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work work work (libre)

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Alisson travail de soir dans le restaurant du Plaza Hôtel prenant les commandes des clients pour ensuite les dire à l'équipe de cuisine pour enfin ramener les différents commandes avec d'autres collègues serveurs et serveuses dans la salle. Gardant le sourire auprès des clients tout aussi fortunés qu'elle rien ce n'est d'ailleurs pas pour rien que certains peuvent se permettre de manger ici. Après avoir donné les commandes au dernier client entrés dans la salle elle retourne en cuisine pour voir si elle est utile en changeant le plateau pour les commandes, elle va ensuite dans les vestiaires appeler sa moitié pour savoir si iel sera bel et bien en compagnie de ses proches pour être rassurée une fois fait elle retourne en salle prendre les nouvelles commandes auprès de nouveau client croisant un équipier qui avait fait de même.
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work work work -  @Alisson Harris

Mais quelle galère. Putain de merde, se répète intérieurement Absalom, en massant de sa main droite sa tempe, où il sent palpiter un sang coléreux.

Il avait fallu un sms, simple et banal, pour le mettre dans cet état. « Désolé, je ne pourrai pas venir, urgence pro. Je te tiens au courant de mes dispo semaine prochaine. » Le brun se redresse sur sa chaise, et contemple le verre de whisky à 32 dollars qui se trouve devant lui. Une somme énorme, pour son compte en banque. Mais, c’est la vie. C’est New York, et c’est ses peurs à lui. Des vêtements griffés, un visage rasé de près. Des souliers parfaitement cirés. Dans sa chemise blanche aux boutons du haut négligemment défaits, Absalom ne se distingue absolument pas de tous ceux venus ce jour dîner au Plaza Hôtel. Il a l’air, comme eux, riche. Et beaucoup le pensent. Après tout, ne possède-t-il pas une école de cuisine prospère, et huppée ? Qui s’imaginerait qu’il est endetté jusqu’à s’en étouffer ? Même son banquier, en le voyant arriver, a tendance à l’oublier.

Voilà que son smartphone vibre de nouveau. « Si tu m’attends une petite heure, peut-être que je pourrai être là. » Une petite heure. Peut-être. Absalom sent venir la crise de nerf. La semaine a été longue, chargée. Le stress est montant. C’est une opportunité en or, qu’il a. C’est une opportunité en or qui le fait dire que, oui, il va écraser sa gueule, et attendre ce propriétaire d’une galerie d’art hyper-renommée dans le milieu. Tout cela pour peut-être avoir la possibilité de s’occuper des petits fours de son prochain vernissage. Cela n’a l’air de rien, dit ainsi, mais c’est énorme pour Absalom. S’essayer au métier de traiteur, le quasi-quarantenaire a déjà fait. Cela s’était plutôt bien passé… Mais, en faire une branche à part entière de son entreprise ? Avoir comme premier vrai client ce galeriste, aux relations incroyables ? Alléchant (surtout pour ses créanciers). Absalom devait tenir bon. Il devait s’écraser, et dire oui, pas de problèmes…

« Je t’attends, tiens-moi au courant », pianote-t-il rapidement sur son smartphone, les doigts tremblants d’une rage mal contenue. Il espère que son interlocuteur n’est pas en train de le prendre pour un con. Il espère qu’il ne donne pas l’image d’un mec désespéré, non plus. « 45 minutes, après je pars. » Un pari. Lui aussi a bien le droit de donner des directives, et surtout de mettre des limites. Il n’est pas un tapis sur lequel on peut s’essuyer les pieds ! Et pourtant, juste après avoir appuyé sur « envoyer », Absalom s’en veut. Il mord l’intérieur de sa joue, finit son whisky hors de prix, et s’apprête à faire une dépense encore plus sotte. A mort, son compte en banque. Sa clarté d’esprit en dépend.

D’un geste discret, il attire l’attention d’une serveuse non-loin, et d’un ton imposant le secret, énonce sa requête.

- J’aurai besoin d’un endroit sans regards, sans détecteur de fumée, où vous pourrez m’apporter un… un Saint-Joseph-Les Rhibaudes, tiens. La bouteille entière. Je vous prie. Est-ce possible ?

Le « je vous prie » avait failli être un « par pitié ». S’isoler dans une réserve, un vestiaire, ou un couloir d’évacuation pour se rouler un joint avec une bouteille de vin blanc à 90 dollars ? Ce n’était peut-être pas la solution la plus réfléchie, mais c’était la seule qu’Absalom avait en tête pour le moment. Il n’y avait plus qu’à espérer que la serveuse accepterait – elle pouvait très bien refuser, ce genre de demandes pouvait mettre à mal sa place… Elle pouvait lui dire d’aller dans les toilettes pour s’isoler – mais il y avait là-bas un détecteur de fumée, d’autres clients, et pas de vin blanc. Et dehors ? Pas de vin blanc non plus, et fumer un pet devant le Plaza Hôtel ? Bof, quand-même. Absalom planta son regard bleu, où on lisait la lassitude et l’impatience, dans les mirettes marron clair de la jolie serveuse. Qu’elle cède, pour le bien-être du prof de cuisine.
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@Absalom Zazzera viens sur ce sujet là https://wicked-society.forumactif.com/t964-libre-shadowland please.

On peut archiver ce sujet ci please ?
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