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Ain't it funny (Taylor)

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Judï Coelho
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Pseudo IRL : Bouh'
Pronom(s) IRL : Elle/She.
Âge IRL : La Trentaine les amis.
Faceclaim : Shawn Mendes.
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Multicomptes : Nope.
Statut actuel : Présence tous les jours, mais une à deux réponses par semaines.
Contact via MP : Bien-sûr.
Warnings : Dépression - Homophobie - Détresse Psychologique.
Âge : Un âge où la vie semble lui échapper. La jeunesse au bout des doigts, si frivole, si indomptable, Judï se perds dans ses pensées au lieu de vivre, de respirer.
Statut civil : Seul, affligé par une rupture amoureuse dont-il est le principal coupable. Une femme qu'il a aimé tant d'année mais dont-il n'est plus capable d'aimer en retour, tourmenter par son soudain désir pour les hommes.
Orientation sexuelle : Paumé, il est impossible pour lui d'admirer un homme. Rien n'est plus outrageant, angoissant d'affronter ses démons, d'être lui-même.
Métier(s)/Étude(s) : Interne en Chirurgie viscérale de quoi avoir mal aux entrailles lui qui n'assume jamais rien.
Quartier de résidence : Dans un petit studio à Manhattan qu'il aimerait pouvoir partager avec un/ou une colocataire.
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Judï Coelho


“ Ain't it funny ”
ft. @Taylor Sinclair     

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Tu sembles sur une autre planète, loin des maux de tous les jours. Pour la première fois, depuis plusieurs années, tu as émis une objection. Du moins, tu as mentis par procuration à tes parents. Tu ne t'aies pas sentis plus léger, bien au contraire, tu as comme l'impression d'être épier. Pourtant, pour rien au monde tu ne souhaitais participer à ce repas de famille. Pour parler de toi ? Qu'a t-il à dire de bien croustillant ? Que tu mènes une vie que tu haïs plus que tout. Que rien ne va plus dans ton couple, qu'il y a plus passionnant que la chirurgie ? Que tu ne veux pas devenir cette image impeccable que tes propres parents égoïstes ont forgés. Tu veux vivre ta vie, par toi-même. Malheureusement, à part s'exiler, c'est tout ce que tu trouves à faire, à surmonter. Fuir, fuir sans cesse. Tu essayes de ne plus y penser, aujourd'hui tu as décidé de passer ta journée à boire des cafés lattés, t'empiffrer de sucre jusqu'à faire une intolérance au glucose, devant des séries qui ne sont sans doute pas à ton goût. Mais pourquoi s'obstiner autant devant la télévision ? Ton colocataire n'est pas présent de la journée. Une chance que tu savoures depuis l'a dernière fois où tu t'es étalé sur sa moquette, ivre. Tu as dû mal à le regarder dans les yeux. Cette honte qui s'immisce en toi et qui ne veux plus disparaître. Tu n'étais pas dans ton état normal, quoique habituellement tu n'es pas non plus très loquace. Tu préfères solutionner les problèmes en les détournant, plutôt que de les affronter. Finalement, après avoir pris quelques pâtisseries débordantes de crème anglaises, deux cafés lattés, tu ressors avec un léger sourire, les bras chargés. Certes, tu connais les effets néfastes du sucre sur l'organisme mais tu as un besoin urgent de décompresser. Aujourd'hui, tu n'as personne sur ton dos, ni tes parents, encore moins ta sœur ainée, ni ton foutu colocataire aux yeux hypnotisant pour bousculer ta journée. Malheureusement, tout va si vite que tu n'as pas le temps de réalisé que tu es assis au sol, tes commandes étalées sur le bitume. Tu as envie de hurler au monde entier que le sort s'acharne sur toi. Tu ne comprends pas comment tout cela à pu arriver. Un homme assez suspect vient de te bousculer sans même s'excuser. Pourquoi le ferait-il ? Après tout, la police semble lui courir après. Tu réalises que tu étais au milieu du chemin, ahuris par ce qui t'arrive, tu grognes, maudit le monde, la planète entière. Tu détestes décidément cette matinée, rien ne va dans ton sens, rien ne semble vouloir se terminer de façon positive. Tu te redresses difficilement, essayant de ramasser les dégâts autour de toi. Ton jean semble avoir prit la couleur du café. Tu te sens si misérable à l'heure actuelle. Une main réconfortante vient se poser sur ton épaule pour t'aider à te relever et ramasser le reste de ta commande. Au début, tu ne fais vraiment pas attention à cette personne qui semble avoir un cœur d'or, une bonté d'âme. Tu l'as remercie de mille façons avant de te retrouver une nouvelle-fois ébahis une nouvelle fois de plus. Merde, merde, merde. Ce n'est pas possible. Réellement tu crois, rêver. Tu ne veux pas que les choses se passent ainsi, si vite. Tu sais pertinemment qu'il t'a reconnu, comme tu l'as reconnu dans son uniforme. Son si joli uniforme qui lui va à merveille. Un peu trop bien d'ailleurs. Tu divagues sans te soucier que vous êtes un peu proche de la route. "Taylor ?" Dis-tu vaguement, perdu dans le fils de tes pensées. Tu sais évidemment qu'il n'est d'autres que le fameux Taylor à qui tu ne cesses et dont tu ne te lasses pas d'envoyer des messages à n'importe qu'elle heure de la journée, ou de la nuit. Tes joues surchauffent rapidement, une teinte rosée vient se faufiler sur ton joli visage angélique. Tu ne sais plus sur quels pieds danser, alors tu te lances bêtement. "Sympa l'uniforme." Tu te demandes également si lui et son coéquipier on réussit finalement à attraper ce malotru qui t'a bousculé tout à l'heure.

