Le deal à ne pas rater :
Console Nintendo Switch Lite édition Hyrule : où la précommander ?
Voir le deal


That was how dishonesty and betrayal started, not in big lies but in small secrets

W
H
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Le menton droit, le tailleur impeccable, les lourdes pierres à ses oreilles. Se raccrocher à tous ces détails qui faisaient d'elle cette femme forgée à travers les années. Cette épouse, cette mère, cette femme déchue. Écorchure qui avait percé le cœur, en avait fait jaillir du pus immonde et dégoulinant. La fierteet la confiance en elle-même qui s'écoulait.
D'abord il y avait eu cet article dans Cosmos. Celui qui la dénonçait elle, mais qui le dénonçait lui aussi, également. Une possibilité que, naïve, elle n'avait jamais envisagée. Adelaide était celle qui flirtait avec les autres, celle qui avait ouvert sa porte - probablement bien trop de portes - à Vesper. Mais, bêtement, l'idée de l'inverse ne lui avait jamais traversé la tête. Parce que Sullivan était un bourreau du travail, parce qu'elle le croyait quand il disait passer du temps avec ses clients ou qu'il n'avait pas pu rentrer à la maison parce qu'il avait trop de boulot, qu'il avait dormi à peine deux heures dans le canapé de son bureau, noyé sous les dossiers. Elle l'avait cru. Elle lui en avait voulu de la délaisser ainsi, mais elle l'avait cru. Quelle conne. L'article lui avait mis la puce à l'oreille, avait réveillé l'instinct et la peur rampante dans l'estomac. Soupçon douloureux et glaçant le long de sa colonne vertébrale, elle avait failli, avait attendu que Sullivan rentre du boulot, qu'il s'endorme, puis lui avait pris son téléphone. Déverrouillage facile, son visage sagement endormi à côté du sien. Sous ses doigts les messages avaient alors valsé, la nausée était montée et le nom de cette autre avait surgi.
Juliet.
La traîtresse avait délaissé Romeo pour voler le mari des autres. À peine un nom et elle la haïssait déjà. Elle détestait cette manière qu'elle avait d'égrainer les mots, les sous-entendu dans ses phrases, la façon dont elle s'adressait à son mari. Mari qui s'était réveillé soudain, qui l'avait prise la main dans le sac ou, plutôt, le téléphone dans la main. Il avait fallu inventer une excuse, se justifier bêtement ; il n'y avait sûrement pas cru. Tant pis, la discussion avait vrillé vers un autre sujet, son sujet à elle, son secret éventré au grand jour. Le temps de toutes les révélations. Sauf qu'Adelaide, contrairement à lui, n'avait pas osé mentionner le coup de cutter à leur contrat de mariage, cette femme avec qui il l'avait trompée - parce que c'était bien ça qu'elle avait compris dans tous les messages échangés entre Sullivan et Juliet, il avait couché avec elle, avait franchi la pire des limites. Par peur. Peur qu'il lui dise que oui, il aimait cette femme, peur que ça déclenche une séparation irréversible, son affreux abandon.

Alors un autre plan s'était échafaudé dans sa tête. Quelques recherches pour retroucer l'amante de son mari qu'il avait dû rencontrer dans le cadre de son boulot - mais quel cliché -, elle s'était renseigné sur son lieu de travail, avait estimé sa sortie et poireauté bêtement, la rage et la certitude que c'était la seule solution, montant à chaque respiration. Et enfin elle était apparue, celle qu'elle cherchait et qui sortait du job, celle qui avait étendu ses tentacules hideuses dans le mariage d'Adelaide.

- Juliet Hammond ? l'avait-elle interpellée en traversant la route. Vous êtes encore plus belle en vrai.

C'était vrai et ça l'agaçait encore plus. Parce qu'elle aurait aimé quilcouche avec une moche dont elle aurait ou cracher sur la laideur. Mais non, il avait fallu que Sullivan choisisse plus belle qu'elle, plus jeune aussi probablement. Et dont le corps n'avait sûrement pas été déformé par deux gosses, ni le visage par l'inquiétude de les voir grandir.

- Adelaide Branagh.

Elle laisse le silence s'imposer un instant, tente de deviner les rouages qui s'activent dans son regard, guette le moment où cette rivale comprendra que la femme qu'elle fait cocue se tient devant elle.

- Vous m'offrez un verre ? Après tout, c'est la moindre des choses après avoir couché avec mon mari.

