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la part des lions (oz)
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(( la part des lions ))
Polyna détourne un peu le regard.
Il lui plaît, comme il plaît à tout le monde en réalité, elle ne doute pas qu'Oz est capable de charmer son monde. Son regard est transperçant, il est beau. Une beauté fascinante, envoûtante, l'encre de sa peau l'attirant malgré elle, malgré les convenances et cette différence d'âge installée entre eux. Il faudrait être aveugle pour ne pas te trouver attirant Oz. elle fait semblant de le prendre avec légèrement, mais c'est en réalité une tempête qui s'agite en elle.
Polyna joue sur les mots pour déjouer les pièges qu'il pourrait lui tendre, de façon mutine, elle s'amuse légèrement de cette situation entre eux. Voguant entre l'envie de s'approcher et sa raison qui lui souffle de s'arrêter.
Est-ce qu'elle va bien ? Non. Bien sûre que non. Mais ce sont ses ennuis, et elle doit faire avec. Sans réellement avoir le choix. Elle met ça sur le compte de la fatigue, ne voulant pas briser l'image qu'il a d'elle, celui d'une petite pâtissière, sans histoires. Ou presque. Elle ferme les yeux un instant, blottit contre lui, appréciant la chaleur de ses bras l'entourant. Elle se sent bien à cet instant, ses doigts glissant contre les cheveux brun d'Oz, frissonnant au contact de ses baisers contre son cou. Frisson qui s'étend sur sa peau, un instant. Je risque de ne plus te laisser repartir tu sais ? L'humour qui revient, pour masquer son trouble. Elle relève un peu son visage vers le sien, regard bleus se perdant dans ceux du brun, proximité retrouvée, mais de nouveau écartée. Je vais me doucher ! Choisis un film en attendant. Elle recule rapidement pour aller dans la salle de bain, le coeur battant, légère chaleur au creux de son corps, ignorant les pulsations cardiaques de son palpitant. Eau qu'elle fait couler dans la baignoire et vêtements qu'elle retire, l'eau chaude détend ses muscles quand elle s'étend dans la baignoire, soupirant d'aise.
Douleurs dans son corps, dans ses articulations endolories, fermant les yeux un instant. Oubliant sans doute de les rouvrir quand elle s'assoupit dans l'eau chaude, laissant la fatigue l'envahir. Porte légèrement entrouverte qu'elle a oublié de fermer derrière elle.
Il lui plaît, comme il plaît à tout le monde en réalité, elle ne doute pas qu'Oz est capable de charmer son monde. Son regard est transperçant, il est beau. Une beauté fascinante, envoûtante, l'encre de sa peau l'attirant malgré elle, malgré les convenances et cette différence d'âge installée entre eux. Il faudrait être aveugle pour ne pas te trouver attirant Oz. elle fait semblant de le prendre avec légèrement, mais c'est en réalité une tempête qui s'agite en elle.
Polyna joue sur les mots pour déjouer les pièges qu'il pourrait lui tendre, de façon mutine, elle s'amuse légèrement de cette situation entre eux. Voguant entre l'envie de s'approcher et sa raison qui lui souffle de s'arrêter.
Est-ce qu'elle va bien ? Non. Bien sûre que non. Mais ce sont ses ennuis, et elle doit faire avec. Sans réellement avoir le choix. Elle met ça sur le compte de la fatigue, ne voulant pas briser l'image qu'il a d'elle, celui d'une petite pâtissière, sans histoires. Ou presque. Elle ferme les yeux un instant, blottit contre lui, appréciant la chaleur de ses bras l'entourant. Elle se sent bien à cet instant, ses doigts glissant contre les cheveux brun d'Oz, frissonnant au contact de ses baisers contre son cou. Frisson qui s'étend sur sa peau, un instant. Je risque de ne plus te laisser repartir tu sais ? L'humour qui revient, pour masquer son trouble. Elle relève un peu son visage vers le sien, regard bleus se perdant dans ceux du brun, proximité retrouvée, mais de nouveau écartée. Je vais me doucher ! Choisis un film en attendant. Elle recule rapidement pour aller dans la salle de bain, le coeur battant, légère chaleur au creux de son corps, ignorant les pulsations cardiaques de son palpitant. Eau qu'elle fait couler dans la baignoire et vêtements qu'elle retire, l'eau chaude détend ses muscles quand elle s'étend dans la baignoire, soupirant d'aise.
