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luxure. w/vadim

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Tu étais devenu l'ombre de toi-même, ne sachant pas si tu pouvais supporter tout ce qui se passe en ce moment dans ta vie, ces problèmes qui remontent dans ta tête, ceux que tu avais pourtant essayer de retirer de ta cervelle et qui pourtant, te font encore plus mal. De sentir les mains de Vadim contre tes épaules, un long frisson parcourait ton corps tout entier, tu ne sais pas quels sentiments remontent dans ton esprit en ce moment mais tu le laissais faire. T'es au courant que d'être dans la vie du russe n'est pas une bonne idée, qu'en ce moment ce qui te préoccupe c'est de ne pas retomber au plus bas que tu te trouves en ce moment, tu voulais essayer de remonter la tête hors de l'eau. Maintenant, tu lui fais face, sans pour autant détacher tes prunelles de celles du beau brun, se trouvant en face de toi. Ouais sauf que t'as pas fais mention à te salir les mains de cette manière putain. ton langage devient un peu plus direct, tu te fiches qu'on te regarde d'une manière qui était loin d'être normale, tu avais cette impression que vous étiez que tous les deux sur cette piste de danse, que personne ne s'imposait non plus. T'as le coeur qui battait la chamade dans ta poitrine, tu te laissais aller une bonne fois pour toute, tout simplement prise au dépourvu concernant la discussion. Tu mentionnes son coeur, tu faisais tout pour que les choses soient claires maintenant et pourtant, tu sais qu'il en a un, tout au fond de son être, comme toi t'en as un. T'as peut-être fait quelque chose d'mal, sauf que ces instants passés avec toi dans cet immeuble m'ont montrer que oui, t'avais un coeur... t'es pas l'gars qui démontre toujours qu'il est froid et distant. ta voix venait presque à se radoucir, en fait tu sais que c'est beaucoup compliqué s'ouvrir, limite tu baisses ta tête pour regarder le sol, essayant de ne pas tomber par terre. Ses doigts masculins contre ton menton, remontant le visage pour que tu puisses le regarder, plongeant tes océans dans les siens. Non j'veux plus qu'ça Vadim... j'veux qu'tu m'dises que j'suis pas une pauvre fille que t'as baisé, j'veux qu'tu m'dises plus que ça... voilà que tu parlais à coeur ouvert. @Vadim Kuznetzov
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“ luxure ”
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Il fronce les sourcils. Vadim ne lui doit rien. Il ne lui a jamais mentit, mais il est toujours secret en ce qui concerne l'homme qu'il est.Tu voulais que j'te dise quoi ? Je tue des gens de temps en temps ? Cynisme dans la voix. Colère aussi. Les reproches il ne les accepte pas. Il ne lui a rien promis. Il l'a protégé. Qu'est-ce qu'elle veut de plus ? Elle est partit. Elle a fuit. Comme une putain de lâche. Tu t'es barrée. C'est comme ça que t'affrontes tes problèmes Iris ? En dégageant ? Il voudrait frapper dans quelque chose. Mais il ne peut pas. Rester maître de lui-même est une priorité. Important. Mais ce n'est pas l'envie qui lui manque d'écraser son poing pour se défouler. Des pulsions qu'il refreine, pour ne pas lui faire peur une fois de plus.
Il n'a pas de coeur. Il ne veut pas entendre parler de coeur. Il ne sait pas ce qu'elle a vu en lui, ce qu'elle pense avoir découvert, mais elle se trompe. Il n'est pas quelqu'un de bien et ne le sera jamais. Je n'ai pas fais quelque chose de mal Iris. C'est mon fonctionnement. Ma vie. C'est comme ça que j'agis. Ce n'est pas la première fois, ça ne sera pas la dernière. Il n'agit pas "mal", il agit selon son mode de vie. Vadim est tranché dans ses idées, dans ses façons de faire, et ça ne changera jamais. Il est né dans la mafia et rendra la vie en tant que mafieux, il n'aspire pas à changer de vie et n'en a pas envie de toutes façons. Je ne sais pas ce que tu as aperçu, ce que tu penses avoir vu. Mais je n'ai pas de coeur Iris, ce n'est pas avec ça que je réfléchis en tout cas. Il a aimé Vadim. De tout son être. Mais sa femme est morte. Et il n'a pas pu la sauver. Il n'a pas pu la garder prés de lui pour l'éternité.
Et elle voudrait quoi ?
Qu'il se dévoile ?
Qu'il ressente un battement dans sa cage thoracique ?
Les battements, il les étouffe.
Les tuent.
Les fracassent.
Au diable le sentimentalisme.
Elle baisse le regard mais il pose ses doigts sous son menton. Il cherche à capter son regard. Il ne veut pas qu'elle baisse les yeux. Elle a entamé cette discussion, qu'elle l'assume jusqu'au bout. Qu'elle assume d'être partit aussi.Tu n'es pas qu'une simple baise. C'est ça qu'elle voulait savoir. Je pensais que tu l'savais. Je te l'ai dis, je n'héberge pas les femmes chez moi normalement. Il souffle un instant. Je ne tue pas pour elles non plus. alors qu'elle arrête ces conneries tout de suite. C'est bon ? On peut partir de là maintenant ? Avant qu'il n'aille buter quelqu'un ici.

