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sunflower (ehsan)
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Un verre d'alcool entre ses doigts, Vadim l'avale d'un coup sec. Installé sur son fauteuil, il regarde la cheminée vide de braise. Ce n'est plus la saison. Le soleil est largement présent, la chaleur aussi. L'été s'est éparpillé aux quatre coins du vent et il n'y fait même pas attention. Humeur sombre, maussade, verre serré entre ses doigts, vide à présent. Ce n'est que le troisième. Quatrième peut être ? Les sens sont chamboulés, fracassés, et il lui en faut un autre. il se sert une nouvelle fois, l'excés ne lui fait pas peur. Une habitude. Une violence parfaitement maîtrisée, ancrée en lui. Kuznetzov. Nom de famille qui respire la crainte, le chaos, qui respire le sombre et l'horrible. Il inspire, sortant un cigare de sa boîte en fer, son regardant ne quittant pas la cheminée en face de lui. Chemise défaite, cheveux en bataille, il n' a pas beaucoup de dormir. Beaucoup trop d'états d'âmes à verser. De colère à balancer. Il voit se dessiner dans l'encadrement de la porte une silhouette qu'il ne connaît que trop bien.
Sa soeur adoptive. Ombre jamais bien loin de lui. Secret inavouable. le sien. Le leur. Il pose son verre en cristal sur la table, tirant une bouffée de son cigare. Qu'est-ce que tu veux Ehsan ? il tourne légèrement son visage pour l'observer du coin de l'oeil. Vadim a envie d'être seul. La plupart du temps. Mais il ne peut pas refuser grand chose à cette petite brune, gravitant dans leur famille depuis quelques années déjà. enfant de la rue, les Kuznetzov ont vu en elle un potentiel énorme. Quelque chose à exploiter. A faire jouer. Pour leur cause. Leur famille. J'ai besoin d'être seul. ça ne lui ressemble pas de la renvoyer d'où elle vient. De se fermer à elle. Mais Vadim n'a pas de patience ce soir. Il n'en a jamais vraiment eu, mais c'est pire depuis quelques jours. Depuis l'incident des sous-sols. Il inspire un peu, détournant son regard d'elle pour se servir un autre verre, une sirène qui n'a rien à faire prés de lui ce soir. En plus, il devrait lui parler de Juliet. Il sait que ce n'est pas un sujet à aborder avec elle.
Sa soeur adoptive. Ombre jamais bien loin de lui. Secret inavouable. le sien. Le leur. Il pose son verre en cristal sur la table, tirant une bouffée de son cigare. Qu'est-ce que tu veux Ehsan ? il tourne légèrement son visage pour l'observer du coin de l'oeil. Vadim a envie d'être seul. La plupart du temps. Mais il ne peut pas refuser grand chose à cette petite brune, gravitant dans leur famille depuis quelques années déjà. enfant de la rue, les Kuznetzov ont vu en elle un potentiel énorme. Quelque chose à exploiter. A faire jouer. Pour leur cause. Leur famille. J'ai besoin d'être seul. ça ne lui ressemble pas de la renvoyer d'où elle vient. De se fermer à elle. Mais Vadim n'a pas de patience ce soir. Il n'en a jamais vraiment eu, mais c'est pire depuis quelques jours. Depuis l'incident des sous-sols. Il inspire un peu, détournant son regard d'elle pour se servir un autre verre, une sirène qui n'a rien à faire prés de lui ce soir. En plus, il devrait lui parler de Juliet. Il sait que ce n'est pas un sujet à aborder avec elle.
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Le talent de la discrétion est présent chez la jeune femme, quand il s’agit de se déplacer presque sans aucun bruit. Mais pour aujourd’hui, elle n’a pas spécialement envie de se la jouer discrète et donc, de se faufiler comme une voleuse chez Vadim. Une course s’était mal passée, elle avait quelque peu fini dans le décor, mais rien de bien grave, si ce n’est qu’elle a un bleu magnifique dans le haut du dos. Elle entre dans la pièce, elle pose son regard sur Vadim. Elle remarque bien qu’il y a quelque chose qui ne va pas, elle le remarque bien, elle n’est pas idiote, et ça se confirme quand elle entend le ton sec employé, pour juste lui demander ce qu’elle voulait. Ehsan tient à lui, plus que de raison. Fille adoptive de la famille, elle est pourtant celle qui se perd dans les bras de l’homme qui est censé être son “frère”. “ Ce que je veux ? Te voir.” De simples mots, de simples paroles, elle veut le voir, et elle vient le voir, tant pis s’il n’est pas content ou encore d’humeur. Par ailleurs, elle grimace en sentant l’odeur empestant du cigare, soupirant longuement, s’engouffrant dans le lieu interdit.