Douleurs dans son corps, dans ses articulations endolories, fermant les yeux un instant. Oubliant sans doute de les rouvrir quand elle s'assoupit dans l'eau chaude, laissant la fatigue l'envahir. Porte légèrement entrouverte qu'elle a oublié de fermer derrière elle.
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La belle blonde avait du mal à soutenir ton regard, essayant parfois de le fuir. C'était sans doute pour essayer de garder son self contrôle. Peut-être qu'elle ne voulait pas craquer. C'est tout à son honneur. Ça ne faisait que t’attirer de plus en plus, la résistance qu’elle montré, il fallait un gros mental quand même. Pourtant, elle finit complètement à avouer son ressenti. Si c’est ta façon de me dire que je te plais, je prends. Mademoiselle avait généralisé la chose, mais tu n’étais pas dupe, ce n’était que mise en scène pour cacher sa véritable pensée. Tu lui plaisais, il n’y avait plus aucun doute.
Polyna jouait avec tes cheveux, une sensation que tu adores en générale. Ses doigts étaient tellement délicats avec ta chevelure, tu en profitas même pour fermer quelques secondes les yeux. Comme si cela permet de profiter encore plus du moment, du bien être procuré par les caresses de la jolie blonde. En tout honnête, tu ne voulais pas que ça s’arrête, du moins pas trop rapidement. On le sait tous, chaque bonne chose à une fin hélas. Et maitriser l’arrêt du temps, n’est pas dans tes cordes. Pourtant, le temps s’était arrêté quelques instants, avant de reprendre son cours, en cause la douce voix de Polyna, brisant de nouveau le silence. Une phrase, une perche peut-être, en tout cas tu savais que tu n’allais pas laisser passer cette ouverture, si cela en était bien une. Alors qu’est-ce que tu attends pour enfin me retenir ? Réponse du tac o tac, tu n’avais pas réfléchi à ta réponse. Elle était sortie toute seule, disons que ta pensée et ton ressenti ont parlé pour toi. Tu ne savais pas si Polyna avait dit cela comme ça, mais toi, tu t’en fichais, tu préférais être franc et plutôt direct.
S'en était trop pour la demoiselle, elle voulait maintenant rompre l’étreinte entre vous. La belle blonde avait une nouvelle excuse, son bain. Certes, ce n’était pas totalement une excuse car c’était quand même son programme. Son programme aurait pu attendre un peu à ton goût, tu aurais aimé profiter encre plus de cet instant. Malgré toi tu relâchas alors tes bras, laissant mademoiselle sortir de ton emprise. Lui en vouloir, tu ne pouvais pas, elle avait tellement l’air fatigué et mal, que c’était nécessaire pour elle. C'était son programme et tu le respecterais. C’est ta soirée, donc c’est toi qui choisis le film. Moi je tape juste l’incruste. En soit, c’était clairement le cas, tu t’étais un peu invité, et la demoiselle n’avait sans doute pas pu refuser de peur de te blesser. Ou alors une tout autre raison. J’attendrais la fin de ton bain, si j’y arrive. Compliqué pour toi, tu feras du mieux que tu peux.
Polyna dans la salle de bain, tu en profitas pour filer dans ta chambre et tirer quelques lattes sur ton joint, celui que tu avais laissé tout à l’heure dans le cendrier. C'était bien avant l’arrivée de la belle blonde. Tu laissas tranquille celle-ci pendant quelques minutes. Au bout d’un moment, le temps te parut très long, tu pensais même que c’était anormalement long. Décidé à savoir, tu te mis en chemin, direction la salle de bain. La porte était entre ouvert. Tu étais très loin de l’image d’un voyeur, pourtant tu ne put t’empêcher de regarder à travers la porte entrebâiller. Le spectacle que tu regardé était plutôt, alléchant. Pour la première fois tu voyais Polyna nue, et cela était loin de te déplaire. Tu te doutais de son corps mais le voir, c’était autre chose. Elle avait l’air assoupi, il ne fallait pas qu’il lui arrive quelque chose. Tu entras doucement dans la salle de bain et alla vers elle pour la réveiller. Polyna. Tu lui caressa le visage avant de détourner la tête, lui tendant une serviette. Pardon. tu ne voulais pas la rendre mal à l’aise.