@Juliet Hammond
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Tu as vu l'article de cet individu, conversation passée avec Sullivan lorsque tu avais mis les pieds dans sa maison, cependant les choses sont compliquées puisque tu t'es un peu plus attachée envers lui. Sauf que la conversation est passée, tu lui as mentionné que tu allais mettre ces sentiments de coté pour continuer votre relation, une relation dont vous n'avez pas envie de vous prendre la tête. T'es au courant que si Vadim le sait, c'est qu'il risque de se poser de nombreuses questions, de se demander pourquoi tu t'es rapprochée d'un homme marié et ce depuis de nombreux mois maintenant. La journée était compliquée, tu ne faisais que penser à cet article, ne voulant pas avoir la moindre représailles non plus, ne voulant pas tomber dans le moindre problème quoique tu l'es en ce moment. Bref tu essayais de passer ta journée comme tu l'entendais, de pouvoir sourire et de ne pas montrer aucun signe de faiblesse car disons que tu ne le démontrais jamais, ce n'est pas pour rien que t'as avancer dans la vie en laissant ta propre famille derrière toi. Mafia russe, on te l'as souvent dit de faire attention, de ne pas tomber dans de grosses magouilles sauf que de voir que Olga étais décédée, que ton frère et ton père sont toujours aussi soudés comme tu l'as vu lors des funérailles... T'es perdue, disons que tes vraies origines voulaient refaire surface, elles voulaient se montrer une nouvelle fois, sauf que tu ne sais pas si c'est une bonne idée. Tu as tué par le passé, tu n'as pas été une bonne personne et ça tu en as conscience, cependant tu voulais essayer d'avancer par tes propres moyens. Bref, voilà que la journée venait à se terminer, tu en profites pour enlever ton manteau d'uniforme, dévoilant cette robe qui épousait parfaitement ton corps. Tes collègues de travail te demandait si tu sortais ce soir, sauf que tu ne peux pas t'empêcher de leur donner une réponse négative, ne sachant pas ce que t'allais faire, sans doute en mettant ton nez dans tes papiers. Marchant jusqu'à l'extérieur, tu repousses la porte avant de marcher contre le trottoir sauf qu'une voix t'empêche d'aller plus loin. Ton prénom, le faux. Tes océans se posent vers cette inconnue que tu avais vu par quelques clichés dans la maison de Sullivan, sa femme. Oui, j'peux savoir qui vous êtes ? tu niais, faisait semblant de ne pas la connaitre. Sauf qu'en entendant son nom de famille, les battements de ton coeur devenaient plus forts dans ta poitrine, tu avales difficilement ta salive, ne sachant pas comment elle a pu faire pour trouver ton boulot. Tu restes silencieuse le temps de quelques secondes, tu ne sais pas comment réagir face à cette situation, tu ne sais pas si c'est une bonne idée ? sans doute avait-elle envie de te frapper, tu l'aurais mériter vu toutes les choses que tu lui faisais subir. Sullivan avait-il décidé de tout lui dire, quitte à en terminer avec toi ? Tant de questions remontent dans ta tête en ce moment et pourtant, tu restes en face d'elle, silencieuse comme tu l'es rarement. Je ne vois vraiment pas de quoi vous parlez madame. la politesse est de mise, tu aimerais tant lui dire que c'est vrai sauf que pour le moment, tu pouvais pas avoir sa femme en plus sur ton dos. Surtout pas avec les problèmes que tu as avec les membres de ta famille, c'est surtout impossible puis des blondes comme dans l'article, il y en a des tonnes. Je suis désolée mais vous vous trompez de personne, excusez moi j'ai des choses a faires. tu viens donc a essayer de reprendre ta route. @Adelaide Branagh
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Adelaide avait été de ceux, le menton droit et le regard fier, qui avait affirmé, plus jeune, que si un jour son époux la trompait, elle mettrait ses fringues dans une valise, les gosses dans un taxi, et disparaîtrait. C’était si facile à dire, à 15 ans, quand Louise Sparkles se plaignait des infidélités cliché de son père. Affirmer haut et fort que jamais, au grand jamais, on ne se laisserait marcher sur les pieds. Presque trente ans plus tard, en revanche, tout était beaucoup moins simple. Plier bagage serait bien plus compliqué que ce qu’elle avait annoncé pendant son adolescence pour un amoncellement de raisons. Il y avait les enfants d’abord ; elle était consciente que Sullivan et elle n’étaient pas les meilleurs parents du monde et n’avaient pas en plus envie de leur infligé ce quotidien écartelé entre deux maisons. Et puis financièrement, la vie serait bien différente ; bien sûr, elle aurait le droit à une pension confortable, mais les gains de son mari partagés ne permettraient sûrement pas d’entretenir un pareil train de vie… La perspective d’un célibat à passé quarante ans était peu tentante ; et puis bien sûr, il y avait autre chose. Ce pincement de jalousie et d’horreur qui l’avait saisie en lisant les allégation de Cosmos. Elle aimait encore Sullivan. Révélation qui l’avait presque elle-même surprise quand elle avait réalisé que l’amour de son mari ne lui était pas autan acquis que ce qu’elle pensait. Il pouvait à tout moment lui préférer cette autre, cette fichue Juliet qui plantait au-dessus de son mariage et de sa famille comme une ombre mauvaise. Sérieusement, qu’est-ce qu’elle avait de plus qu’elle ?
Elle n’était pas plus distinguée, en tout cas. Ça, c’était certain. Cette bécasse niait toute relation avec l’avocat qu’elle avait sûrement dû, maintenant qu’Adelaide y pensait, rencontrer sur son lieu de travail. Les imaginer discuter d’un dossier sur le bureau de la flic avant d’envoyer valser tous les papiers pour s’envoyer en l’air lui filait la nausée. Pas étonnant qu’il découche régulièrement pour baiser cette rivale. Rivale qui fait semblant de ne pas voir de quoi on parle ce qui arrache un soupir d’agacement à la mère de famille. Si elle croit que ça va se passer ainsi…