 


( C ) NOCTEM


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Disons que la seule chose qu'il osait dire, c'est de mentionner qu'il tuait des gens, sans doute des mauvaises personnes ou quelques personnes qui lui devaient de l'argent, bref ça ne te regarde pas et ta curiosité jouait gros. Peut-être que les choses se seraient mieux passées ! ça aurait été un énorme problème sauf que tu ne l'aurais sans doute pas fuit. Soudainement alors qu'il vient à observer Vadim qui se trouvait en face de toi, il mentionnait que tu étais rien qu'une lâche, elle qui a osé s'en aller de son immeuble après avoir su qu'il a tué ton ex. Tu viens a froncer le regard, le regardant encore plus dans les prunelles. Quoi, tu aurais préféré que j'fasse comme si de rien était ? J'te rappelle que c'pas à tout les jours que j'vois un presque cadavre devant moi. Disons que tu avais été mise au courant, sans doute que tu aurais eu la vérité sur ce qu'il faisait réellement dans la vie. Vadim a toujours eu ce petit côté badboy qui te faisait autant de l'effet, toi qui n'avait jamais réellement tombée dans les sentiments avec un homme depuis que tu avais eu ce pépin avec ton ex. T'allais pas commencer à tomber dans des phrases redondantes qui n'avaient rien à voir avec ce que tu as vécu, maintenant tu voulais essayer de garder la tête haute en face de Vadim. Il se voile encore la figure, toi qui vient à plonger tes océans dans ceux du beau brun, tu restes sans bouger, toi qui essayait par tous les moyens de ne pas tomber dans un enfer qui te ferait du mal. Maintenant tu essayais de lui faire face, toi qui roules les yeux pendant la même occasion. Cesse de te voiler la figure Vadim, t'essaies de dire le contraire mais moi c'que j'ai vu de l'homme qui s'trouve en face de moi, c'pas celui qu'il pense être. t'allais pas l'emmerder plus que ça aussi, ses doigts qui relève encore ton visage, toi qui prend une longue inspiration, ayant vu cette bague autour de son cou, sans doute voilà pourquoi il agissait de la sorte avec toutes les femmes. Tu prends une longue inspiration en entendant toutes ces choses qu'il disait en ce moment, les battements de ton coeur devenant plus forts dans ta poitrine, c'est bien la première fois qu'il disait une chose pareil mais non, c'était pas tout. Non, c'pas tout. tu voulais savoir quelque chose, alors c'est pour cela que tu vient a plaquer tes lippes contre les siennes, tes mains qui se posent contre son visage lentement. @Vadim Kuznetzov
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“ luxure ”
ft.    @Iris Carstairs    