(c) Dandelion
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Petit rire qui s'échappe de ses lèvres.
Peut être que c'est ce qu'elle insinue oui. Qu'il lui plaît. Mais se cacher derrières des généralités c'est bien plus simple. Plus facile. Ses doigts caresse ses cheveux avec douceur, tendresse, adorant la sensation de ses doigts dans ses mèches brune. L'envie de s'approcher un peu plus de lui est présente, ils ne sont pourtant pas assortis. Rien en commun. Elle est bien plus âgée que lui, quand la force de l'âge se dessine pour lui. Sa peau est immaculée de tout tatouage quand la sienne en est remplit. Ses yeux sont aussi clairs que les siens sont sombres, et pourtant le contraste de leurs peaux la fascine. L'appelle. Yeux qui s'attardent sur son visage, rompant le contact entre eux.
Qu'est-ce qu'elle attend ? Elle même ne le sait pas. C'est ce qu'il voudrait qu'elle fasse ? Qu'elle le retienne ? Des questions dans son regard, mais elle ne les pose pas. Méditant sur les paroles du brun, sur la sensation que ça crée en elle aussi. L'impression que la peau de son corps est plus chaude, il faut qu'elle recule et c'est ce qu'elle fait quand elle décide d'aller dans la salle de bain et qu'Oz part de son côté dans sa chambre.
La blonde se glisse dans l'eau, sent encore la sensation de ses cheveux contre ses doigts, la sensation de son regard dans le sien aussi. Polyna mordille sa lèvre, ferme les yeux un instant, s'endort sans avoir vu le sommeil arrivé. Combien de temps ? Suffisamment pour que l'eau devienne plus froide. C'est la voix d'Oz qui la réveille, ce sont ses doigts sur sa joue qui la ramène à elle. Qui l'incite à ouvrir les yeux et sortir du sommeil léger dans lequel elle s'était plongée. Regard qu'il détourne par respect pour elle et la blonde prend entre ses doigts la serviette qu'il lui tend. Merci. Elle se redresse dans la baignoire, enroulant son corps dans la serviette éponge. Je ne me suis pas rendu compte que je m'étais endormie. Enroulée dans la serviette, elle regarde le dos du brun, morceau de tissu ne cachant pas les tatouages qu'elle peut distinguer dans son dos. Polyna pose une main contre son épaule pour se maintenir et sortir sans glisser. Je suis restée là longtemps ? Ses doigts remontent de son épaule jusqu'à sa nuque, geste hypnotique, doigts s'attardant sur sa peau. Tu peux te retourner, je ne suis plus nue tu sais. Son regard bleu trouvant le sien, un sourire s'installe sur son visage, posant un baiser contre sa joue. Tu m'auras évité de me réveiller dans une eau froide. et elle ne peut nier que c'est agréable de vivre avec lui. Elle sort de la salle de bain, allant dans sa chambre pour enfiler un pyjama simple et le rejoindre dans le salon. Odeur de l'herbe glissée dans l'appartement, connaissant déjà le coupable. Joint qu'il fume souvent, mais sensation qui ne la gêne pas. Qu'est-ce que ça fait ? Elle demande finalement, en venant s'installer à côté de lui sur le canapé, prenant la télécommande pour chercher un film. De fumer. je n'ai jamais fais ça. Est-ce que les effets sont si agréables que ça?
