wes # killing me softly with his song

Sam 23 Sep 2023 - 19:29

wesley hawkins
how's the castle built off people you pretend to care about?
:copyright: olivia rodrigo/vampire
TW : violences parentales, alcool.

never trust or love a wild thing.

âge ~ vingt-six piges à froncer les sourcils, à se mordre l'intérieur des joues, squelette qui aurait pu se violacer de toutes les explosions emmagasinées, mais non, vingt-six piges à gueuler, à te plaindre, à ne jamais reculer. date et lieu de naissance ~ 27 janvier 97, quelques heures après ta soeur ont su faire passer le soleil de minuit. t'aurais bien aimé avoir tes propres anniversaires, des fêtes grandioses, et lui laisser sa journée à elle ; mais non, jumeaux fusionnels aux cadeaux combinés. t'as soufflé pour la première fois ta bougie tout seul à l'orée de la vingtaine, et tu t'es rendu compte que ça manquait sacrément de son souffle à elle. nationalité ~ américain, racines pourries, arbre nécrosé, mais t'es obligé de pas en vouloir à ce pays qui t'a tout apporté, jusqu'aux mots pour toujours plus les envoyer péter. métier ~ années d'études écoulées, t'as délaissé les vieux sweats pour réviser, tu portes maintenant le parfait attirail, la belle robe pour mieux prêcher. spécialisé dans le droit des familles, tu vois des gens se déchirer, et ça te rappellerait presque ton enfance ; comme l'odeur des brioches brûlées. orientation sexuelle ~ qu'elle est longue, cette question ! tu t'es jamais vraiment caché de ton statut de navire : bateau sordide, t'es passé de mer en mer, tu t'es perdu quelques fois près d'océans tumultueux, et avec le temps t'as commencé à caresser autant de pirate que de sirènes. pourtant, tu te mets pas d'étiquettes ; non, juste tu kiffes. le seul tourbillon qui aurait pu t'emporter a des yeux bruns, a la peau odeur vanille, c'est des petits détails, mais elle a filé, ton étoile, supernova fugueuse. statut civil ~ hahahaha. la bonne blague ; célibataire, évidemment, puisque tu passes de plumard en plumard, revenant indéniablement au tien quand t'as atteint l'osmose. t'admires la constance de ta soeur, mais des fois tu te demandes quand même si elle s'emmerde pas depuis des années. statut monétaire ~ golden age, un des petits princes de la grande Pomme, le compte est aussi fleuri qu'aurait dû l'être le jardin au-dessus de ta chambre ; les buissons ont fané, mais les chèques demeurent. t'es très aisé, c'est le mot ; merde aussi, c'est le mot, tu le dis souvent, et ça fait gueuler ta vieille nourrice quand tu le lui glisses entre deux viennoiseries. groupe ~ child of the earth

all night long slow down the song

( ( ( WES SIDE STORY
l'coeur dans l'béton
à moins que ce soit l'inverse
gravé en New York City, même au coeur des averses

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psychanalysé, les jambes en éventail sur le divan, velours bleuté qui fait écho au denim. t'aimes pas ce jean, Wes, t'aimes pas ce putain de jean. tu te l'es dit ce matin, en te matant dans ton psyché, tu te l'es dit ce midi en passant devant une vitrine trop propre - pourquoi ils sont obligés de les faire rutiler ? t'aimes pas sa coupe, t'aimes pas sa braguette en boutons, t'aimes pas non plus sa couleur. trop délavée, et trop vif en même temps. t'aimes les paradoxes, pas vrai, Wes ? t'adores ça. surtout si ça titille, surtout si ça pique. t'es comme une belle rose, mais dont on aurait arraché les pétales veloutés un par un. chute de rosée, goutte après goutte, carmin après carmin. et puis à la fin, il reste que les épines, et j'suis même sûr qu'avec toi les épines sourient. elles sont ravies de piquer, elles sont ravies d'agacer.
"ben non, si c'est un con." tu hausses les épaules, t'as la clavicule bien tracée à force. heureusement que t'es pas Atlas, la voûte se serait effondrée depuis longtemps sinon. des siècles de cieux déchirés, à grands renforts d'une fausse indifférence. parce que t'as toujours aimé la géométrie, la symétrie, toutes ces sciences exactes. toi, t'es un carré ; un carré qui ne fonctionne toujours que quand le monde avance en son sens. on t'a souvent traité de gosse de riche, de gamin capricieux, ça t'a fait jurer, te parjurer, les injurier. et puis à force, t'as appris à t'en foutre. on t'appelait pourri-gâté, tu les gâtaient de mille insultes gâtées. et ça passait, parce que t'avais le sourire comme outil dans la poche d'un désamorceur ; tu montres tes dents et paf, tu désarçonnes. parfois ça explose, parfois pas. "j'vais pas me forcer à voir sa sale tête de rat un dimanche matin, puisque c'est un con. imaginez si j'suis encore bourré de la veille. vous voulez qu'il nous fasse un infarctus ?"