Tant pis pour lui, elle approche quand même, elle va briser sa solitude et approcher de lui, le voyant se resservir un verre, qu’elle retire doucement de ses mains pour venir le lui prendre, elle a aussi viré son cigare pour le poser plus loin. C’est doucement, lentement, qu’elle passe ses bras autour de lui, venant ensuite se coller légèrement. Elle a besoin d’un contact, de son toucher à lui et de son odeur. Elle relève ensuite le regard vers lui, souriant un peu, embrassant alors le coin de ses lèvres, pour venir donner un peu de chaleur. “ Dis-moi ce qui ne va pas et ne me repousse pas.” Elle sourit un peu, venant s’installer sur lui, dans son fauteuil, elle ne compte pas le lâcher, oh que non.
Tant pis pour lui, elle approche quand même, elle va briser sa solitude et approcher de lui, le voyant se resservir un verre, qu’elle retire doucement de ses mains pour venir le lui prendre, elle a aussi viré son cigare pour le poser plus loin. C’est doucement, lentement, qu’elle passe ses bras autour de lui, venant ensuite se coller légèrement. Elle a besoin d’un contact, de son toucher à lui et de son odeur. Elle relève ensuite le regard vers lui, souriant un peu, embrassant alors le coin de ses lèvres, pour venir donner un peu de chaleur. “ Dis-moi ce qui ne va pas et ne me repousse pas.” Elle sourit un peu, venant s’installer sur lui, dans son fauteuil, elle ne compte pas le lâcher, oh que non.
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(( sunflower ))
Petite brune s'engouffrant dans son appartement. Venant prendre de la place. Vadim ne veut voir personne, pas même Ehsan ce soir, ça ne lui ressemble pas. La petite brune a toujours de la place prés de lui, mais ce soir, c'est la solitude qui s'enroule autour de son coeur. Qui l'incite à tirer une latte de son cigare et laisser cette fumée blanche s'envoler jusqu'au plafond. Soupir intense, yeux brun qui se ferme un instant. Pour mieux se rouvrir quand les pas de sa soeur adoptive se rapprochent, viennent prendre de la place tout autour de lui, petite brune qui a toujours gravité dans son monde. Relation interdite, pas liés par le sang, mais par le même nom maintenant. L'envie de le voir. C'est ce qu'il retient. Ce qu'il entend. Géant de pierre animé par la présence d'Ehsan.
Elle vient prendre de la place contre lui, s'installe sur ses genoux, l'envahit de sa chaleur. Vadim laisse son regard glisser sur elle, sur ce doux visage qu'il a caressé de nombreuses fois. Sur ce corps dont il connaît tous les contours aussi. Vadim retire le cigare de ses lèvres, l'écrase dans le cendrier, laissant la brune prendre la place qu'elle veut, accueillant ses lèvres au coin des siennes. Douce chaleur envahissante, mais plaisante. Le brun plante son regard dans le sien, quelques mots à souffler. J'ai revu Juliet. Leur soeur, qui leur a tourné le dos. Une famille qu'elle a renié, emportant avec elle le nom des Kuznetzov pour transformer le sien et se donner une nouvelle identité. Elle veut renouer avec moi. Vadim n'est pas certain d'en avoir envie. Il est pris entre deux feux, la rancoeur face à sa traîtrise. L'esprit colérique et perdu entre plusieurs feux.