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Il serre les dents. Se fait violence pour se retenir de lui gueuler dessus. Il ne lui répond pas, il ne lui doit rien, n'a rien à lui dire non plus. Il fait ce qu'il veut. C'est tout. Elle a été lâche. Elle s'est barrée, alors qu'il a fait ça pour elle. Dans le monde Vadim c'est normal. naturel. On règle ses comptes de cette façon là. Avec les poings. Les armes. Et le sang. Elle plonge dans son regard, elle attend de lui quelques choses. Des mots. Des émotions. Vadim déteste ça. Il ne veut pas en entendre parler. Il n'est pas là pour ça non plus. Il a aimé une femme de tout son être. Mais elle est morte. C'est trop tard. Il ne pourra plus ressentir ça. Son palpitant est crevé, désabusé. Coeur réduit en cendre par la mort, par la douleur et l'anéantissement. Tu ne me connais pas Iris. Tu ne sais rien de moi. ne me fais pas croire que tu vois quelque chose, tu t'es barrée parce que t'as eu peur. Alors arrête. Arrête ça tout de suite. Il gronde. Encore. Il ne veut pas l'entendre.
Ce visage qu'il relève, pour lui faire entendre ce qu'il a à lui dire. Lui faire comprendre aussi. Ce n'est pas tout. Il fronce les sourcils, ne comprend pas de suite ce qu'elle veut dire. C'est quand elle s'approche de lui pour plaquer ses lèvres contre les siennes qu'il se détend un peu, retirant ses doigts de son menton pour venir les glisser dans ses cheveux blonds. Iris pose ses mains contre son visage et il approfondit leur baiser, glissant sa langue contre la sienne. Ils se cassent maintenant, il ne veut pas rester ici plus longtemps. Il retire ses lèvres des siennes et fait signe à ses hommes d'aller chercher la voiture. Je te ramène chez toi. Il souffle finalement, en l'entraînant à l'extérieur du club. Il connaît son adresse, il est déjà venu la chercher quand elle avait besoin de lui.



 


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De voir le regard qu'osait te faire Vadim, tu sais qu'il avait envie de hausser le ton et de t'engueuler comme pas possible, de te voir dans un tel état ça n'a réellement pas aidé en ce moment. Maintenant tu voulais essayer de garder la tête hors de l'eau, de ne pas non plus tomber dans les vapes, vu que tu avais bu beaucoup trop d'alcool. Vadim tu sais qu'il ne faisait pas dans la légalité, qu'il avait ce petit quelque chose dont il ne t'avais jamais réellement révélé, sauf que de le voir dans une telle situation fait en sorte que tu n'avais pas peur, il ne te ferait jamais mal et tu le sais. Certaines personnes pourraient croire que c'est l'inverse, que quelque chose pouvait se passer sauf que c'est pas le cas, t'allais pas laisser quelqu'un qui allait dire quelque chose qui ne le regardait pas. Tu habitais chez Seo, tu ne l'as pas vu pendant près d'un mois mais il vivait sa vie comme il l'entendais, toi qui essayait d'oublier Vadim sauf que c'est pas facile, t'arrivais pas à l'oublier. Le beau brun voulait tout faire pour que tu puisses oublier tes propres pensées, que tu arrives a le jeter aussi. Impossible. dis-tu en le regardant droit dans les yeux, toi qui avais de la difficulté à rester sur tes jambes, toute droite sauf que tu voulais sentir quelque chose, ces sentiments que tu avais essayé de voiler et pourtant tu voulais le voir agir, réagir. Ses doigts se posant contre ton menton, ta tête qui se redresse tout doucement et voilà que tu sentais ton coeur battre encore plus la chamade, t'en frémissait surtout. T'approches ton visage du sien, avant de plaquer tes lippes contre celles de Vadim, tu fondais de plus en plus, comme si tout le monde tout autour de vous deux disparaissaient en un claquement de doigts. Vous n'étiez que tous les deux, surtout quand il approfondissait le baiser, posant sa main contre tes cheveux blonds et voilà que tu te presses un peu plus contre lui. Le temps passe beaucoup trop vite, jusqu'à ce qu'il vient a te dire que vous alliez quitter pour vous rendre chez toi. Tu N'avais pas envie de le dire à Vadim, que tu avais été habité chez Seo le temps d'un mois, c'est pourquoi tu te disais que le mieux serait de retourner chez toi. D'accord. sortant ainsi dehors, tu viens a rester auprès de lui. Reste avec moi ce soir Vadim. tu ne sais pas s'il allait accepter ou pas. @Vadim Kuznetzov
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“ luxure ”
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Elle a beaucoup trop bu. Un état qui le fait grogner. Animal qui gronde, qui se met en colère, qui la bouscule elle et ses certitudes. Non, il n'est pas quelqu'un de bien, et il ne veut pas qu'il la voit comme si il était quelqu'un de grand. Un homme bien. Il ne l'est pas. Il va la ramener chez elle et disparaître dans la nuit, comme il le fait toujours. Cet incident lui aura fait ouvrir les yeux, aider à se rendre compte qu'ils ne font pas partit du même monde tous les deux. Elle ne peut pas continuer à le côtoyer. Les lèvres de la blonde se pose contre les siennes, baiser qu'il approfondit, caressant sa langue de la sienne, glissant ses doigts dans ses cheveux blonds. Baiser ardent, brûlant, mais qu'il rompt tout aussi rapidement. Reculant d'un pas, se soustrayant à ses mains et ses lèvres, regard sombre planté dans le sien. Ils sortent de cet endroit, et elle le suit docilement. Il n'a pas besoin de batailler pour une fois. Une voiture qui est là et dans laquelle il l'incite à monter, gardant le regard rivé sur la route. Le silence s'installe dans la voiture et les rues deviennent de moins en moins nombreuse jusqu'à arriver devant l'immeuble de la blonde. Regard sombre qu'il tourne vers elle, mauvaise décision au bout des lèvres. Seulement ce soir. C'est un goût d'adieu. Ou quelque chose qui y ressemble. Il sort de la voiture et monte les étages en la tenant par le bras pour qu'elle ne tombe pas. Elle a beaucoup trop bu. Elle va sans doute passer sa nuit à décuvée, et il va jouer les baby sitter. Mais étrangement la laisser seule dans cet état ne lui convient pas.