Elle ne lui laisse pas faire plus de deux pas avant de sortir son téléphone pour appeler le numéro de son répertoire qu’elle a sobrement nommé “pétasse”. Inutilement cruel, absolument pas sororal et très mal éduqué, mais ça lui a fait un bien fou en le notant ainsi après que ses yeux aient dévalé l’échange de message entre son mari et sa maîtresse. Numéro ainsi composé qui fait automatiquement sonner le portable de celle qui prétend n’avoir rien à faire avec les Branagh quand elle est en train de détruire un couple. Mange bien ta culpabilité.

– Vous êtes sans doute déjà au courant, mais j’ai deux pré-adolescents à qui je répète souvent que c’est pas très joli de mentir.

Pouce qui raccroche en appuyant sur le bouton rouge, elle efface la distance qui a pu être creusée afin de revenir au niveau de Juliet. Yeux qui se plantent dans les siens avec la force d’un poignard en plein cœur. Ça fait longtemps qu’elle n’a pas ressenti une telle envie de meurtre.

– Si vous voulez, on peut aussi faire ça en pleine rue. Mais je crois avoir assez de délicatesse pour ne pas vous exposez devant vos collègues.

Mais si elle insistait, ça devenait son problème. Après tout, Adelaide avait déjà suffisamment été ridiculisée ainsi quand son nom était apparu dans ce véritable torchon de potins. Il ne serait que justice que Juliet se voit elle aussi affichée devant ceux qui partagent son quotidien.
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
De voir cette femme en face de ta petite personne, semblait être d'une bonne famille, sans doute possédant une énorme richesse, tu avais eue la moitié de ce genre de chose sauf que la mafia russe c'est pas l'une des bonnes familles. Disons que ce genre de personne, tu étais incapable de voir ce genre de chose, tu n'as pas aimé les gens hautains, toi qui a dû gagner ton propre argent, être présente où tu es c'est ce que tu as toujours rêvé et maintenant tu n'as pas envie que le chemin soit compliqué. Maintenant, tu essayais de garder tes idées hors de l'eau, toi qui s'est rapprochée d'un homme marié, Sullivan a pris de l'importance dans ta vie et maintenant tu ne sais pas ce que tu peux dire de plus. Tu devrais sans doute reprendre contact avec ton frère, disons que malgré ce que ton père t'as dis t'as fais tout simplement du mal, sauf que maintenant tu gardes toujours une certaine crainte, dans l'optique encore de recevoir des menaces. Tu as de nombreuses idées en ce moment sauf que de voir cette demoiselle en face de toi, plus âgée que ton être, tu restais tout simplement sur tes gardes. Tu viens donc à nier que tu avais une relation avec son mari, mensonge qui s'imposait envers ta personne, ne sachant pas si elle te prenait pour une conne. Tu ne voudrais pas qu'on puisse s'en rendre compte, alors dès que tu viens à te retourner pour recommencer à marcher, tu ne faisais pas beaucoup de pas quand ton téléphone se mettait à sonner. Venant à tourner la tête vers Adelaide, tu l'observes en face, restant presque impassible, les battements de ton coeur qui devenaient plus forts dans ta poitrine. Mentir, tu ne le faisais pas souvent sauf quand on parlait de ta réelle vie, de la mafia russe qui faisait partie de ta famille depuis des années et des années. Olga est décédée, sans doute que c'est toi la cible principale, sauf que tu essayais de n'en parler à personne, Sullivan qui le sait. Qu'est-ce que vous voulez. de plus ? sans doute te menacer de ne plus avoir aucun contact avec son mari, le truc classique qu'on voyait dans les films ou dans les séries. Tu viens donc à entendre son coup de poignard, elle voulait discuter dans un endroit plus tranquille, pas devant tes collègues de travail qui entraient et qui s'en allaient. Tu prends donc une longue inspiration, regardant le sol pendant quelques instants et de pouvoir reposer tes pupilles dans les siennes, tu sais qu'elle ne le prenait pas et c'est normal, elle venait d'apprendre ce que son mari faisait réellement dans son dos. Y'a un bar tout près d'ici. tu levais le drapeau blanc, disons que tu sais que cette discussion allait être sans doute palpable maintenant.  @Adelaide Branagh
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Ce qu’elle voulait ? C’était plutôt simple dans le fond. Elle voulait tout simplement que cette pouffasse disparaisse de l’horizon et sorte de la vie de son mari. Qu’elle se fonde dans d’autres paysages, qu’elle quitte New York, voir les États-Unis. Encore mieux ; si elle pouvait se passionner pour l’astronomie et monter dans la prochaine fusée pour la Lune ou Mars ou qu’importe, une autre galaxie s’il le fallait. Adelaide désirait simplement que Juliet tourne les talons et ne revienne plus jamais, retrouver l’homme qu’elle avait épousé et qui lui avait pourtant juré fidélité. Oh oui, dans certains de ses rêves elle la voyait même immolée en place public. C’était tordu et affreux, mais c’était l’inconscient de la jalousie qui s’exprimait. Cette femme était ce cauchemar toujours redouté : celle qui risquait de détourner son époux du droit chemin, celle qui pouvait faire imploser son mariage. Alors comment faire si ce n’est la haïr ?
Le moment de l’estocade finale n’est cependant pas arrivé et si la fille à papa ne sait pas manier les armes, elle sait utiliser les mots comme des couteaux tranchants. Pas en pleine rue pendant, oh non, l’humiliation a suffisamment sifflé déjà dans le Cosmos pour qu’en plus elle doive se soumettre au jugement des passions. Alors puisqu’elle a l’attention de sa cible désormais, elle l’enjoint à choisir un endroit un peu plus à l’écart. Ne pas devoir subir la confrontation devant son lieu de travail. Un bar est proposé – sous la contrainte, il faut bien l’avouer – et Adelaide, satisfaite, hoche la tête et l’enjoint à lui montrer la direction.
Ça ne lui fait pas plaisir à elle non plus d’être là. En face de la femme qui s’est envoyée en l’air avec Sullivan. Les imaginer nus, partageant les mêmes draps, lui donne envie de vomir. Elle aurait préféré que ce moment-là n’existe jamais ; mais Juliet avait choisi de coucher avec un homme marié et il fallait désormais en assumer les conséquences.