Peut être que c'est ce qu'elle insinue oui. Qu'il lui plaît. Mais se cacher derrières des généralités c'est bien plus simple. Plus facile. Ses doigts caresse ses cheveux avec douceur, tendresse, adorant la sensation de ses doigts dans ses mèches brune. L'envie de s'approcher un peu plus de lui est présente, ils ne sont pourtant pas assortis. Rien en commun. Elle est bien plus âgée que lui, quand la force de l'âge se dessine pour lui. Sa peau est immaculée de tout tatouage quand la sienne en est remplit. Ses yeux sont aussi clairs que les siens sont sombres, et pourtant le contraste de leurs peaux la fascine. L'appelle. Yeux qui s'attardent sur son visage, rompant le contact entre eux.
Qu'est-ce qu'elle attend ? Elle même ne le sait pas. C'est ce qu'il voudrait qu'elle fasse ? Qu'elle le retienne ? Des questions dans son regard, mais elle ne les pose pas. Méditant sur les paroles du brun, sur la sensation que ça crée en elle aussi. L'impression que la peau de son corps est plus chaude, il faut qu'elle recule et c'est ce qu'elle fait quand elle décide d'aller dans la salle de bain et qu'Oz part de son côté dans sa chambre.
La blonde se glisse dans l'eau, sent encore la sensation de ses cheveux contre ses doigts, la sensation de son regard dans le sien aussi. Polyna mordille sa lèvre, ferme les yeux un instant, s'endort sans avoir vu le sommeil arrivé. Combien de temps ? Suffisamment pour que l'eau devienne plus froide. C'est la voix d'Oz qui la réveille, ce sont ses doigts sur sa joue qui la ramène à elle. Qui l'incite à ouvrir les yeux et sortir du sommeil léger dans lequel elle s'était plongée. Regard qu'il détourne par respect pour elle et la blonde prend entre ses doigts la serviette qu'il lui tend. Merci. Elle se redresse dans la baignoire, enroulant son corps dans la serviette éponge. Je ne me suis pas rendu compte que je m'étais endormie. Enroulée dans la serviette, elle regarde le dos du brun, morceau de tissu ne cachant pas les tatouages qu'elle peut distinguer dans son dos. Polyna pose une main contre son épaule pour se maintenir et sortir sans glisser. Je suis restée là longtemps ? Ses doigts remontent de son épaule jusqu'à sa nuque, geste hypnotique, doigts s'attardant sur sa peau. Tu peux te retourner, je ne suis plus nue tu sais. Son regard bleu trouvant le sien, un sourire s'installe sur son visage, posant un baiser contre sa joue. Tu m'auras évité de me réveiller dans une eau froide. et elle ne peut nier que c'est agréable de vivre avec lui. Elle sort de la salle de bain, allant dans sa chambre pour enfiler un pyjama simple et le rejoindre dans le salon. Odeur de l'herbe glissée dans l'appartement, connaissant déjà le coupable. Joint qu'il fume souvent, mais sensation qui ne la gêne pas. Qu'est-ce que ça fait ? Elle demande finalement, en venant s'installer à côté de lui sur le canapé, prenant la télécommande pour chercher un film. De fumer. je n'ai jamais fais ça. Est-ce que les effets sont si agréables que ça?
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Tu ne finis pas ta phrase, tu n’avais pas envie qu’elle soit mal à l’aise ou bien même carrément gênée. Le but ce n’était pas ça, le but s’était d’échanger, de communiquer, tu avais envie de plus encore la connaitre, tout savoir sur elle en soit. Certes tu savais déjà pas mal de chose, c’est quand même ta colocataire depuis un moment, mais tu ne savais pas assez de chose pour toi. Tu en voulais toujours plus et avec Polyna, c’était pareil, toujours plus. Tu voulais tout d’elle, clairement. Un bisou sur la joue, il n’en fallait pas plus pour toi. Et si tu goutais plutôt mes lèvres. Toujours très cash chez toi, c’est ce qui fait ton charme, ou pas. En tout cas, tu lui avais dit le fond de ta pensée, toi, nettement, tu avais envie de gouter les siennes. La jeune femme partie se mettre en pyjama, tu ne pouvais pas regarder la tv sans te fumer un joint, tu allas en prendre un que tu avais déjà roulé à l’avance, rejoignant à ton tour la belle blonde. Tu t’assis sur le canapé, bras posé sur le dossier. Polyna à côté de toi, télécommande en main. Question plutôt intéressante, est-ce que tu arriverais à lui faire comprendre. Disons que ça détend, tu planes un peu, t’es comment dire... Bien. Tes explications n’étaient pas si claires que ça, tu allumas alors ton joint, tira une taffe et le tendit à la blonde. Essaye et tu verras ? Large sourire sur le visage.