Visage qu'il contemple, légère grimace qu'il aperçoit au coin des lèvres d'Ehsan. Froncement de sourcils, mots qui s'échappent rapidement. Tu as mal. Qu'est-ce que tu as ? Il connaît cette grimace, celle qui inspire la douleur. Celle qui trahit ce qui la fait souffrir. Il sait qu'elle se met en danger, il n'apprécie pas. N'appréciera jamais, ses activités auxquelles elle s'adonne pour le plaisir de l'adrénaline. Elle risque de se brûler les ailes, un jour ou l'autre. Mais la raisonner est impossible, elle n'est pas une Kuznetzov pour rien.
Elle vient prendre de la place contre lui, s'installe sur ses genoux, l'envahit de sa chaleur. Vadim laisse son regard glisser sur elle, sur ce doux visage qu'il a caressé de nombreuses fois. Sur ce corps dont il connaît tous les contours aussi. Vadim retire le cigare de ses lèvres, l'écrase dans le cendrier, laissant la brune prendre la place qu'elle veut, accueillant ses lèvres au coin des siennes. Douce chaleur envahissante, mais plaisante. Le brun plante son regard dans le sien, quelques mots à souffler. J'ai revu Juliet. Leur soeur, qui leur a tourné le dos. Une famille qu'elle a renié, emportant avec elle le nom des Kuznetzov pour transformer le sien et se donner une nouvelle identité. Elle veut renouer avec moi. Vadim n'est pas certain d'en avoir envie. Il est pris entre deux feux, la rancoeur face à sa traîtrise. L'esprit colérique et perdu entre plusieurs feux.
Visage qu'il contemple, légère grimace qu'il aperçoit au coin des lèvres d'Ehsan. Froncement de sourcils, mots qui s'échappent rapidement. Tu as mal. Qu'est-ce que tu as ? Il connaît cette grimace, celle qui inspire la douleur. Celle qui trahit ce qui la fait souffrir. Il sait qu'elle se met en danger, il n'apprécie pas. N'appréciera jamais, ses activités auxquelles elle s'adonne pour le plaisir de l'adrénaline. Elle risque de se brûler les ailes, un jour ou l'autre. Mais la raisonner est impossible, elle n'est pas une Kuznetzov pour rien.
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Ehsan n’est pas le genre à obéir quand on lui dit non, ou quand on veut être seul. Elle est têtue, elle sait se montrer chiante et clairement un vrai pot de colle aussi par ailleurs. La voilà contre lui, la voilà qu’elle embrasse le coin de ses lèvres, mais quand elle entend un prénom, qui ne lui pas des masses, voilà qu’elle se fige un peu, reculant ensuite son visage. “ Pardon ?” Oh, elle a merveilleusement bien compris, mais elle n’accepte pas réellement l’idée de la revoir, elle. Soupirant un peu, elle vient regarder un peu ailleurs. “ Et pourquoi faire ?” Elle replante son regard dans le sien. Son regard montrant un mécontentement du plus total, elle ne veut pas. “ Je ne veux pas la voir, ni lui parler. Elle a trahi une fois, elle peut le faire de nouveau.” Oh qu’elle ne l’aime pas, et pourtant, pendant longtemps, elle a été chère à ses yeux, mais la trahison, elle l’a en travers de la gorge encore.
Quand il pose sa question, elle sait, qu’elle ne peut pas lui mentir. Lui montrer, ou bien adoucir la chose et dire que ce n’est rien ? Non, Ehsan est incapable de lui mentir, à cet homme, pour qui elle se donne corps et âme. Elle lui caresse la joue doucement, avant de venir se lever délicatement et se met alors dos à lui. Lentement, elle vient alors ouvrir sa chemise, pour la faire glisser doucement sur ses bras et laisser ainsi voir l’hématome qui parcourt le haut de son dos. “ J’ai comme qui dirait perdu la course et accessoirement, une voiture.” Elle hausse les épaules. Elle a mal, mais ça ne l’handicape pas pour autant. Mais elle aurait pu y laisser la vie. “ Mais je vais bien, je n’ai rien d’autre.” Elle se tourne un peu, le devant de sa chemise cachant encore le tout, elle ne laisse rien entrevoir, si ce n’est que sa peau dorée d’Égyptienne. Arborant d’ailleurs un beau sourire. “ Promis”. Si elle peut le rassurer, elle essaye avec une promesse.