Le bar où elles débarquent n’est clairement pas le genre d’endroit où Madame Branagh a l’habitude de traîner. Odeur grasse qui flotte dans l’air, alignements de bière à la pression au comptoir. La carte est toute aussi désastreuse : pas de champagne ni de Chardonnay, elle se rabat sur ce qui est vendu comme un rosé. Silence qui s’impose à la petite table un peu collante – probablement qu’une boisson y a été renversée et que personne n’a trouvé judicieux de correctement nettoyer le bois. La commande leur est enfin apportée et Adelaide porte des lèvres aventureuses à son verre : immonde. Grimace qui lui fait reposer la boisson dans un bruit mat avant que ses yeux ne défient sa rivale. Après tout, elle n’est certainement pas là pour passer un bon moment donc autant entrer dans le vif du sujet.
De son sac, elle en extrait son porte-monnaie – non pas pour régler l’addition, elle compte bien l’abandonner à la pouf qui se tape son mari, étant donné le nombre de chose qu’il a dû lui offrir, c’est le moins que l’amante puisse faire - mais pour en sortir une photo représentant ses deux enfants à Noël. Du bout de son ongle french manucuré, elle désigne l’aîné, tout sourire sur la photo.

– Alistair a une passion pour les jeux vidéos. C’est son père qui lui a offert sa première console, ils ont passé des heures et des heures à jouer à plein de jeux ensemble quand il était plus jeune. Son doigt se décale ensuite pour désigner sa fille, des marques de chocolat chaud autour de la bouche. Devant ses copines Mary prétend vouloir devenir comédienne pour faire comme elle, mais sa véritable passion c’est le foot. Un héritage de son sang européen j’imagine. On a été voir la finale de son club l’année passée, quand ils ont gagné, elle a traversé le terrain en hurlant de joie pour sauter dans les bras de son père.

La mère range précieusement la photo, humidifiant du bout de sa langue ses lèvres rosée – elle n’a pas envie de redonner une chance au vin qui ne mérite d’ailleurs même pas ce qualificatif. Elle a des standing à tenir.

– Si je vous dis tout ça, ce n’est pas pour vous attendrir, mais pour vous montrer à quel point Sullivan tient à sa famille. Alors vous pouvez baiser avec lui, je peux comprendre ce qu’il vous trouve. Mais il finira par se lasser ; vous n’êtes qu’un physique à ses yeux, un vulgaire bout de viande pour entretenir quelques pulsion virile. Rien de plus. À la fin il finira toujours par se tourner vers celle qu’il a épousée et qui a porté ses enfants. Alors perdez votre temps avec lui si c’est ce que vous souhaitez, mais vous allez juste vous ridiculiser.