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Serviette qu'elle enroule autour de son corps, la blonde soupire. Elle n'avait pas sentit le sommeil la gagner, elle n'avait pas sentit la fatigue de la journée s'accumuler. La faute à son frère, une pensée qu'elle lui destine, la maligne aux yeux si clairs. Peut être que la situation ne pourra jamais s'arranger entre eux, Polyna ne sait plus, elle n'est plus certaine de grand chose. La blonde se maintient contre lui pour sortir de la baignoire, tenant fermement sa serviette de son autre main, sentant ses joues rosirent un peu.
Est-ce que ses pensées ont parlé pour elle ? Est-ce qu'elle a laissé échapper quelque chose ? Un son ? Un geste ? Polyna ne se fait pas confiance quand elle n'est pas en état de pleine confiance, celui-ci trahissant généralement des pensées plus intimes. Plus réelles. A la prochaine pâtisserie que j'allais confectionner demain. Mensonge éhonté. Elle devait sans doute penser à lui. Brun occupant la plupart de ses pensées. Mais Oz n'a pas besoin de le savoir, Polyna joue les innocentes pour ne pas se trahir. Pour ne pas souffler ce qu'elle pense réellement.
Elle lui tape sur l'épaule pour qu'ils se retournent, la blonde s'est couverte et fait face à un regard presque déçu en face d'elle. Un léger rire s'échappe de ses lèvres, secouant légèrement la tête. Ne fais pas cette tête, on dirait que je viens de blesser ton coeur. Un baiser qu'elle pose sur sa joue et un sourire qu'elle lui adresse, la blonde s'apprête à sortir de la salle de bain mais la voix d'Oz la retient. Le regard de Nana s'attarde sur ses lèvres, sur le physique plus qu'attirant du brun. Tatouage sur lesquels elle aurait envie de glisser ses doigts, lèvres qu'elle pourrait embrasser si elle en avait le courage. Si je t'embrassais tu ne pourrais plus imaginer le goûter de mes lèvres, ce serait dommage. Elle s'éclipse pour aller enfiler un pyjama, et le rejoindre dans le salon. Elle appuie sur les chaines de la télécommande, se demandant ce que ça fait de sentir cette fumée entrer dans ses poumons. Il ne saurait pas lui décrire, mais il lui tend son joint pour qu'elle puisse tirer dessus. Polyna hésite, un instant, se décidant finalement à tendre ses doigts pour le prendre. Je n'ai jamais fais ça. Comme si ça ne se voyait pas. Elle amène le joint à ses lèvres et tire une latte, inspirant la fumée, la laissant s'échapper de ses lèvres. Sensation de bien être qui l'envahit, l'impression que son corps est soudainement moins lourd. Elle lui rend son bien, et appuie sur un film, au hasard, ne se souciant pas vraiment du résumé pour venir poser sa tête contre son épaule, sourire sur ses lèvres, l'esprit planant. Le coeur hurlant. Pourquoi ce n'est pas toi qui vient m'embrasser ? Question qui s'échappe de ses lèvres. Si tu en as envie, tu n'as qu'à le faire. Joint qui aide à délier la langue, à s'ouvrir un peu plus à lui.
Est-ce que ses pensées ont parlé pour elle ? Est-ce qu'elle a laissé échapper quelque chose ? Un son ? Un geste ? Polyna ne se fait pas confiance quand elle n'est pas en état de pleine confiance, celui-ci trahissant généralement des pensées plus intimes. Plus réelles. A la prochaine pâtisserie que j'allais confectionner demain. Mensonge éhonté. Elle devait sans doute penser à lui. Brun occupant la plupart de ses pensées. Mais Oz n'a pas besoin de le savoir, Polyna joue les innocentes pour ne pas se trahir. Pour ne pas souffler ce qu'elle pense réellement.