 


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L'alcool coule à flot dans tes veines, tu pouvais sentir l'amertumes dans tes entrailles, ce sentiment d'avoir été laissée à toi-même, sombrant dans un trou sombre, ne sachant pas quand tu pourrais lever la tête hors de l'eau. C'est difficile pour toi de devoir rester loin de tout ça, loin de lui, ces putains de sentiments que tu voulais taire mais qui t'ont rongés de l'intérieur, t'en as marre de devoir garder tout ça. Vous êtes différents tous les deux, combien de fois tu t'étais dis de ne pas continuer ce genre de relation, de ne pas encore tomber dans ses bras alors qu'on t'avais dis de faire attention, pourtant t'as jamais écouté personne, petite emmerdeuse de première. Tu voulais essayer de te rendre à l'évidence, qu'il pouvait éprouver la même chose pour toi et ce même s'il ne voulait pas l'admettre, sauf que c'était une partie difficile à devoir jouer. De sentir ses lèvres se poser contre les siennes, cette main contre tes cheveux ébènes, frisson parcourant ton corps tout entier, ne réclamant que lui. Il pouvait sentir les battements de ton coeur dans ta poitrine, ce souffle court et qui pourtant, donnait un baiser si simple, rempli de désir sur cette piste de danse. Tu sais qu'il t'en veux, de t'être retrouvée dans cette situation, de le mettre à cran, un message qui s'apparentait à un message de à l'aide. Tu le voulais que pour toi ce soir, cette nuit ou même quitte à le prendre tous les autres jours, tu gardais cette réflexion pour ta petite personne, ne voulant pas qu'on puisse t'enlever ces rêves, ceux qui t'ont marqués à tout jamais. Tu te maudissais d'avoir quitté son immeuble, de prendre tes jambes à ton cou pour t'enfuir face à l'image de ton ex, au bout de son sang. Tes jambes ayant de la difficulté à avancer, il te tenait contre lui, marchant vers la voiture, prenant place sur ce siège. Tu voulais qu'il reste pour ce soir, réponse rapide et simple, ta tête qui se retourne vers lui, ne protestant aucunement ce qu'il vient de dire. Le chemin arriva à sa destination, venant à t'aider pour que tu puisses monter les quelques marches, atteignant ton appartement, sortant avec du mal tes clés et de déverrouiller la porte. Il n'a pas eu le temps de passer le seuil de la porte, que tu viens à agripper ses lèvres, enroulant tes bras autour de son cou afin de te tenir contre lui, ne pensant plus à rien, baiser sauvage, rien de sensuel et pourtant t'avais envie de lui, combien de fois, ton corps avait réclamé cet homme depuis que tu avais quitté son monde...  @Vadim Kuznetzov
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(( luxure ))