Quand il pose sa question, elle sait, qu’elle ne peut pas lui mentir. Lui montrer, ou bien adoucir la chose et dire que ce n’est rien ? Non, Ehsan est incapable de lui mentir, à cet homme, pour qui elle se donne corps et âme. Elle lui caresse la joue doucement, avant de venir se lever délicatement et se met alors dos à lui. Lentement, elle vient alors ouvrir sa chemise, pour la faire glisser doucement sur ses bras et laisser ainsi voir l’hématome qui parcourt le haut de son dos. “ J’ai comme qui dirait perdu la course et accessoirement, une voiture.” Elle hausse les épaules. Elle a mal, mais ça ne l’handicape pas pour autant. Mais elle aurait pu y laisser la vie. “ Mais je vais bien, je n’ai rien d’autre.” Elle se tourne un peu, le devant de sa chemise cachant encore le tout, elle ne laisse rien entrevoir, si ce n’est que sa peau dorée d’Égyptienne. Arborant d’ailleurs un beau sourire. “ Promis”. Si elle peut le rassurer, elle essaye avec une promesse.
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(( sunflower ))
Prénom qui a le mérite d'attirer l'attention de la petite brune. Enfant prodigue, adoptée des Kuznetzov, petite brune sortit de nulle part mais avec suffisamment de caractère pour attirer l'attention du patriarche. Valeurs ancrées en elle, élevée de la même façon que les autres membres de cette famille. Parce qu'elle a des ennuis. La seule raison valable pour avoir eu envie de revenir prés d'eux. Vadim n'est pas dupe, ni idiot, mais les valeurs familiales sont ancrées en lui, et Juliet reste sa soeur malgré tout. Ses doigts qui glissent sous le menton de la brune pour maintenir son regard dans le sien, calmer la petite tempête qui est entrain de faire rage en elle. C'est vrai, mais c'est notre soeur Ehsan. Autorité dans la voix, Vadim qui prend sa place à la tête de cette famille. Quand le patriarche pliera le dos, ce sera à lui de prendre le relais. Il a été élevé toute sa vie pour ce jour, pour ce moment où il deviendrait tsar à la tête de sa propre famille.
Une grimace qui glisse sur son visage quand il passe sa main dans son dos, et une douleur dont il veut comprendre la provenance. Il regarde la brune se redresser et lui tourner le dos, faisant glisser sa chemise le long de sa peau dorée pour laisser apparaître un bleu imposant, hématome impressionnant. Ses doigts glissent lentement sur celui-ci, en traçant les contours. Je t'ai déjà dis que ça ne me plaisait pas. Voix qui gronde cette fois. Regard sombre. Je t'ai dis d'arrêter ces courses stupides. Ces courses qui la mette en danger. Et il ne permettrait pas qu'il lui arrive quoi que ce soit.
Elle se tourne vers lui, tissu maintenu contre sa peau, mais Vadim ne défronce pas le visage. Il est catégorique, il ne veut plus qu'elle fasse ça. Il y'a suffisamment à faire, avec nos affaires, pour que tu ailles faire ça. Reste ici, travaille avec moi, et laisse tomber ces courses de vitesses stupides. Un ordre, encore une fois. Sa sécurité avant le reste.
Une grimace qui glisse sur son visage quand il passe sa main dans son dos, et une douleur dont il veut comprendre la provenance. Il regarde la brune se redresser et lui tourner le dos, faisant glisser sa chemise le long de sa peau dorée pour laisser apparaître un bleu imposant, hématome impressionnant. Ses doigts glissent lentement sur celui-ci, en traçant les contours. Je t'ai déjà dis que ça ne me plaisait pas. Voix qui gronde cette fois. Regard sombre. Je t'ai dis d'arrêter ces courses stupides. Ces courses qui la mette en danger. Et il ne permettrait pas qu'il lui arrive quoi que ce soit.