Elle lui tape sur l'épaule pour qu'ils se retournent, la blonde s'est couverte et fait face à un regard presque déçu en face d'elle. Un léger rire s'échappe de ses lèvres, secouant légèrement la tête. Ne fais pas cette tête, on dirait que je viens de blesser ton coeur. Un baiser qu'elle pose sur sa joue et un sourire qu'elle lui adresse, la blonde s'apprête à sortir de la salle de bain mais la voix d'Oz la retient. Le regard de Nana s'attarde sur ses lèvres, sur le physique plus qu'attirant du brun. Tatouage sur lesquels elle aurait envie de glisser ses doigts, lèvres qu'elle pourrait embrasser si elle en avait le courage. Si je t'embrassais tu ne pourrais plus imaginer le goûter de mes lèvres, ce serait dommage. Elle s'éclipse pour aller enfiler un pyjama, et le rejoindre dans le salon. Elle appuie sur les chaines de la télécommande, se demandant ce que ça fait de sentir cette fumée entrer dans ses poumons. Il ne saurait pas lui décrire, mais il lui tend son joint pour qu'elle puisse tirer dessus. Polyna hésite, un instant, se décidant finalement à tendre ses doigts pour le prendre. Je n'ai jamais fais ça. Comme si ça ne se voyait pas. Elle amène le joint à ses lèvres et tire une latte, inspirant la fumée, la laissant s'échapper de ses lèvres. Sensation de bien être qui l'envahit, l'impression que son corps est soudainement moins lourd. Elle lui rend son bien, et appuie sur un film, au hasard, ne se souciant pas vraiment du résumé pour venir poser sa tête contre son épaule, sourire sur ses lèvres, l'esprit planant. Le coeur hurlant. Pourquoi ce n'est pas toi qui vient m'embrasser ? Question qui s'échappe de ses lèvres. Si tu en as envie, tu n'as qu'à le faire. Joint qui aide à délier la langue, à s'ouvrir un peu plus à lui.
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S'il savait.
Elle ment tout le temps. Polyna ment au monde entiers.
Elle ment quand elle se fait passer pour une gentille pâtissière alors qu'elle deale la nuit.
Elle ment quand elle prétend être douce alors qu'elle a beaucoup de colère en elle. Ses sourires factices pour masquer l'horreur d'un passé tourmenté. Elle ment quand elle repousse Oz alors qu'au fond elle n'attend que ça, la sensation de ses lèvres contre les siennes. Le désir est là, bien présent, mais elle refuse d'y céder, ça pourrait tout compliquer. Elle ne veut pas se leurrer, Polyna n'a pas le même âge que lui, elle n'est pas dans la fleur de l'âge, des problèmes jusqu'au cou, ce serait de la folie. Mais la raison n'a jamais été son point fort. ça pourrait tout compliquer. C'est une partie de la vérité, une toute petite partie. La blonde ne peut pas s'empêcher de rire légèrement, toujours le mot pour la faire sourire, délaissant sa moue triste pour un sourire plus communicatif. Peut-être que tu n'aimerais pas. Elle souffle finalement en glissant son regard bleu dans le sien. Peut-être que j'embrasse mal. Elle hausse un peu les épaules, une façon détournée de lui enlever cette idée de la tête.
Pyjama enfilé, elle le rejoint sur le canapé, regardant ce qu'il tient entre ses mains. Elle n'arrête pas de se demander ce que ça fait, quelles sensations ça peut procurer. Elle l'accepte quand il lui tend, elle tire dessus pour respirer la fumer, pour tenter de comprendre pourquoi il fume ça à longueur de temps. Elle n'est pas idiote Nana, elle sent l'odeur de l'herbe flotter dans l'appartement. Elle voit ses joints traîner parfois dans l'appartement. Le bien être s'installe, lentement, et la désinhibe suffisamment pour revenir à ce baiser qu'ils n'ont toujours pas échangé.