le rongeur, c'est ton père. votre père.

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vieux type cinglé, ses attentes démesurées, il aime se les jouer Pygmalion, vous rappeler que vous êtes que son argile. ça aussi, ça te fait hausser les épaules, et puis systématiquement, tu captes son regard, duel d'iris, jardins séchés. "on sait même pas si c'était ton adn à toi, dans le tube." généralement, il te fusille du regard, il adore faire ça. il pense que ça t'intimide, que tu vas baisser la tête, comme Maggie, t'excuser. mais t'es pas comme ça, Wes, toi t'aimes trop frôler ses balles d'argent, lycantrope furieux qui joue les faux désinvoltes, mais t'aimes t'insurger, révolutionnaire dans le coeur. "ils ont pu se planter dans les colis. ça arrive souvent. pour ce qu'on en sait, t'es autant notre père que le boucher au bout de la rue." petit, il t'accordait une paire de claques, tu faisais la révérence, rideau fermé, fin de la pièce, t'avais les joues rougies. il y voyait un costume de honte, t'y voyais un maquillage fier. tant qu'il t'en collait une, c'est qu'il racontait des conneries. le jour sans phalanges sur le visage, ce serait le jour où il capterait qu'il était quand même sacrément débile quand il s'appliquait pas. peut-être que s'il la fermait, ou qu'il décidait d'apprendre de ses erreurs, il serait moins méprisable. peut-être même qu'il finirait par réussir à parler à ta mère sans lui aboyer dessus.

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ta mère, ta mère, ta mère. t'as entendu son prénom en sobriquets dans tes couloirs d'école privée, on l'utilisait comme une insulte, et là encore, tu haussais les épaules. t'avais pensé tout ça bien avant eux. finalement, c'était elle, ta coupable. elle qui avait décidé de vous laisser entre ses griffes à lui. elle qui se mêlait au jeu, hyène insupportable, écho de ses rires dans les trop grands salons. et puis, en même temps, tu pouvais pas lui en vouloir. c'était ta mère qui avait sympathisé avec les autres cols blancs, cravates noires, ta mère qui avait jacassé avec les talons fins. au départ, tu prêtais pas attention, les dîners devenaient plus fréquents. du saumon en veux-tu en voilà, et puis des bouteilles hors de prix, sans être calé en oenologie, tu l'avais compris, parce que ton père le répétait à qui veut l'entendre. Maggie regardait ses doigts, et toi tu matais les gamins qui passaient par là. ils osaient presque tous te rendre les yeux pendant deux secondes, puis les prunelles disparaissaient de nouveau dans les assiettes. sauf elle. Nova, elle t'avait rendu ton regard pendant plus de vingt secondes, et t'avais fini par baisser les yeux, toi, fin sourire aux lèvres. empereur qui vient de découvrir que le monde n'est pas à lui, que son planisphère est faux, empereur qui poserait presque sa couronne face à la révélation, elle qui pèse trop lourd sur sa tête.