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Ain't it funny


♫ Bring me back to life. Never let me go. Your troubles and your heart strife. I saw them… ♫
« Merde !!! » Dis-je en ouvrant rapidement mes yeux. La sonnerie du réveil de mon téléphone m'a fait sursauter de peur. J'étais tellement bien aux pays des rêves que je ne m'attendais pas à entendre une musique, oubliant même que j'avais mis un réveil. Je tends mon bras pour essayer de prendre mon téléphone qui se trouve sur la table basse. Après avoir tâtonné deux ou trois choses sur ma table de nuit je trouve enfin l'engin de malheur qui fait un vacarme épouvantable. En tant normal j'adore cette chanson, mais là c'est non. J'essaie de déverrouiller le téléphone comme je peux en m'éblouissant et en ne le laissant pas tomber sur mon visage. J'appuie ensuite sur le bouton pour le stopper et le jette sur mon lit. Je ne peux retenir un soupire de soulagement et me retourne sur le ventre pour me rendormir. Je tâte le côté droit pour essayer de trouver ma femme, mais à la place, je trouve l'endroit vide et froid. J'ouvre les yeux une seconde fois et fronce les sourcils. Il m'a fallu quelques secondes pour me souvenir qu'elle était chez ses parents pour je ne sais plus trop quoi. Je reconnais que je n'ai pas trop écouté quand elle m'en a parlé, j'étais trop occupé à autre chose. Une fois ce mystère résolu je me suis levé pour me diriger à la salle de bain prendre une bonne douche pour me réveiller. Avant d'entrer dans la douche, j'ai laissé couler l'eau pour qu'elle soit à la bonne température et je me suis regardé dans le miroir. La définition d'avoir la tête dans le cul me correspondait très bien en ce moment. Les cernes sont présentes, bref ce n'est pas le moment de s'apitoyer. J'enlève mon boxer et je rentre dans la douche. L'eau chaude coule en cascade sur mon dos et me détend les muscles. Après avoir rêvassé un peu je commence par prendre le shampoing pour me laver les cheveux et le corps. Je me rince et coupe l'eau, en ouvrant la porte il y a eu une sorte de nuage de buée. Je prends une serviette et me sèche les cheveux avant de me sécher le corps. J'essuie ensuite avec ma main la buée se trouvant sur le miroir et remet bien mes cheveux. C'est très important d'avoir une bonne coupe de cheveux. Je me dirige ensuite vers ma chambre pour m'habiller. J'ouvre le tiroir où se trouvent mes affaires et prends un boxer que j'enfile et ensuite je passe au pantalon chino bleu foncé, je prends un t-shirt gris et pour finir j'enfile des chaussettes avant de mettre mes baskets. Me voilà enfin prêt pour le boulot, enfin il manque juste le petit-déjeuner et le lavage de dent. Je me dirige vers ma cuisine et fouille les placards pour trouver quelque chose à grignoter. Ne trouvant pas grand-chose, je prends le premier truc qui me tombe sous la main et c'était une banane. Une fois finie je jette la peau et retourne dans la salle de bain pour me laver les dents et mettre un peu de gèle dans mes cheveux. Je retourne ensuite prendre mon téléphone, mon sweat, son sac à dos et mes clés. Me voilà prêt pour une nouvelle journée à parcourir les rues de New-York. Heureusement,  je n'habite pas très loin du commissariat. Après une vingtaine de minutes de marche j'arrive au commissariat, je salue tout le monde et je me dirige vers le vestiaire. Je salue les deux ou trois collègues qui s'y trouve et j'ouvre mon casier. J'y dépose mon sac, mon sweat et je m'habille en tenue réglementaire. Une fois tout équipé, je me dirige vers mon chef qui nous dit, à moi et mon coéquipier, ce que nous allons faire aujourd'hui. Nous devions patrouiller dans les rues. J'aime bien faire ça, être près de la population, parler avec eux être au plus près de l'action. Avant de partir pour la patrouille je regarde mon téléphone pour voir si j'avais un message de ce cher jeune homme avec qui se correspond depuis un moment. Une fois le message lu et répondu je monte côté passager et mon collègue côté conducteur. La patrouille était plutôt détendue et nous rigolions quand nous avons reçu un message du central pour nous faire part d'un vol dans une rue pas trop loin de la nôtre. Nous apercevons le suspect courir, nous nous arrêtons et courrons derrière lui pour essayer de le rattraper. Rien de mieux qu'une bonne course poursuite pour se booster. « POLICE ARRÊTE TOI!! » Lui dis-je. Bon bien entendu je sais bien qu'il ne va pas s'arrêter et me dire ‘vous m'avez eu' ça serait beaucoup trop simple. Je le vois foncer dans tout ce qui est à travers son chemin et il renverse même une personne. Mon collègue et moi arrivons à le rattraper quelques mètres plus loin et je le mets à terre. « Tu ne bouges pas! Donne-moi tes mains. » Bien évidemment il ne coopère pas du tout et c'était un peu compliqué de lui mettre les menottes, mais une fois fait on le relève et mon collègue l'emmène à la voiture qui est un peu plus loin. Je retourne sur mes pas et vais voir le jeune homme que notre suspect à renversé. Je le vois se redresser et essayer de ramasser ses pâtisseries et ses cafés. Le pauvre tout était fichu. Je mets une main sur son épaule pour le relever et essayer de l'aider à ramasser ce qui est par terre. C'est en essayant de le relevé que j'ai vu son visage et je me suis figé une ou deux secondes. C'était Judï, l'homme avec qui je parle pratiquement tout le temps. Je ne pensais absolument pas le voir là et surtout dans cet état. Il me remercie chaleureusement et je souris bêtement. Je vois à son changement de comportement qu'il m'a enfin reconnue. Il dit mon prénom et je vois ses joues devenir rouge. C'est vrai que quand il rougit il est mignon. Il me dit ensuite que mon uniforme est sympa. Je ne sais pas pourquoi je rigole. « Bonjour Judï! » Dis je en souriant. « Comment vas-tu ? Il ne t'a pas fait trop mal j'espère? » Je le détaille de la tête aux pieds pour trouver une quelconque blessure, un saignement ou autre, mais il n'y avait rien. Je le tire un peu vers moi comme il était proche de la route et je ne voulais pas qu'il se fasse écraser. « Attention, les gens ne sont pas vraiment prudents en voiture ici. » Lui dis-je tout en gardant ma main sur son épaule. « Je suis désolé que ce gars t'aille ruiner ton déjeuner.» Je passe mon autre main derrière ma nuque. J'avais tellement rêvé de cette rencontre, mais je n'avais jamais pensé tomber sur lui comme ça. Après quelques instants de silence j'ouvre la bouche pour dire quelque chose et la referme. Je ne sais pas si c'était vraiment le moment de dire ça, mais bon je me lance. « Je suis content d'enfin te rencontrer en vrai. » Lui dis-je chaleureusement.