Un véritable coup de bluff ; elle n’avait aucune idée de l’exactitude de ses paroles, avait certes bien lu dans les échanges entre son mari et sa maîtresse qu’il ne souhaitait pas quitter sa famille, mais à quel point était-ce vrai ? N’avait-il vraiment développé aucun sentiment pour Juliet ? Elle aimerait le croire Adelaide, mais elle en doute, raison pour laquelle elle fait aujourd’hui face à l’amante plutôt qu’à l’époux. Parce qu’au fond, elle a peur que lui parler de sa liaison puisse révéler des choses qui auraient dû rester enfouie ; peur qu’il la quitte pour cette autre qu’elle méprise autant qu’elle jalouse. Mais l’avouer serait un supplice, alors autant mentir la tête haute et le menton bien droit ; c’est ce qu’on lui a toujours appris et dans le fond, elle est plutôt douée pour garder le vernis des apparences en place.
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Une femme mariée apprenant que son mari la trompait, voici ce que la demoiselle en face de toi était, totalement perdue contre vents et marées. Elle voulait sans doute que tu t'estompes dans la tempête, de ne plus entrer dans la vie de son mari, sans doute beaucoup trop éprise par ce dernier, chose qui est normale surtout. T'étais au courant que tôt ou tard elle apprendrait les écarts de conduite de son mari, que les mensonges finissent toujours par se faire découvrir et en fait tu ne voudrais pas que cela se passe ainsi. On peut dire que ton sang russe qui coulait dans tes veines remontaient à la surface, tu essayais de te dire que tu ne pourras pas perdre patience envers la demoiselle en face de ta personne, sauf que tu gardes malgré tout une pointe de sourire. Tes collègues de travail ne cessaient de passer tout près de vous deux, tu essayais de garder cette bonne humeur, toujours scotché à ton visage, sauf qu'à l'intérieur de toi tu bouillais, qu'elle ose se pointer à ton boulot c'est bas. Tu sais que la discussion risquait de tourner autour d'un pot, tu ne voulais pas nécessairement pas qu'elle puisse se terminer en bain de sang, sauf que tu voulais entendre ce qu'elle avait à te dire. Adelaide, tu ne connais rien d'elle ou même de ce qu'elle pourrait faire pour te faire oublier son mari. Rien que de voir son accoutrement, elle semblait venir de la haute société, l'élite de New York et disons que ça ne te rejoignait aucunement pas. Toi qui avait eu l'habitude de tremper dans le crime organisé, la mafia russe mais surtout d'un père constamment dans les meurtres et les affaires, toi ayant déjà tué par le passé et maintenant tu essayais d'oublier ce nom de famille craint en russie. Maintenant, tu voulais devenir une demoiselle respectée, faisant respecter la loi. Cependant ta famille est revenue dans ta vie tel un boulet de canon, tu ne sais pas ce qui se passait maintenant et disons que tu sentais que cette prison de fer autour de ton coeur devenait moins dure qu'il n'y paraissait. Marchant jusqu'à ce bar dont tu avais l'habitude de te rendre avec tes collègues de travail, ce bar était votre rituel mais rien que de voir l'attitude qu'avais la blonde, tu remarques que ce n'est pas dans ce genre d'endroit qu'elle traine en temps normal. Commande passée, toi qui prend place au comptoir en la compagnie de la dame non désirée, toi qui n'avais pas envie de sourire, toi qui avait envie tout simplement de sortir ce monstre de cette cage rien que pour aujourd'hui. Voici qu'elle en sortait une photo, le verre de bière que tu portes donc à tes lèvres, te délectant de cet alcool d'homme comme certains pouvaient le croire. Elle en désigne ses enfants, comme si elle semblait vouloir te faire changer d'avis et pourtant, tu restes normale, sans aucune once de bienveillance ou même sans coeur si tu pouvais te permettre de te décrire de la sorte. La laissant sortir son discours, tu en profites pour croiser tes jambes ensembles, esquissant un mince sourire plus qu'elle s'enfonce, ton sang russe reprenait soudainement le devant. Alors quoi, vous pensez sérieusement qu'avec ces belles paroles, je déciderais de mettre un terme à cette relation que je possède avec Sullivan ? tes billes s'encrent dans celles de cette Adelaide. Sans doute pourrait-elle cracher son venin envers ta personne ou même te lancer son verre en pleine figure, tu pouvais le mériter sauf que tu n'allais jamais laisser quelqu'un te dicter quoi faire, absolument pas. Peu importe ce que vous dites, si j'ai envie de revoir Sullivan je le ferai je n'ai en aucun cas besoin de votre aide ou de vos commentaires. La seule personne qui peut mettre fin à ce truc c'est votre mari lui-même. ton regard s'assombris, tu prends une nouvelle gorgée sans pour autant la quitter des yeux. @Adelaide Branagh
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Sérieusement, comment Sullivan avait-il pu être attirer par une telle femme ? Adelaide devait lui reconnaître une certaine beauté – ce qui l’agaçait encore plus, mais pas sûr qu’elle aurait été véritablement soulagée de savoir sa rivale laide –, mais en revanche tout le reste tranchait avec ce qu’elle savait de son mari. Lui qui l’avait habituée à des restaurants chics, à la combler de cadeaux précieux, à l’admirer dans des tenues qui valaient le salaire annuel de certaines personnes… voilà qu’il s’était entiché d’une flic qui vu ses habits ne devaient pas y prêter beaucoup d’attention et qui buvait de la bière. C’était ridicule et insensé.
[i]Mais peut-être aussi qu’elle avait simplement oublié leur jeunesse, quand elle puisait aux lèvres aimées la fumée de sa cigarette, quand elle se laisser attirer dans des rendez-vous qui n’avaient rien à voir avec les restaurants gastronomiques qu’elle fréquentait, mais pourtant, dont le romantisme évident de ces petits pique-nique de rien du tout au bord de l’eau faisait battre son cœur. On oublie si vite quand on s’habitue au quotidien, mais Adelaide et Sullivan n’avaient pas toujours été ainsi ; ils avaient été passionnés, explorateurs, amoureux. À vivre à l’improviste les rêves qui les fusionnaient. Puis le temps, délétère, s’était infiltré dans tout ça, les jours se succédant, le travail de l’avocat prenant toute la place, les besoins de sa femme lui devenant insupportables. Dernièrement pourtant, elle avait l’impression d’avoir retrouvé un semblant de tout ça avec lui ; ce voyage en France, les petites attentions, venir au spectacle de Mary… Était-ce uniquement parce qu’il culpabilisait d’en voir une autre ? Et qui il aimait dans tout ça ? Elle ? Juliet ? Toutes les deux ? C’était intolérable. Et la maîtresse ne semblait pas prête à comprendre qu’il fallait qu’elle lâche, qu’elle devait coopérer un minimum.