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( ( ( Nova, douce Nova.
Est-ce que toutes les étoiles filantes que j'ai imploré
Pour que nos lèvres se frôlent
Se sont évaporées ? ) ) )

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et puis après Nova, il y a eu tous les autres. petits dieux de vos univers, maîtres de vos océans, enchanteurs de vos forêts, premières boissons, premières clopes, premiers baisers. Maggie s'était intégrée, tu l'avais vue tomber amoureuse, au fil du temps, tu l'avais vue fleurir, cette belle marguerite, et t'avais été fier de ta soeur. fier, terriblement fier. échappées douces pour fuir le reste de l'univers, les désastres de la tension, les murs qui pleuraient, au domicile, logis maudit, épée de Damoclès à chaque fois que la main se posait sur ; poignée de l'entrée, poignée de la chambre, poignée du salon. jamais le menu n'était dévoilé, jamais tu ne savais à quelle sauce tu allais être mangé. ton père ne s'était pas fait à l'idée que tu le provoquerais tant que possible. il te l'avait dit un soir. "t'es un vrai petit con, Wesley. tout ça c'est de ta faute. tu vas rendre ta mère malade, et puis tu terrorises ta soeur." pas de haussement d'épaules, ce soir-là. Maggie, tu l'aimes plus que tout au monde ; c'est le soleil de ton univers, tu ne fonctionnes normalement que lorsqu'elle est dans tes parages. ta mère... on s'en fout pas mal. mais il ne pouvait pas évoquer Maggie. te faire la raison de ses larmes, de ses peurs. ça, tu refusais.
alors t'avais mis un grand coup dans son tableau hors-de-prix. foutu portrait de la famille idéale. t'avais senti la toile se déchirer sous tes poings, couleurs éparses et décimées d'une impulsion seulement. ton père avait ri, t'avais eu envie de lui arracher les dents. et puis, t'avais arrêté de bouger. t'avais pensé à ce qu'il t'avait dit, ton Ambre. de ne pas lui accorder trop d'importance.
alors, t'avais haussé les épaules. et t'étais sorti.

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Ambroise, Ambre, Wood. c'est marrant. t'avais pas tout à fait les mots pour dire ce que tu ressens pour lui. c'est ton meilleur ami. un frère. une âme soeur, en soi, ou bien une âme frère. avec lui, tu peux tout dire, tu peux tout penser. quand t'as découvert que t'aimais les garçons, c'était déjà un peu cassé avec Maggie, et tu voulais pas en faire tout un cirque. les projecteurs, c'est que pour gueuler un peu, jouer les ténors. c'est Ambre qui l'a appris en premier, Ambre avec qui t'en as rigolé. Ambroise, c'est une partie majeure de ton univers. des fois, tu te demandes si t'as pas un peu compensé la perte de Maggie avec lui. si tu lui as pas accordé cette place fondamentale, cette emprise vitale sur toi. et puis, tu te rassures. Ambroise, c'est la personne la plus fiable du monde, il t'aime autant que tu l'aimes, ce frère trouvé au coeur des âges, il ne te ferait jamais de mal sciemment.

et puis le temps est passé. encré dans ta bande, leurs initiales que tu feras tôt ou tard tatouer sur ta nuque, ou bien sur ta cuisse droite, juste parce que ce serait marrant. ancré au coeur des typhons. pas de chant des sirènes avec ton équipage, elles s'enfuiraient vite ; vous avez votre lot d'écailles, déjà, et t'es prêt à plonger pour chacun d'entre eux. plongé, d'ailleurs, dans les yeux de Nova, encore et toujours, les amours sont passées, tu gardes les tumultes de chaleur, braises quand elle est là. tôt ou tard, tu finiras par lui demander de t'échauder ou de te cramer, juste pour faire partir la tension. t'as fait des études, t'as disséqué par tes iris des corps multiples, légion de draps qui ont connu ton parfum de luxe, t'as disséqué tes discours pour gueuler, encore, et toujours plus fort, t'as même disséqué ton diplôme, un soir de beuverie, tu l'as fait brûler, segment par segment, parallélisme parfait, Picasso aurait été fier. et puis t'as demandé une copie. t'es devenu avocat, un bon avocat, plaidoiries assumées, parce que tu fais ça depuis le début de ta vie, et tu jongles, aussi, jamais sur le fil, entre les soirs allongés, les journées levées, t'enchaînes les gueules de bois, et ton psy, quand c'est pas pour parler de ton père, te dit que t'as sans doute un problème avec l'alcool aussi, mais pour l'instant tu éludes. tu parles rarement à tes parents, le lien gardé uniquement parce qu'un jour, un ami de ton père t'a approché pour rejoindre son cabinet, t'as dit oui, t'as haussé les épaules. et aussi parce qu'il faut garder au moins ça avec Maggie ; la duplicité des repas sinistres, à deux chasseurs de fantômes, les regards furtifs et la complicité pour naviguer ensemble même au coeur des tempêtes de bermudes.
peut-être qu'un jour t'arrêteras les cures de désintox tous les quatre mois, la disparition pendant quinze jours à chaque fois, tu prétends faire le tour du monde, et à force, t'auras épuisé les pays possibles ; quatre cures en deux ans, mais l'alcool demeure le seul moyen de tout oublier, de noyer tes secrets, harpies qui te harcèlent et dont tu aimerais entendre les agonies ; boîte de Pandore, bouchon de cire ou de liège, liqueurs abreuvent et anesthésient tout. prêt à tous les courages sauf à celui-là ; perdre les potions, cesser de voir les barmen comme des druides consacrés à l'envoûtement de tes désespoirs.
peut-être qu'un jour on t'aimera. vraiment.