Elle est surprise. Réellement. Toi ? Tu as peur que je te repousse ? Elle ne pensait pas qu'Oz pouvait avoir peur de quelque chose. Elle le voit toujours si solide et si fort, une image faussée dans l'esprit de la poupée, mais elle ne pensait pas qu'il pouvait craindre ses réactions. Elle lève doucement ses doigts pour les poser contre sa nuque avec délicatesse, et il vient rompre cette distance en l'embrassant. Explosion des sens quand les lèvres se rencontrent, quand sa langue caresse la sienne et que la blonde se redresse un peu, plongeant ses doigts dans ses cheveux sombres. Baiser pressant et envieux, envie non dissimulée maintenant que les lèvres se sont trouvés. Le souffle court, elle le regarde, joues légèrement rougies par cette sensation de chaleur. Est-ce que c'était nul ? Est-ce qu'elle embrasse mal ? Parce qu'Oz embrasse vraiment bien. La sensation d'être une adolescente alors que Polyna a déjà plus de quarante ans.
La faute à l'herbe.
Ou au brun en face d'elle.
Elle ment tout le temps. Polyna ment au monde entiers.
Elle ment quand elle se fait passer pour une gentille pâtissière alors qu'elle deale la nuit.
Elle ment quand elle prétend être douce alors qu'elle a beaucoup de colère en elle. Ses sourires factices pour masquer l'horreur d'un passé tourmenté. Elle ment quand elle repousse Oz alors qu'au fond elle n'attend que ça, la sensation de ses lèvres contre les siennes. Le désir est là, bien présent, mais elle refuse d'y céder, ça pourrait tout compliquer. Elle ne veut pas se leurrer, Polyna n'a pas le même âge que lui, elle n'est pas dans la fleur de l'âge, des problèmes jusqu'au cou, ce serait de la folie. Mais la raison n'a jamais été son point fort. ça pourrait tout compliquer. C'est une partie de la vérité, une toute petite partie. La blonde ne peut pas s'empêcher de rire légèrement, toujours le mot pour la faire sourire, délaissant sa moue triste pour un sourire plus communicatif. Peut-être que tu n'aimerais pas. Elle souffle finalement en glissant son regard bleu dans le sien. Peut-être que j'embrasse mal. Elle hausse un peu les épaules, une façon détournée de lui enlever cette idée de la tête.
Pyjama enfilé, elle le rejoint sur le canapé, regardant ce qu'il tient entre ses mains. Elle n'arrête pas de se demander ce que ça fait, quelles sensations ça peut procurer. Elle l'accepte quand il lui tend, elle tire dessus pour respirer la fumer, pour tenter de comprendre pourquoi il fume ça à longueur de temps. Elle n'est pas idiote Nana, elle sent l'odeur de l'herbe flotter dans l'appartement. Elle voit ses joints traîner parfois dans l'appartement. Le bien être s'installe, lentement, et la désinhibe suffisamment pour revenir à ce baiser qu'ils n'ont toujours pas échangé.
Elle est surprise. Réellement. Toi ? Tu as peur que je te repousse ? Elle ne pensait pas qu'Oz pouvait avoir peur de quelque chose. Elle le voit toujours si solide et si fort, une image faussée dans l'esprit de la poupée, mais elle ne pensait pas qu'il pouvait craindre ses réactions. Elle lève doucement ses doigts pour les poser contre sa nuque avec délicatesse, et il vient rompre cette distance en l'embrassant. Explosion des sens quand les lèvres se rencontrent, quand sa langue caresse la sienne et que la blonde se redresse un peu, plongeant ses doigts dans ses cheveux sombres. Baiser pressant et envieux, envie non dissimulée maintenant que les lèvres se sont trouvés. Le souffle court, elle le regarde, joues légèrement rougies par cette sensation de chaleur. Est-ce que c'était nul ? Est-ce qu'elle embrasse mal ? Parce qu'Oz embrasse vraiment bien. La sensation d'être une adolescente alors que Polyna a déjà plus de quarante ans.
La faute à l'herbe.
Ou au brun en face d'elle.
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