– Bien sûr que non, Sullivan est un bon coup, je suis bien placée pour le savoir, je comprends que vous n’ayez pas envie d’y mettre fin. Mais ce que je sais aussi, c’est que vous êtes en train de vous attacher à lui. Même si vous vous l’interdisez, vous développer des sentiments pour lui alors qu’il ne me quittera jamais, qu’il n’abandonnera jamais sa famille. Il vous l’a dit, non ?

Elle les avait lu ces messages, ceux où il lui rappelait qu’ils ne devaient as s’attacher l’un à l’autre, où Sullivan lui rappelait qu’il était marié. Elle avait lu aussi ce qui pourrait se passer si elle, Adelaide, n’existait plus… et ça l’effrayait. De se dire qu’il pourrait la balayer de sa vie… Mais comme face aux bêtes, il ne fallait pas montrer la peur. Il fallait la dominer.

– Alors continuez à coucher avec lui si ça vous sied. À la fin de la journée, c’est dans mon lit qu’il dormira, ce sont mes enfants qu’il embrassera et c’est notre anniversaire de mariage qu’il fêtera. Il est à moi pour l’éternité quand vous n’êtes qu’une passade futile. Faites ce que vous voulez de ce conseil, mais la seule personne qui aura mal dans cette histoire, c’est vous. Quand vous comprendrez qu’il n’y aura jamais plus et qu’il vous laissera tomber comme une merde.