( ( ( jour et nuit esseulé
même lorsque le corps est hanté
j'ai foiré les amours, délaissé ma soeur, gueulé sur le monde
et pourtant, le matin, j'parviens à sourire.
est-ce que ça fait de moi un tyran, ou juste un vestige d'enfant ?

◎﹑◎﹑◎﹑◎﹑◎﹑◎﹑◎﹑◎﹑◎﹑◎﹑◎﹑◎﹑◎﹑◎

en vrac: passionné, colérique, convaincu, militant, secret, sociable, fêtard, hypersocial, piquant, loyal, éloquent, curieux, inventif, sportif, dragueur. t'aimes imposer ta boussole, mais t'as perdu les cardinaux. derniers repères sont tes derniers refuges. un peu plus paumé que t'aimerais l'avouer. sévices aux corps et au coeur, tu deviens bourreau sans même t'en rendre compte. impertinent, provocateur, affectueux, courageux.
ENTJ-A COMMANDANT ( ( ( VERSEAU.
plat préféré = mafé / musique préférée = skeeter davis, the end of the world / film préféré = le prestige / maison harry potter = serdaigle.
allergique aux chats. / prompt aux vertiges, d'où les rideaux sur ses fenêtres. (peut-être que son père n'aurait pas dû prendre autant de plaisir à l'enfermer sur le toit)

cause we're ready for the fame.

~ liens recherchés
CAFÉINE ASSASSINE (H/F/NB) sortie de tribunal en même temps, vous vous êtes percutés, scénario typique de film à la con, et pourtant ça s'est fini différemment : Wesley, il a gueulé (évidemment), et pour te faire pardonner, tu lui as payé un verre. Puis deux. Puis sept. Vous avez trinqué à vos échecs judiciaires, toi t'avais subi une grosse perte aussi ce jour-là, et ça a fini dans un gros délire ; vous avez plus beaucoup de souvenirs, au réveil, le lendemain, juste des photos de cravate nouées sur le front, de chaussures déchirées, et une sale gueule de bois. Impossible de savoir si vous avez couché ensemble, tout ce qui est sûr c'est que t'aimes pas son haleine au matin.

LA FÉE MORGANE (H/F/NB) ça fait quelques fois déjà que tu vois Wes, complètement décanillé. il fait la fête seul, parfois, et ça t'embête, parce qu'entre deux cris et trois musiques, tu vois dans son regard quelque chose qui t'intrigue. un éclat, un miroir brisé. alors lentement, sans qu'il s'en souvienne ni ne fasse le lien, t'as commencé à lui rendre service ; en l'accompagnant pour des bols d'air, en lui appelant un taxi, en lui commandant des boissons sans alcool. pour lui, à force, t'es un mirage, un ange gardien sans visage, et ça l'agace pas mal, même s'il osera sans doute jamais vraiment gueuler à un fantôme qu'il doit disparaître.