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Orientation sexuelle : Paumé, il est impossible pour lui d'admirer un homme. Rien n'est plus outrageant, angoissant d'affronter ses démons, d'être lui-même.
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Evidemment, tu es mal à l'aise. Tu ne t'attendais pas à tomber sur lui aussi rapidement. L'objet de tous tes envies, tes désirs les plus secrets. Ton esprit surchauffe comme tes joues qui se colorent comme ses jolis coquelicots que tu retrouves assez souvent accrochés au balcon d'une de tes voisines. Pour éviter son regard noisette et ce sourire ravageur, tu analyses avec parcimonie l'état de ta tenue. Ta chemise blanche est immaculée de caféine tout comme ton jean. Tu n'as pas le temps de soupirer qu'une main puissante vient t'extirper de la route. Un peu plus et tu ressemblerais à ces pigeons morts écrasés sur la route. Une mort atroce que tu voudrais certainement éviter, tu es bien jeune. Tu essayes de raisonner décemment mais ce sourire t'électrises. C'est bien trop tôt, trop déconcertant de le voir face à toi. "Je vais bien, merci." Dis-tu de façon brève, tu ne veux pas trop te pencher sur ton état physique comme psychique, tu détestes parler de toi. Il y a bien mieux à faire comme le regarder. Tu as l'air certainement d'un psychopathe à le dévisager ainsi. Après tout, dieu t'a donné des yeux pour pouvoir regarder, quel préjudice fais-tu à admirer un charmant jeune homme ? Au fond de toi, tu as a la réponse à ta question silencieuse. Cependant, tu préfères t'éclipser de ces pensées absurdes et les effacer de ton esprit. Près de vous, tu retrouves tes airpods au sol, fonctionnels puisque la musique si échappe. Tu les ramasses rapidement, honteux d'écouter encore ce genre de musique à l'heure actuelle, tu n'assumes pas. Pourtant, into the groove de Madonna n'est pas si détestable, une fois sur la piste, tu oublies tout, n'est-ce pas ? Décidément, tu n'as aucune limite, tu n'assumes rien de rien. "Ce n'est pas grave, je l'aie ralentis un peu. Vous avez réussis à l'arrêter c'est l'essentiel." Tu reprends un peu plus de contenance, tu arrives même à le regarder dans les yeux, lorsque tu t'adresses à lui. La photo profil sur ce site de rencontre n'a pas mentis, il est vraiment beau. Canon. Ces derniers mots te submerge, ton cœur se met à battre anarchiquement, comme-ci tu n'étais pas près à ce genre de confession. Pourtant, en toute franchise, toi aussi tu es plus que ravis de le voir en chair et en os, face à toi et en uniforme. Putain d'uniforme, ça te fais quelque chose, ça te ronge les entrailles. Tu es perdu, paumé à l'autre bout de la galaxie, cherchant à comprendre comment tu t'es retrouvé à être irrémédiablement attiré par les hommes alors que tout allait si bien avec ta copine. Alors que tu t'évertues à comprendre l'existence même de cette attirance, tu remarques quelques chose de doré à son annulaire. Une alliance. Putain. Le fourbe, le salaud. "Tu es marié ?" Dis-tu avec une certaine panique dans la voix. Un rêve qui se déchire. Tu ne veux pas être l'incitateur à ce mariage brisé, tout comme tu es l'incitateur à la destruction de ton couple, dont-tu n'assumes aucune conséquences.