La ramener chez elle, pur disparaître.
Laisser l'obscurité l'engloutir, oublier le passage de cette petite brune dans son existence. Fuyarde, lâche, tant de mots grondant au creux de ses entrailles, Iris ne mérite pas un de ses regards, elle ne mérite pas qu'il respire le même air qu'elle. Rancune tenace, esprit dont il ne se défait pas. Mais les lèvres de la brune se pose sur les siennes, s'y accrochent, et ses mains ne la repousse pas, bien au contraire. Ses doigts se posent contre ses hanches, corps qu'il ramène contre le sien, folie passagère qui commence à s'inscrire dans le temps. Petite brune, incandescente, qui passe son temps à le provoquer, à donner de la voix, à crier. S'époumoner pour se faire entendre. Vadim l'entend. Constamment. Bien trop présent dans sa vie pour que ce soit anodin.
Juste pour ce soir. C'est la seule promesse qu'il fera. Comme un écho dans la nuit, comme un soupir dans l'âme, Vadim la laisse ouvrir la porte de chez elle, tenter de trouver la clé pour pouvoir le laisser entrer. Regard qui se perd, qui glisse et s'accroche, Iris monopolise son attention, ses pensées les plus sombres. Il referme d'un geste brusque la porte derrière lui, colère qui n'est jamais trop loin, qui l'incite à la pousser contre le mur derrière elle, l'emprisonner de ses mains entre le mur et son corps. T'as aimé danser avec ce mec ? Billes brunes s'accrochant aux siennes. J'aurais du te laisser avec ce gars, t'avais l'air accroché à ses lèvres. Hargne pour se protéger, corps se décalant légèrement du sien, doigts passant nerveusement contre ses cheveux bruns. Courts. Colère dirigée contre elle, plus facile à gérer que la passion qu'elle pourrait faire naître.