C’était faux ; parce qu’Adelaide aussi avait mal, une atroce jalousie qui la fusillait de l’intérieur, qui la dévorait comme une inlassable torture. Mais ça, jamais elle ne le reconnaîtrait, jamais elle ne s’abaisserait devant a femme qui était en train de briser son ménage. Les apparences, toujours les apparences.
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Adelaide, est une femme mariée, qui devait certainement être prise de court en voyant toutes ces choses qui se passaient avec son mari, un secret que vous auriez dû garder rien que pour vous cependant les langues sales de New York ont remontées en un claquement de doigts. Tu pouvais essayer de te mettre dans sa peau, de comment elle se sentait par rapport à cela, sauf que maintenant t'ouvres les yeux, tu restes tel un morceau de glace. Tu n'allais certainement pas laisser cette demoiselle dont tu ne connaissais rien, Est-ce qu'elle faisait exprès de te dire toutes ces choses rien que pour que tu recules, que tu ne puisses pas entrer dans les détails, que tu puisses te sentir mal et que tu annules cette relation avec Sullivan. Elle semblait sans doute avoir vu toutes les paroles que t'as mentionné à l'avocat, surtout quand tu lui as dis qu'il était un peu plus important pour toi. Tu ne voulais pas qu'un homme prenne autant de place dans ta vie, ça n'a jamais arrivé et disons que tu ne veux pas tomber dans le même panneau qu'avec ton ex. Tu t'es rendu compte que Sullivan passait de plus en plus de temps avec sa femme, disons que tu avais presque sentit une certaine jalousie, quelque chose qui se démontrait surtout. Maintenant, tu ne voulais pas le démontrer, ta famille n'avait pas à le savoir sauf que c'est bel et bien le cas, trop de problèmes qui vont remonter dans ta vie. Alors là, vous dites n'importe quoi. Je ne ressens rien pour votre mari, nous nous amusons, rien de plus. tu voulais te le dire dans ta tête, qu'il ne t'intéresses pas et disons-le tu ne sais pas si elle se rendra compte que tu ment. Tu es bonne pour ne pas montrer tes propres sentiments, c'est avec le genre de famille que tu possèdes, que t'as pu procéder à une telle chose. Tu ne t'es jamais laissé marcher sur les pieds, disons que ta vie passée est toujours présente, elle revient au galop, cette prison dans laquelle tu l'avais emprisonnée, tu ne voulais pas qu'elle remonte en toi sauf que c'est surtout impossible. Restant en face de cette femme mariée, tu ne la lâches pas du regard, ce regard froid et sérieux. Hm, non. Je ne crois pas. Rien qu'en voyant votre allure, ce regard que vous me lancez en ce moment... vous avez mal. ce qui est tout simplement normal. Sauf que tu pouvais aussi jouer la carte de la sensibilité, tu n'allais pas commencer a pleurer face aux paroles que cette Adelaide venait tout juste de te mentionner en ce moment. Peut-être que Sullivan vous rejoint le soir dans votre lit, cependant.. j'crois pas qu'il vous touchera comme il me touche, j'crois pas qu'il vous baisera comme il me baise. t'es crue dans tes paroles sauf que tu voulais la faire réagir, de voir que son regard ne puisse devenir de braise.  @Adelaide Branagh
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Comment était-on censé agir dans ce genre de cas ? N’existait-il pas un manuel de la femme – toujours classe et distinguée – qui devait faire face à l’infidélité de son mari ? Comment jeter son verre de champagne à la figure de la maîtresse de son époux, en dix leçons. Elle devrait songer à se lancer dans une carrière d’écrivaine, elle ferait des ravages. Un vrai best seller qui aurait au moins le mérite de lui rapporter gros – à défaut de lui rapporter son Sully. Parce que la poufiasse qui lui fait face n’a pas l’air de vouloir lâcher le grappin sur son mari. La sororité n’a jamais fait partie des qualités d’Adelaide – elle devrait en vouloir à celui qui l’a trompée plutôt qu’à l’autre femme, impliquée là-dedans bien qu’elle n’ait jamais rien demandé à quiconque et qui elle, au moins, ne trahi personne –, pas plus qu’elle n’a l’air de faire partie de celles de Juliet. Les sourcils parfaitement épilés de la femme – de riche – au foyer font un bond en direction du plafond lorsque sa rivale prétend ne ps s’être attachée à celui avec qui elle couche. Sauf qu’Adelaide a lu les messages. Et qu’elle a parfaitement compris ce qui se jouait entre eux.
Elle contient cependant sa langue de vipère. Non pas pour éviter d’être mesquine – il lui importe peu de froisser les sentiments de la maîtresse de son époux –, mais parce qu’elle préfère garder l’information pour une autre fois. Il vaut mieux ne jamais dévoiler toutes ses cartes d’un même coup. Et il y aura une autre personne encore que les éclats de cette conversation risquent d’éclabousser. Sullivan.

La pique de Juliet en revanche, elle fait mal, assez pour obligé celle qui pensait contrôler la situation à pincer ses lèvres. Bien sûr qu’elle a mal. À son égo, mais aussi à l’amour qu’elle porte à son époux. Qui n’aurait pas mal à sa place ? Elle a bien senti, au fil des années, leur relation qui se distordait, l’éloignement, les soirées de boulot qui s’allongeait et Sully qui prétendait rester dormir au bureau certaines nuits – alors qu’il devait être entre les cuisses de cette autre femme. Malgré tout, par naïveté ou fierté aveuglante, elle ne l'avait jamais soupçonné d’infidélité. Désormais, elle se sentait bien bête. Et ça faisait mal de réaliser qu’elle s’était trompée, qu’elle avait été trompée. D’autant plus que la présence de Juliet – qu’elle avait pourtant elle-même provoquée – rendait tout ça encore plus réel. Et ce n’était encore rien face à la cruauté des mots qui l’aspergeaient. Il en baisait une autre et il la baisait mieux qu’elle. Pas dur d’un autre côté, puisqu’il la touchait rarement ces dernières années. Comment avaient-il pu laisser la flamme de leur passion s’éteindre et se faire étouffer par le temps ?