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L'une des choses que j'aime le plus dans le métier d'officier de police c'est les patrouilles. Le fait de monter dans la voiture parcourir les rues de New-York, cette sensation d'excitation qui donne des frissons. Je ne pourrais pas décrire la joie que j'ai de patrouiller en voiture. Le fait de patrouiller à pied est aussi satisfaisant. Rencontrer nos concitoyens, de pouvoir échanger avec eux, d'aider les touristes qui sont perdus dans cette grande ville. Pouvoir échanger avec les commerçants sur ce qui va et ne va pas, montrer aux petits et gros délinquants que nous sommes là et que nous occupons le terrain. Le meilleur aussi dans c'est moment c'est d'être avec ma collègue. Franchement nous deux c'est un peu Starsky et Hutch. Nous voyons tellement de mauvaises choses que dès que nous le pouvons nous nous amusons. Je pars du principe que nous devons être absolument sérieux lors d'interventions, mais alors en dehors ce ne sont que des farces, des vannes, de la chamaillerie, enfin bref on ne s'ennuie pas du tout. Hélas pour moi ma collègue a dû prendre un jour de congé aujourd'hui et je me suis retrouvé avec un autre collègue, bon ça va il est cool. La patrouille avait débuté calmement avant de prendre une petite tournure sportif. Surement un gars qui voulait faire son jogging en renversant tout ce qui passait sur son passage. Satané sportif. Bon a vraie dire un peu d'action ne faisait pas de mal et cela me permettrait d'avoir ma course journalière. Courir ne peut pas faire de mal, cela entretien la forme. Après avoir couru tout en faisant gaffe de ne pas renverser à mon tour des gens et en gueulant qu'il devait s'arrêter, nous avons pu l'avoir. Il faisait moins le malin, tu as joué tu as perdu, hop direction le commissariat. Je lui passe les menottes et donné à mon collègue qui l'a dirigé vers notre voiture garé plus loin. Je suis retourné voir le pauvre homme qui était à terre. Le pauvre tout était renversé, il n'avait pas de chance. Quel ne fut pas ma surprise en voyant que c'était Judï devant moi. Je ne pensais absolument pas le rencontrer comme ça sur un trottoir. Je l'aide à ce relevé et je lui fais comprendre que je l'ai reconnu tout en lui demandant s'il allait bien. Je le vois rougir, le pauvre il était plein de café. Je lui laisse pas le temps de répondre que je le pousse un peu vers moi pour qu'il évite un véhicule. Les gens sont fous dans les grandes villes. Il me répond ensuite que ça va. Je fronce les sourcils et le regarde droit dans les yeux pour voir s'il ne me ment pas. « Tu es sûre ? Tu n'as pas l'air bien. » Dis-je en m'inquiétant. « Est-ce que tu veux porter plainte contre lui ? Il t'a quand même bousculé. Il aurait pu te faire très mal. » J'pense pas qu'il veut porter plainte, mais on ne sait jamais je préfère lui demander. Je ne le quitte pas des yeux pendant qu'il ramasse ses AirPods par terre. Je lui dis ensuite que je suis désolé que le gars aille ruiner son déjeuner. Il me répond que ce n'est pas grave et qu'il l'a ralentit un peu. Cela me fait pousser un petit rire. Il me dit ensuite que l'essentiel c'est qu'il ait été arrêté. « C'est vrai que tu as été d'une précieuse aide Judï. Je t'en remercie. Tu as joué un rôle essentiel à sa capture. » Lui dis-je avec un clin d'oeil. « Un criminel en moins dans les rues de notre belle ville. Tu ne veux pas rejoindre nos rangs ? Je suis sûre que tu ferais un malheur en étant Policier et  en portant l'uniforme. » Je souris en disant la dernière phrase. Je lui ai glissé aussi entre deux que j'étais content de le rencontrer en vrai. Enfin je le voyais et c'était magnifique, il est magnifique en vrai. Après tout ce temps à attendre, je savoure enfin ce moment. Le moment a été brisé quand je l'ai entendu dire que j'étais marié. « Merde ! » Dis-je en essayant de cacher ma main avec mon alliance dessus. Je ne pu retenir une grimace. Je le vois paniquer. « Ce n'est pas ce que tu crois, enfin si, mais je peux t'expliquer, mais pas ici pas devant un tas de badauds. Viens. » Dis-je en l'emmenant un peu à l'écart des oreilles indiscrètes. Nous avons été dans un coin un peu plus calme. J'ai passé ma main sur ma nuque, j'ai souvent se réflexe quand je suis gêné. Je sais qu'il doit être un peu déboussolé je ne lui ai jamais dit que j'étais marié. Je soupire et ferme les yeux quelques secondes. « Oui je suis marié depuis quelques années à une jeune femme, mais je te le redis ce n'est pas ce que tu crois, c'est compliqué. » Je baisse les yeux, ne voulant pas voir l'expression qu'il allait avoir. Je ne voulais pas le décevoir, mais la c'était raté.


