accorde. Je n'ai jamais compris la haine que tu éprouvais pour moi alors c'était trés amusant de te provoquer, t'énerver. Mais t'écraser et te mettre à terre ? Non. J'ai une fille, je ne suis pas tout à fait une personne sans coeur comme tu peux le penser. elle croise les bras sur sa poitrine en l'observant. Diane peut être cruelle, narcissique, égoïste aussi, c'est même le défaut qui la caractérise le mieux, mais de là à aller détruire la vie d'Ambroise ? Non.
Mais il a visiblement besoin de réponses. Tristesse dans les yeux du brun qui percute un peu la sienne. Oui, je l'ai découvert en tout cas. elle souffle finalement. Une information qu'elle n'a jamais su tout de suite mais il se pourrait bien qu'elle est mise son nez dans les affaires des Wood. Diane et sa curiosité. Le moins que l'on puisse dire c'est que son père traîne dans des affaires pas nets, mais Diane ne serait pas bien placée pour juger, bien au contraire. Je suis tombée sur ton acte de naissance, il n'y a que ton père qui t'as reconnu. Pas ta mère. J'imagine que c'est parce qu'elle n'était pas la tienne. Il semblerait que le secret autour de la naissance d'Ambroise soit épais. Elle lui épargnera les mots peu flatteur qu'il a pu avoir à son égard, Ambroise n'a pas besoin de savoir qu'aux yeux de son père, il n'est qu'une erreur. Un moins que rien. Qu'il se sent déjà généreux de l'avoir gardé et élevé, parce que sa mère n'aurait pas pu le faire.
Elle arque un sourcil Diane, buvant une gorgée de vin avant de délaisser son verre sur la table. Je t'arrête tout de suite Ambroise, c'est trés amusant de jouer la sorcière de ton histoire, je te l'accorde. Je n'ai jamais compris la haine que tu éprouvais pour moi alors c'était trés amusant de te provoquer, t'énerver. Mais t'écraser et te mettre à terre ? Non. J'ai une fille, je ne suis pas tout à fait une personne sans coeur comme tu peux le penser. elle croise les bras sur sa poitrine en l'observant. Diane peut être cruelle, narcissique, égoïste aussi, c'est même le défaut qui la caractérise le mieux, mais de là à aller détruire la vie d'Ambroise ? Non.
Mais il a visiblement besoin de réponses. Tristesse dans les yeux du brun qui percute un peu la sienne. Oui, je l'ai découvert en tout cas. elle souffle finalement. Une information qu'elle n'a jamais su tout de suite mais il se pourrait bien qu'elle est mise son nez dans les affaires des Wood. Diane et sa curiosité. Le moins que l'on puisse dire c'est que son père traîne dans des affaires pas nets, mais Diane ne serait pas bien placée pour juger, bien au contraire. Je suis tombée sur ton acte de naissance, il n'y a que ton père qui t'as reconnu. Pas ta mère. J'imagine que c'est parce qu'elle n'était pas la tienne. Il semblerait que le secret autour de la naissance d'Ambroise soit épais. Elle lui épargnera les mots peu flatteur qu'il a pu avoir à son égard, Ambroise n'a pas besoin de savoir qu'aux yeux de son père, il n'est qu'une erreur. Un moins que rien. Qu'il se sent déjà généreux de l'avoir gardé et élevé, parce que sa mère n'aurait pas pu le faire.
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