MA PYTHIE ADELPHE (H) homme présage, homme d'ambitions et de situations, tes yeux croisent souvent les siens, vous êtes collègues, souvent adversaires, tes échecs sont ses victoires, ses victoires sont d'énormes soirées d'alcool où il finit presque toujours complètement ivre. vos lèvres se sont frôlées une fois, puis vos corps se sont épousés ; mais Wesley n'aime pas les alliances, il n'aime pas les cérémonies, alors il se tient à bonne distance, et c'est difficile pour toi, puisque tu lui vouerais un culte les yeux fermés. (lien love non endgame)

MY OWN SARAH LYNN (F) naissance de poussières, vie sombre et pauvreté extrême, quand t'as rencontré Wes, tu voyais en lui un ange salvateur. il t'a aidé à grimper les échelons, impressionné par une étincelle et surtout par ton adoration ; il t'a vue grandir, lui déjà trop mature, malgré seulement une poignée d'années de plus, et puis tu ne sais pas pourquoi, un jour, son regard a commencé à se voiler. tu te considères comme son amie, tu lui dois beaucoup de ta réussite, et en même temps tu ne peux t'empêcher de lui en vouloir ; lui en vouloir de la déchéance, lui en vouloir d'avoir essayé de t'embrasser, lui en vouloir d'ainsi traîner dans son sillage mille et cent souhaits obscurs.

Sam 23 Sep 2023 - 19:30

maggie hawkins

ma marguerite

ta jumelle égarée. sans elle, tu perds ton cap, Wes, mais ça fait des années qu'ça dure maintenant. ta soeur fusionnelle, ta soeur d'amour, ta soeur de vie et de blagues. tu te souviens de son rire, ça te manque. tu te souviens même comment tu râlais quand elle était trop muette, et aujourd'hui, tu regrettes. Maggie te manque plus que tout au monde, et ça te ronge sans que tu puisses agir.

ambroise wood

ma gemme

le second segment de ton être, la prolongation de tous tes soupirs, de tous tes gestes. Ambre est dans ta vie depuis plus de dix ans, comme le reste de la bande, et avec lui tu as tout partagé. tes secrets ne sont bien gardés que quand tu les lui confies ; même quand tu as découvert ton amour des garçons, c'était lui l'évidence de première révélation, lui qui t'a rassuré. ensemble, vous êtes le bouclier et l'épée, vous êtes le jour et la nuit. si quelqu'un le blesse, ça te frappe par écho, et tu f'rais n'importe quoi pour ton meilleur ami.

novalyn carrington

mon étoile

amour resté secret qui a fini par faner, Nova a illuminé tes premiers songes, tes premiers rêves transis. finalement, t'as compris que vous seriez bien mieux amis, mais quelques fois, tu ne peux t'empêcher de la revoir comme celle sur qui tu aurais tout misé. rien ne se passera entre vous, tu peux même pas dire que tu l'aimes ; enfin si, mais comme une soeur, comme une amie éternelle à qui tu peux parler de tout et n'importe quoi. uc. uc. uc. uc. uc.

nahéma jones

ma fée morgane

ça fait quelques fois déjà que tu la vois, Wes, même quand t'es complètement décanillé. tu fais la fête seul, parfois, et ça l'embête, parce qu'entre deux cris et trois musiques, elle voit dans son regard quelque chose qui l'intrigue. un éclat, un miroir brisé. alors lentement, sans que tu t'en souviennes ni que tu fasses le lien, elle a commencé à te rendre service ; en t'accompagnant pour des bols d'air, en t'appelant un taxi, en te commandant des boissons sans alcool. pour toi, à force, c'est un mirage, un ange gardien sans visage, et ça t'agace pas mal, même si t'oseras sans doute jamais vraiment gueuler à un fantôme qu'il doit disparaître.

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Sam 23 Sep 2023 - 19:31

rps en cours

J'ME DÉTRUIS UN PEU CHAQUE JOUR, C'EST MA VIE ft ambroise wood - PAR ICI
DON'T STOP DANCING TIL THE CURTAINS FALL ft nahéma jones - PAR ICI
WHY IS THE RUM GONE ? ft olivier mitchell - PAR ICI
ALL THE HAPPY EVER-AFTERS ft seojun gim - PAR ICI
UNE RIVIÈRE PERDUE ft eden scarlett - PAR ICI
IT'S HAWKIN' TIME ft maggie hawkins - PAR ICI