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Statut civil : Seul, affligé par une rupture amoureuse dont-il est le principal coupable. Une femme qu'il a aimé tant d'année mais dont-il n'est plus capable d'aimer en retour, tourmenter par son soudain désir pour les hommes.
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L'univers explose, ton univers. Tu flirtes depuis plusieurs semaines déjà avec un homme marié. Une tragédie qui finit par te chambouler et te pousser dans les bras d'une crise d'angoisse éventuelle. Tu préfères un coup soleil qu'un coup de bleus, tu te détestes d'être aussi candide, aussi faible. Tu n'attends pas qu'il se justifie, tu connais déjà la réponse. Les menteurs savent si bien se défendre. Pourtant, tu l'es toi aussi en quelque sorte, tu oublies ta petite-amie ? A-t-elle réellement disparue de tes pensées ? Tu n'arrives pas à passer outre cette information, tu es en colère même si tu ne le montre pas. Tu as appris à gérer tes émotions à être impassible malgré ta souffrance intérieur. "Porter l'uniforme ? Je ne crois pas être aussi fort que toi dans l'art du mensonge." Dis-tu de manière acerbe en le regardant droit dans les yeux. Tu devrais pas être aussi infecte avec lui, il ne mérite pas ça, toi non plus d'ailleurs. Il n'est rien d'autre qu'un flirt sur internet alors, pourquoi ça te touches autant ? Tu te laisses guider un peu plus loin, sans doute fait-il cela pour apaiser ta colère et éviter les regards curieux autour de vous. "Je devrais porter plainte contre toi, les mensonges ne sont-ils pas punis ?" Dis-tu en souriant malicieusement, sans te laisser distraire par cet homme qui entraîne ton cœur vers d'autres horizons, probablement sans lendemain. "Tu n'as pas à essayer de t'expliquer, je ne suis qu'un inconnu, laisse tomber." Ta panique semble être un ancien mirage, elle t'a quitté aussitôt que ta colère s'est lente accaparée de toi. Tu as toujours eu du répondant même si tu es resté d'un naturel discret. Tu ne veux pas le voir se justifier à genoux devant toi, tu n'es pas capable d'accepter ses excuses actuellement. Tu ne les mérites pas. Tu es toi aussi fautif de tes cachoteries et tes mensonges que tu considères anodins, éphémères. Tu dis mentir par procuration mais tu joues également avec le feu, tu triches sans cesse en te voilant la face. "Ecoute Taylor, tu devrais peut-être y aller, ton collègue semble t'attendre." Dis-tu distraitement, cette fois sans oser le regarder. Tu es prêt à fuir comme tu sais si bien le faire. La fuite, ta meilleure solution pour ne pas s'attacher, pour ne pas souffrir. Tu es trop fragile, à fleur de peau pour te condamner ainsi à t'attacher à un homme qui à la corde au cou. Mais ta nature susceptible reprend le-dessus alors, tu te dévoiles, tu brises une fois de plus tes principes les plus chers. "J'ai une copine sauf que je ne suis pas encore passer à l'autel." La vengeance, ça sonne si faux chez toi. Tu n'es pas fier de lui avoir cacher ce côté de toi. Mais que veut-il de toi si il est déjà marié ? Et toi que veux tu de lui ?