FT   @Iris Carstairs  - Code by Midnight shadow


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Jeune femme aimant le danger, voici la description pouvant le mieux te décrire, te dire qui était Iris Carstairs, le moineau noir de la famille, loin d'être cette petite princesse déchue qu'était ta soeur, tu laissais cette partie de ta vie, voguer en d'autres cieux. Tu n'a pas envie de t'éterniser dans ces problèmes, quelque chose faisant partie de toi, de cette soeur jumelle qui a été lâche en quittant ses problèmes, tout comme tu l'avais été en quittant l'immeuble de Vadim. T'aurais pû devenir cette femme sans coeur, arborant un fière sourire à la vue de cet homme qui t'as maltraité, qui t'as jeté par terre tel un déchet, te prenant tel un animal à la boucherie. Cet homme encrant tes pensées, était bel et bien présent en face de toi, te maudissant sans doute d'avoir quitté son royaume, cette peur au ventre de tombe dans un cercle infernal, de ne pas vouloir essayer autre chose que de s'enfuir, de ne pas vouloir lui laisser une chance de s'expliquer. Il s'était ouvert à toi, bien qu'il ne veuille admettre qu'avec ta personne, il pouvait paraître différent, se voilant la face et ne voulant rien avouer de ce qu'il ressentait. Pourquoi lui en vouloir de n'être que lui ? Tes lèvres emprisonnant les siennes, le coeur bruyant dans ta poitrine, cette chaleur venant de surmonter des vents et marées. Tu te laissais guidée, aller dans toutes ces gammes d'émotions, n'étant qu'à lui ce soir et personne d'autre. L'esprit totalement ailleurs face à l'alcool qui coulait à flot dans tes veines, l'espoir de renaitre une bonne fois pour toute, d'être celle que tu es en la présence de Vadim. La porte claquant derrière lui, ses mains te repoussant sans légèreté contre le mur se trouvant contre ton dos, tu frémissais, t'en voulais plus, tu voulais l'entendre grogner, qu'il te touche comme il en avait l'habitude. Étant prise au piège, ses mains se posant tout près de ton corps. Ses pupilles dilatées, avide de rage, pensant à cet homme qui avait osé te toucher, t'embrasser et tu avais ce léger sourire, le cherchant par la même occasion, jouant le jeu. Ça s'pourrait bien, ouais. tu te fiches des conséquences, Vadim ayant vu de nombreuses montagnes russes avec toi, tu voulais qu'il entre dans ton jeu, qu'il te punisse. Quoi, parce que si tu m'avais laissé l'embrassé... le toucher... t'aurais aimé ça ? l'une de tes mains se pose délicatement contre son torse, tu viens à approcher ton visage de son lobe d'oreille, pour qu'il t'entendes murmurer. Tu l'aurais sincèrement laissé m'toucher ou même... s'faufiler entre mes cuisses ? c'est ça que tu aurais aimé Vadim ? tu voulais le faire bouillir, esquissant un sourire presque contente de c'que tu venais de faire, gardant cette voix sensuelle et ton corps se presque légèrement contre celui du russe.  @Vadim Kuznetzov
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(( luxure ))

Soirée qui ne devrait pas se terminer de cette façon, jolie brune qu'il devrait laisser sur le perron. Vadim n'y arrive pas, pas quand elle pose ses lèvres sur les siennes et que la passion vient s'en mêler. Corps qu'il a déjà goûter, mais qu'il veut encore sentir sous ses doigts. Sous ses lèvres. Lèvres qui s'accrochent, se cherchent. Porte qui se referme et corps qu'il pousse contre le mur derrière elle, passion qui lui donne envie de venir s'abattre contre son corps , comme un ras de marrée, comme une vague incandescente. Colère qui irradie, mots qui viennent envelopper et envenimer l'instant. Toxicité de son être qui s'exprime quand il est prés d'elle. Provocation qu'elle lui lance, sourire carnassier qui vient s'inscrire sur les lèvres de la brune ,percutant la colère qui sommeille en lui et ne demande qu'à exploser. Qu'à s'exprimer. Pupilles qui se dilatent, yeux sombre qui s'accrochent aux siens. Visage qui s'approche de son oreille, qui vient murmurer d'ultime provocation, attendant une réaction de sa part. Réaction qui ne se fait pas attendre quand sa main attrape sa nuque et que la dureté de son regard se glisse dans le sien. Peut être ouais. Peut être que j'aurais du te laisser là bas et trouver une ou deux filles pour la soirée. Et ça n'aurait pas été la première fois. Son tour d'inverser la tendance, de provoquer la colère de la brune, l'insolence s'inscrivant sur le visage de Vadim pour ne pas lui donner le plaisir de lui céder tout de suite. Pour s'empêcher de la consumer de sa rage.
Lèvres qui s'appuient contre son cou, parfum délicat qu'il connaît par coeur, ses dents mordillent sa peau, cherche le contact, proximité de leurs corps qui ne demandent qu'à se retrouver, mais pas tout de suite.
Elle ne le mérite pas. Vadim fait durer l'instant, la frustration accrochée au corps, refusant de lui donner ce qu'elle attend, ses lèvres descendant à la naissance de sa poitrine.Mais si cet homme te fait vibrer, je t'en prie, retournes y. Contact qui cesse, Vadim recule de quelques pas, provocation sur ses lèvres. Elle peut sortir le rejoindre, si elle le désire. Il enchaînera sa jalousie, test ultime. Petite brune qui pourrait lui échapper, ou au contraire venir s'accrocher à lui.


FT   @Iris Carstairs  - Code by Midnight shadow


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