– Vous espérez peut-être que je m’effondre devant vous, que je joue la carme sensible et larmoyante en tâchant de vous convaincre de laisser mon mari ?

Elle porte le verre à ses lèvres et le finit cul sec, comme pour y trouver une forme de courage liquide.

– Mais vous savez quoi ? Allez bien vous faire foutre. Dans cette histoire c’est vous la méchante, et c’est sur vous que l’opinion publique crachera.

Elles vivaient encore dans une société trop patriarcale pour que l’opinion publique ne mette pas l’amante en porte-à-faux et non pas seulement le trompeur.

– Si vous êtes presque à risquer ça pour une simple histoire de cul, c’est votre problème. Je vous aurai prévenue.

La table tremble un peu quand elle repose lourdement son verre dessus avant de se redresser dans toute sa dignité, d’attraper son sac et de tourner les talons. En ce qui la concerne, Juliet Hammond peut bien aller brûler en Enfer.
Invité
avatar
Messages
Rp posté(s)

   
Invité
Vous sembliez être totalement différentes l'une de l'autre, quelque chose qui faisait en sorte que tu ne sais pas sur quel pied danser, toi qui n'avait jamais réellement porter de robes pour parure et pourtant, c'est ce que tu faisais en ce moment. C'est bien spécial d'être en face de la femme de Sullivan, qui semblait si parfaite dans son petit rôle de femme modèle, sauf que maintenant, tu n'allais pas la laisser te marcher sur les pieds. Tandis que tu restais assise contre ce tabouret, tu observes doucement la demoiselle qui semblait légèrement embêtée, par ce genre de situation. Tu voyais très bien que cette femme prodige, n'avait pas apprécié ce que tu lui as envoyé comme pique, toi qui essayais de ne pas montrer aucun moment de faiblesse, t'allais certainement pas pleurer pour ce genre de situation. Maintenant, tu essayais de garder la tête bien droite, de ne pas faire un pas de travers. T'es au courant que tu devrais oublier Sullivan, de ne pas poursuivre ce genre de relation parce que tu commençais à éprouver plus qu'une chose envers l'avocat, sauf que maintenant tu lui as dis que t'allais mettre ces sentiments de côté. Ça ne te ressemblait aucunement pas, disons que tu n'es pas du genre à tomber amoureuse d'un homme, ton boulot prenait tout ton temps et disons que tu finissais ton boulot très tard le soir. Maintenant tu as des problèmes, ta famille est revenu au grand galop sans que tu ne puisses t'en rendre compte, tu ne sais pas comment tu devrais agir mais Vadim a toujours été dans ta tête, il reste malgré tout ton frère. Aujourd'hui tu changeais, ton caractère de russe remonte dans ton corps tout entier, ton sang avait toujours été chaud et évidemment tu le démontrais à Adelaide qui ne devait sans doute pas baigner dans ce genre d'illégal. Tu gardes ton regard bleuté envers celui de la femme cocue, arquant un sourcil quand elle vient à parler une nouvelle fois, toi qui faisait en sorte que tu hausses les épaules. Peut-être bien que ça serait c'qui pourrait rendre la tâche moins compliquée mais.. non j'crois pas que c'est votre genre. dis-tu sans la quitter du regard. T'étais assez vieille pour faire ce que tu voulais, sauf que maintenant tu sais que la seule chose qui serait facile, c'est d'oublier Sullivan... mais t'en as pas envie. L'opinion publique, disons que tu sais que ça pourrait jouer gros, sauf qu'il y a beaucoup de couples qui vont voir ailleurs, ça ne sera pas le premier ni le dernier. Par contre, tu ne pourrais pas perdre ton boulot car tu es la meilleure dans ton domaine, tes collègues de travail et même supérieurs n'ont rien à dire envers ce que tu fais. Ça reste ta vie personnelle. Peut-être êtes-vous le genre de femme qui s'intéresse aux potins et tout c'qui s'y rattache mais pas moi. L'opinion publique peut sans doute me cracher dessus mais c'est le cadet de mes soucis. Elle essayait sans doute de te faire passer pour la méchante mais c'est aucunement le cas. Tandis que Adelaide vient à se redresser, tu ne peux t'empêcher d'esquisser un sourire, presque échappant un rire. La laissant s'en aller, tu ne pouvais t'empêcher d'ouvrir la bouche. Passez une belle soirée avec votre famille, madame Branagh. @Adelaide Branagh
Messages
Rp posté(s)

   
Contenu sponsorisé