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Heureusement que Judï a pu le ralentir un peu, comme ça, nous avons pu l’arrêter quelques mètres plus loin et stopper sa course folle. Je l’ai d’ailleurs remercié de nous avoir aidé. J’en ai aussi profité pour le taquiner un peu en disant qu’il pourrait devenir policier et porter un uniforme. D’ailleurs, je suis sûre que l’uniforme lui irait à merveille, même le métier de police pourrait lui aller. On a besoin de jeunes motivés pour les patrouilles ou même les autres services. Je ne sais pas, je trouve que le métier attire de moins en moins de monde. Je trouve ça vraiment dommage, c’est l’un des plus beaux métiers qui puisse exister sur terre. Perso, je savais depuis presque toujours que je voulais être policier. C’était une évidence pour moi. J’ai baigné dedans depuis tout petit. Je me souviens quand je devais avoir 4 ou 5 ans, ma mère nous a amené ma sœur, mon frère et moi au commissariat pour voir mon père. J’avais des étoiles pleins les yeux, tout était très beau pour moi les bureaux, le drapeau mis au fond de la salle, les policiers qui tapaient leurs rapports. Mon père nous a permis de monter dans la voiture de patrouille ou il a actionné le gyrophare et le deux-tons. Limite je me suis cru policier à ce moment-là aussi. Lieutenant Taylor prêt à aller arrêter les méchants. Pratiquement 17 ans plus tard, j’ai pu réaliser mon rêve pour le plus grand plaisir de mon père et pour le plus grand malheur de ma mère. Je me suis toujours dit que si je n’avais pas réussi à être policier, je pense que j’aurais été militaire dans la marine ou bien pompier. En tout cas, j’aurais fait un métier qui aide les gens. Pour en revenir à Judï, je ne m’attendais pas du tout à cette réponse-là. Plus une réponse marrante que cela. Son regard et sa façon de me le dire me rend mal à l’aise. Je fronce les sourcils. « L’art du mensonge ? On n'est pas obligé de mentir pour être policier. » Lui dis-je. Je sais qu’il ne parle pas de ça. Il n’avait pas l’air vraiment content. Je l’emmène à l’écart au cas où il ferait un esclandre ou je ne sais quoi. Je n’ai pas envie de les gens soient témoins d’une dispute qui ne les regarde absolument pas. Il me dit ensuite qu’il devrait porter plainte contre moi et que les mensonges sont punis. Je le vois sourire et je ne pu retenir un petit rire à ce qu’il a dit. « Hum.. » Dis-je en me raclant la gorge. « Si si les mensonges sont punissables. Surtout les gros mensonges. » Je termine ma phrase par un clin d’œil. Sa manière de sourire ou d’être timide me fait totalement craquer. J’ai juste envie de le prendre dans mes bras et de ne plus le laisser partir. Faut que j’arrête de penser à lui comme ça, faut que je calme un peu mes pensées quand il est autour de moi ou quand je lui parle. Quand il repère ma bague, je sais que c’est un peu la merde. Je lui avoue que je suis bien marié depuis quelques années à une jeune femme, mais je ne lui en dis pas plus. J’essaie d’expliquer, mais je n'y arrive pas vraiment et je sors n’importe quoi comme excuse de merde. Il ne devait pas savoir que j’étais marié, je ne voulais pas qu’il le sache pas maintenant. Il me dit que je n’ai pas besoin de m’expliquer et qu’il est juste un inconnu. Je secoue la tête vivement en disant non. « Tu n’es pas un inconnu, enfin, je ne te considère pas comme un inconnu. Tu es Judï, un chic type, je dirais même un ami. Enfin… Je veux dire que je te considère un peu comme un… Un ami. » Dis-je en rougissant. Je voulais qu’il le sache, mais j’espérais que de son côté je compte aussi un peu. C’est vrai qu’on ne se connaît pas énormément, mais on se parle depuis des mois et des mois et personnellement, je me suis attaché à lui, a lui parler tous les jours. J’aime la relation, enfin si on peut utiliser ce mot à défaut de ne pas en avoir un autre, qu’on a. Je sais qu’il le prend mal et je sais qu’il a bien raison. Il me dit ensuite que je devrais rejoindre mon collègue parce qu’il m’attend. Je me retourne vers le dit collègue et je le vois en train d’attendre prêt de la voiture. Je vois qu’il me fuit du regard qu’il ne veut pas rester et fuir. Je lui tiens le poignet. « Écoute, je suis désolé de ne pas te l’avoir dit. C’est très compliqué entre elle et moi depuis quelques mois et je ne voulais pas en parler parce que ça me prend déjà la tête au quotidien. Nos échanges pour moi son une bouffée d’air frais, une évasion dans ma vie qui n’est pas toujours simple. Je ne voulais pas parler d’elle. Je suis terriblement désolé Judï. » Dis-je tristement tout en le regardant dans les yeux. C’est la vérité, je ne voulais pas parler de ma femme ni mentionner que je suis marié. Ça ne va plus très bien entre nous depuis un moment et Judï me permettait d’avoir un moment d’évasion. J’aurais dû lui en parler, mais m’aurait-il parlé? Aurait-on continué nos échanges ? Peu après il lâche une bombe lui aussi. Il me dit qu’il a une copine et qu’ils ne sont pas encore mariés. « TU … TU AS UNE COPINE ? » Je ne peux m’empêcher d’élever un peu beaucoup la voix. Je me renfrogne un peu, je ne m’attendais absolument pas à ça. Je ne le prends pas très bien à vrai dire, je le prends assez mal. « Tu comptais me l’annoncer un jour ? » Dis-je en croisant les bras. « Tssss.. » Je secoue la tête. « Tu m’as bien berné… » J’étais déçu bien sûr. Bon, j’ai peut-être un peu oublié sous le choc que je lui avais aussi menti et que je n’étais pas mieux que lui. Je lui jette un regard froid, je crispe ma mâchoire. « Tu n’es pas mieux que les autres. » Dis-je méchamment. Je me suis vraiment attaché à lui, en plus, je tombe lentement sous son charme et je pensais que ça allait être pareil pour lui. Je me voyais bien dans un avenir avec lui. Mais bon, tout cela s'effondre maintenant. Je me sens mal de lui avoir parlé, d'avoir flirté alors qu'il a une copine.

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Judï Coelho
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Contact via MP : Bien-sûr.
Warnings : Dépression - Homophobie - Détresse Psychologique.
Âge : Un âge où la vie semble lui échapper. La jeunesse au bout des doigts, si frivole, si indomptable, Judï se perds dans ses pensées au lieu de vivre, de respirer.
Statut civil : Seul, affligé par une rupture amoureuse dont-il est le principal coupable. Une femme qu'il a aimé tant d'année mais dont-il n'est plus capable d'aimer en retour, tourmenter par son soudain désir pour les hommes.
Orientation sexuelle : Paumé, il est impossible pour lui d'admirer un homme. Rien n'est plus outrageant, angoissant d'affronter ses démons, d'être lui-même.
Métier(s)/Étude(s) : Interne en Chirurgie viscérale de quoi avoir mal aux entrailles lui qui n'assume jamais rien.
Quartier de résidence : Dans un petit studio à Manhattan qu'il aimerait pouvoir partager avec un/ou une colocataire.
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“ Ain't it funny ”
ft. @Taylor Sinclair     