rps terminés

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rps abandonnés

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rps à prévoir

FEAT NOM DU MEMBRE - CONTEXTE
FEAT NOM DU MEMBRE - CONTEXTE
FEAT NOM DU MEMBRE - CONTEXTE
FEAT NOM DU MEMBRE - CONTEXTE

Sam 23 Sep 2023 - 19:31

à vous

Lun 25 Sep 2023 - 4:32

@Wesley Hawkins je crois qu'il nous faudrait un lien

Lun 25 Sep 2023 - 7:59

Camila Renfield a écrit:@Wesley Hawkins je crois qu'il nous faudrait un lien

oh oui, évidemment !! :twoh:
est-ce que tu as déjà une idée de la façon dont Cam voit Wes ?

Lun 25 Sep 2023 - 15:25

@Wesley Hawkins tu vas penser que je te harcèle 495979932

Mais...

Wesley Hawkins a écrit:
sexe ~ m/f/nb. statut ~ libre.
LA FÉE MORGANE ça fait quelques fois déjà que tu vois Wes, complètement décanillé. il fait la fête seul, parfois, et ça t'embête, parce qu'entre deux cris et trois musiques, tu vois dans son regard quelque chose qui t'intrigue. un éclat, un miroir brisé. alors lentement, sans qu'il s'en souvienne ni ne fasse le lien, t'as commencé à lui rendre service ; en l'accompagnant pour des bols d'air, en lui appelant un taxi, en lui commandant des boissons sans alcool. pour lui, à force, t'es un mirage, un ange gardien sans visage, et ça l'agace pas mal, même s'il osera sans doute jamais vraiment gueuler à un fantôme qu'il doit disparaître.

J'voulais un lien avec ton perso', de un.
Ensuite, j'crois que cette proposition colle beaucoup trop à Nahé' pour que je n'essaie pas de l'obtenir

Lun 25 Sep 2023 - 15:29

@Nahéma Jones tu m'harcèles pas omg, j'suis trop content de te voir popper sur plein d'onglets, c'est trop chouette :cheer: 588165894

ça colle super bien oui, le côté douceur, le côté protection cachée... Wes doit traîner dans pas mal d'endroits fréquentés par Maverick, et aussi dans plein d'autres endroits où il ne lui recommanderait pas d'aller 986011413

Ça peut aussi se faire sur des soirs de spectacle, Wesley à l'opéra qui en ressort en titubant, après avoir trop forcé sur le champagne, ou dans des soirées d'avocat,...

J'm'emballe déjà, tu as des idées sur les premières rencontres peut-être ? :keur:

Lun 25 Sep 2023 - 15:33

@Wesley Hawkins 859726454

j'suis content alors.
Nahéma est très branchée culture, même si elle n'en a pas toujours les moyens. Elle sort beaucoup, fait pas mal d'expositions. J'pense que la première rencontre pourrait s'faire dans ce genre de soirées là. Une inauguration par exemple pour un artiste indépendant (plus du côté de Brooklyn ou du Bronx que de Manhattan). Ils auraient pu s'rencontrer tout à fait par hasard, d'vant un tableau et échanger quelques mots. Elle se laisse assez facilement séduire la belle, même si elle donne pas souvent suite. Elle aurait pu être charmée en premier lieu par le charisme du monsieur (on va pas s'mentir hein) et puis, elle l'aurait perdu de vue dans la foule, l'aurait repéré plus tard dans un état... difficile. Elle lui aurait appelé un taxi pour rentrer 2352406129

Lun 25 Sep 2023 - 15:35

@Nahéma Jones (promis j'arrête "d'adorer" tes messages dès qu'ils cessent d'être aussi chouettes, désolé pour les notifs 986011413

)

C'est super comme vision, j'la partage entièrement. Ça fait quelques temps que Wes fait les choses par obligation, des apparitions publiques à des événements obligatoires selon son père, ou selon ses boss, et s'il peut être séduit par un tableau, faire du charme autour de lui, il retombe inlassablement dans ses enfers à lui avec la boisson si proche, si disponible. 235684108

Bon, ça s'ra pas toujours du 100% positif, au contraire, c'est un énooorme râleur, mais j'suis content que le lien t'inspire et surtout qu'il t'aille aussi bien !