Elle se tourne vers lui, tissu maintenu contre sa peau, mais Vadim ne défronce pas le visage. Il est catégorique, il ne veut plus qu'elle fasse ça. Il y'a suffisamment à faire, avec nos affaires, pour que tu ailles faire ça. Reste ici, travaille avec moi, et laisse tomber ces courses de vitesses stupides. Un ordre, encore une fois. Sa sécurité avant le reste.
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Ehsan ne veut rien à voir avec elle, il ne veut pas en entendre parler et clairement pas, la voir. Posant ses yeux à la couleur profonde sur Vadim, autant dire, qu’il veut tout dire. Ehsan ne veut pas, c’est un non-catégorique qu’elle lance envers l’homme face à elle. « Hé bien, qu’elle se démerde. » Oui, elle est radicale, aussi radicale qu’un serpent venimeux dans le désert du Caire. Soupir las, elle regarde ensuite ailleurs, passant une main sur le bas du visage. Elle réfléchit, elle soupire, elle doute. Puis, la suite des dires la fit doucement rouler des yeux. « Oh, par Horus, elle est notre sœur et pourtant, elle nous l’a mise à l’envers, et elle va probablement recommencer. Tu le sais. » Oh que oui, que Vadim le sait, non ?
Elle est blasée et malgré tout, la grimace fend son sourire et son visage, l’hématome tiraille actuellement. Elle le regarde, venant se lever pour faire dos et le lui montrer. Peau dorée malheureusement abîmé. Elle grimace un peu, à son toucher. Douceur que sont ses doigts actuellement, lui arrachant un frisson de bien-être. Elle le fait, oui, que ça ne lui plaît pas. Elle le regarde du coin de l’œil, avant de venir se retourner complètement vers lui.
« Si tu veux que j’arrête, trouve-moi quelque chose avec de l’adrénaline et oui, j’arrêterai. » Elle le regarde, venant alors approcher doucement, elle tient encore sa chemise d’une main et de l’autre passe une main sur sa joue. « Tu veux que je fasse quoi pour toi ? Je sais tenir tête à beaucoup d’hommes et autres raclures dans le bar où je travaille, mais ici, je ne pense pas que travailler dans un bureau me conviendra. »
Elle se recule ensuite et vient ensuite retirer sa chemise pour de bons, une fois dos à lui, elle n’en dévoile jamais trop vite, même s’il connaît chaque recoin de sa peau et elle, chaque recoin de la sienne. Elle vient sortir un tube de crème. « Tu me l’appliques, s’il te plaît ? et je…. » Elle hésite… « Je vais essayer d’arrêter et je bosserai pour toi. » Car elle tient à lui et ne veut pas l’inquiéter, mais elle continuerait, ici et là, de temps en temps et un jour, elle risquerait de ne pas ressortir indemne.
Elle est blasée et malgré tout, la grimace fend son sourire et son visage, l’hématome tiraille actuellement. Elle le regarde, venant se lever pour faire dos et le lui montrer. Peau dorée malheureusement abîmé. Elle grimace un peu, à son toucher. Douceur que sont ses doigts actuellement, lui arrachant un frisson de bien-être. Elle le fait, oui, que ça ne lui plaît pas. Elle le regarde du coin de l’œil, avant de venir se retourner complètement vers lui.
« Si tu veux que j’arrête, trouve-moi quelque chose avec de l’adrénaline et oui, j’arrêterai. » Elle le regarde, venant alors approcher doucement, elle tient encore sa chemise d’une main et de l’autre passe une main sur sa joue. « Tu veux que je fasse quoi pour toi ? Je sais tenir tête à beaucoup d’hommes et autres raclures dans le bar où je travaille, mais ici, je ne pense pas que travailler dans un bureau me conviendra. »
Elle se recule ensuite et vient ensuite retirer sa chemise pour de bons, une fois dos à lui, elle n’en dévoile jamais trop vite, même s’il connaît chaque recoin de sa peau et elle, chaque recoin de la sienne. Elle vient sortir un tube de crème. « Tu me l’appliques, s’il te plaît ? et je…. » Elle hésite… « Je vais essayer d’arrêter et je bosserai pour toi. » Car elle tient à lui et ne veut pas l’inquiéter, mais elle continuerait, ici et là, de temps en temps et un jour, elle risquerait de ne pas ressortir indemne.
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