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Tu te détestes pour avoir laisser tes barrières se briser face à la douceur de ses mots, à ce sourire si envoûtant. Tu es si candide que tu ne peux contrôler ce flot d'émotion qui te submerge. Les mensonges, l'art et la manière de bousculer une vie. Comment peux-tu être si dédaigneux alors que tu exerces avec habilité depuis plusieurs mois cet art ? Tu mens à tes parents comme tu mens si dangereusement à ta copine. Mener une certaine double-vie est-ce réellement un mensonge ? Tu ne veux pas admettre que l'exemplarité n'existe nullement dans ton cas alors tu essayes de te trouver des excuses, en vain. "Tu n'as pas à te justifier. La vie est faite ainsi." Dis-tu la boule au ventre, difficile pour toi de digérer cette vérité. Lui, marié à une femme alors qu'il n'a cessé de flirter avec toi durant des semaines. Tout comme toi, ça sonne comme une évidence qui te surmène aussitôt. Tu peines à te tenir debout, l'esprit embrumé, la tête qui vacille légèrement face à ce surplus d'information. "Qui berne l'autre ? A-vrai-dire, j'essaye de trouver la réponse. Mais contrairement à toi, je ne vis plus avec, disons que c'est assez compliqué." Autant être sincère vue la situation actuelle. Tu ne cherches pas à te trouver la moindre échappatoire, tu ne souhaite pas non plus passer pour ce conn*** arrogant, menteur. Tu sais que tu viens aussi d'entacher cette image de perfection, cette estime qu'il avait pour toi. Il te manque bien de courage pour affronter ta petite-amie. Cette femme que tu ne désires plus depuis plusieurs mots, cette femme que tu n'as pas revenu depuis qui tu as quitté l'appartement où vous vivez. Tu n'as aucune vaillance, tu n'es pas près à assumer tes désirs tout comme certain de lui avouer cette vérité douloureuse. Tu es juste pathétique, tout comme ta misérable vie dont tu n'es même plus certain d'y être attaché. Tu es vraisemblablement résolu à respecter les demandes de tes parents. Un parfait Arias sous tous les angles. Pourtant, face à toi, Taylor qui ne cesse lui aussi de te scruter intensément, comme-ci cette colère qui émanait de vous n'avait pas lieux d'être. "J'ai pas envie que ça se termine comme ça entre nous. J'arrive tout simplement pas à m'assumer. Je ne suis qu'une larve et il me faudra du temps encore pour accepter cette attirance que je ressens vis-à-vis de toi."Tu sembles totalement résigner, si bien, que tu joues cette fameuse carte de la sincérité. "Je ne pense pas que ça soit le meilleur lieu pour discuter mais je voudrais que l'on se revoit, même si j'ai affaire à un homme marié." Tu ne peux t'empêcher de lui lancer cette remarque cinglante mais tu es bien décidé à ne pas le laisser filer entre tes doigts, ce beau policier qui te pousse dans tes retranchements.

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Taylor

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Ain't it funny
Je n’avais pas voulu lui avouer dans nos conversations que j’avais une femme. Je ne pourrais pas expliquer ni pourquoi ni comment, mais je n'avais pas envie de lui dire. J’ai limité l’impression de redevenir une sorte d’adolescent quand je parle à Judi, cette sensation de l’interdit, de flirt, de bons moment. Je ne peux pas l’expliquer, mais il était hors de question que je lui dise pour ma femme. Je sais bien que c’est débile, mais je me sens libre, je me sens heureux quand je lui parle. En ce moment, ce n'est vraiment pas la joie avec madame Sinclair. Un peu d’évasion ne fait absolument pas de mal. Je me justifie quand même auprès de Judï. Je lui en dois une quand même. Moi qui aime les gens honnêtes, je ne l’ai pas du tout était sur ce coup-là et je n'en suis pas si fier. Je pars du principe que tout se sait un jour et que le retour du boomerang dans la tronche peu faire très très mal. Il me dit que j’ai pas à me justifier et que la vie et fait ainsi. Il me dit que j’ai pas à me justifier et que la vie et fait ainsi. « Si, je te dois la vérité. » Je sais qu’il ne le prendra pas bien ce qui est normal. Je m’en veux beaucoup. Normalement, notre rencontre n’aurait jamais dû se passer comme ça. Enfin de ce que j’avais imaginé. Pour moi, on se serait rencontré dans un bar ou dans un parc et j’aurais eu le temps de cacher ma bague dans une de mes poches ou même la laisser chez moi. Bien sûr, je lui aurai avoué beaucoup plus tard que j’étais marié ou bien divorcé, tout aurait dépendu de la façon dont notre relation aurait évolué avec madame. Il m’avoue aussi qu’il a quelqu’un dans sa vie. Je n'ai pas pu m’empêcher d’être un peu méchant avec lui. Cette sensation comme si quelqu’un me donnait un coup-de-poing dans le ventre. Je n'ai pas pu m’empêcher d’être un peu méchant avec lui. Alors que je venais de lui apprendre que j’avais une femme. Il me dit qui berne l’autre. Il a raison, nous avons tous les deux cachés volontairement notre relation. Il me dit qu’il ne vit plus avec et que c’est compliqué. « C’est une bonne question. Je dirais les deux. » Je souris un peu. « Tu ne vis plus avec ? C’est compliqué ? Dis donc les filles sont décidément très compliqué à vivre à certains moments. » Dis-je en pensant à ma situation et à la sienne. C’est clair qu’à certains moments elles sont incompréhensible et un peu bizarre, bien que nous nous ne devons pas être mieux non plus. D’un seul coup, il me dit qu’il n’a pas envie que ça se termine comme ça entre nous. D’un seul coup, il me dit qu’il n’a pas envie que ça se termine comme ça entre nous. Il me dit qu’il n’arrive pas à s’assumer qu’il est qu’une larve et qu’il lui faudra du temps pour accepter l’assurance qu’il ressent pour moi. Attends, j’ai bien compris ce qu’il avait dit. Cette dernière phrase me fit rouler des yeux. Je ne pus m’empêcher de faire un immense sourire. Il me dit ensuite que ce n’est pas le meilleur lieu pour discuter, je suis entièrement d’accord avec lui et qu’il voudrait qu’on se revoie même si je suis un homme marié. Toute ma colère a quitté mon corps et j’ai froncé les sourcils tout en l’écoutant. Il ne va pas lâcher si facilement. « Écoute que tu ne t’assumes pas ce n'est pas très grave, tu as le temps de t’assumer. » Lui dis-je doucement tout en mettant ma main droite sur son épaule. « Par contre que tu dises que tu es une larve, je refuse d’entendre ça ! Ne pense surtout pas ça de toi ! Tu es quelqu’un d’exceptionnel, quelqu’un de cultivé, quelqu’un d’adorable, plutôt pas mal même, je dirais. » Je lui fis un clin d’œil. « Écoute ce que je te propose c’est qu’on aille boire un verre ce soir ou dans la semaine et nous pourrons parler plus tranquillement et nous expliquer un peu. Je serais là quoi qu’il arrive à chaque fois que tu as besoin de moi ou autre. Je suis plutôt quelqu’un de patient, donc ne t’en fais pas. » C’est vrai que l’attente ne me fait pas vraiment peur. Je regarde autour de nous. « C’est vrai que ce n’est pas le meilleur endroit pour parler. Tu ne vas pas laisser tomber le « Homme marié » hein ? » Dis-je en soupirant. « Écoute ce que je te propose c’est qu’on aille boire un verre ce soir ou dans la semaine et nous pourrons parler plus tranquillement et nous expliquer un peu. Ne plus nous mentir aussi. J’ai vraiment envie de te revoir aussi. » Je finis ma phrase en souriant. Bien évidemment, je n’allais pas le laisser partir comme ça.



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Un désastre, définition même de ta vie actuelle. Tu n'oses prononcer le moindre mot, tu es bien trop impacter par cette vérité. Tes oreilles bourdonnent de manière incessante, comme-ci elles te poussaient à t'échapper loin de tout ça, loin de lui. Une vérité qui te paralyse, comme elle te déchire de l'intérieur. Cette vérité qui te sauve malgré tout, de ces idées confuses qui te consument, ces sensations interdites qui ne doit en aucun cas s'aventurer à l'oreille de tes géniteurs, comme aux oreilles de Maggie. Tu dois à tout prix effacer cette rencontre inattendue, bien qu'accidentelle. "Tu ne me dois rien, je ne suis que de passage." Dis-tu de manière déconcertante, bien décidé à l'effacer de ton esprit. Tu ne dois pas te sentir amère de sa relation avec son épouse, tu dois rester de marbre. Après tout, c'est un homme marié et toi tu es actuellement en couple. Incapable de prendre une décision, incapable d'affronter la dure réalité. Tu te laisses cependant capturer par ses jolies paroles, comme hypnotisé sans toutefois être capable de dire une once de vérité. "Comme tu le résumes si facilement, s'est compliqué." Tu ne veux pas l'envahir d'explication, tu préfères te tenir à distance, pour éviter de te morfondre comme éviter de souffrir. "Effectivement, je ne m'assume pas et je ne m'assumerai sans doute jamais." Dis-tu en le regardant droit dans les yeux, pour lui montrer à quel point tu es un véritable looser, un être perdu au milieu de tous ces préjugés. Il est bien trop proche de toi, sa gentillesse s'accapare de toi, tu étouffes. Tu le repousses gentiment, tu ne veux pas le blesser, tu as besoin de temps, mais combien de temps ? Une question bien existentielle auquel tu es incapable de répondre. "Je dois remettre un peu d'ordre dans ma vie. Tu ne dois pas te montrer aussi compréhensible avec moi." Tu le repousses encore et encore en essayant tant avec force de contenir toutes ces pensées ambivalentes qui noient ton esprit. Pourquoi, mettre autant de distance entre lui et toi ? Aurais-tu peur ? Vraisemblablement oui. "C'est trop tôt. Désolé, je dois y aller." Tu veux t'échapper de lui, loin de son corps puissant, loin de ce parfum musqué, loin de cette galanterie aveuglante. Tu échappes à l'inévitable, à cette tentation déraisonnable, mais pour combien de temps ? Tu lui jettes un dernier regard confus, avant de disparaître le plus rapidement possible, laissant ce beau policier paumé face à lui-même, face à ton rejet.  

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