(cyres) Night out
:: rp terminés
W
H
Invité
![avatar](https://i.goopics.net/o5sffx.png)
Messages
Rp posté(s)
Invité
( # )
Posté le
Cyrus & Ares
Night out
Il me faut quatre verres – deux bières, deux whiskys – avant de me lancer. Je m’approche de la fosse aux lions, me glisse entre tous les corps masculins, me laisse envahir par la basse qui résonne dans toute ma chair, sous ma peau, jusque dans les battements de mon cœur qui se synchronisent à la pulsation. Je me mets à bouger, à sauter, je sais pas trop ce que je fais mais je suis heureux, je me lâche. Je me mets à rire avec un type qui me colle contre lui, danse un peu avec, me décolle. Ça recommence avec un autre, puis un autre... Je passe d’un corps à l’autre, d’un sourire à l’autre, me soucie pas vraiment de qui que ce soit d’autre que moi, en fait. Ça fait un bien fou, j’ai l’impression de flotter, que toute la merde qui s’empile dans ma tête a plus aucune importance... Et puis je les croise, à l’autre bout de la pièce. Tes yeux sur moi, qui accrochent les miens. Sourire, un petit clin d’œil, et je continue à danser avec le mec qui est derrière moi, a passé un bras autour de mon ventre, me murmure plein de trucs à l’oreille dont j’ai rien à foutre, que j’écoute pas vraiment. Je pense que si je le laisse faire, il me ramènera chez lui, mais je suis pas sûr d’en avoir envie. J’ai pas encore assez bu pour ça, et maintenant que t’es là, je me demande si je veux pas que ce soit toi, qui me ramène.
Invité
![avatar](https://i.goopics.net/o5sffx.png)
Messages
Rp posté(s)
Invité
( # )
Posté le
Cyrus & Ares
Night out
Invité
![avatar](https://i.goopics.net/o5sffx.png)
Messages
Rp posté(s)
Invité
( # )
Posté le
Cyrus & Ares
Night out
« J’suis content de te voir, aussi. »
C’est pas un mensonge et ça me surprend, mais il faut que j’avoue que j’ai eu envie de te revoir, depuis mercredi, et que te croiser dans ce genre de circonstances ça fout plein d’images plus qu’agréables dans ma tête, des trucs que j’aimerais bien voir passer du statut d’image au statut réel, et ce deuxième (troisième ?) shot avalé d’affilée me réussit apparemment pas du tout. Je sais plus combien ça fait, j’en avale quand même un autre et t’attire à nouveau sur la piste de danse. Que t’aies fini de boire ou pas, je m’en fous. J’ai envie de m’amuser, de pas réfléchir, et si j’avais un tout petit peu plus de jugeote et moins d’alcool dans le sang, j’aurais capté que là je réfléchis vraiment, vraiment pas du tout. Parce que je fais exactement ce que je voulais faire tout à l’heure, je t’attire contre moi en recommençant à bouger, colle nos torses, te lance un regard amusé. Je sais pas ce que je suis en train de faire, je crois qu’il y a un truc rouge qui clignote au fond de mon crâne, mais y’a trop de brume pour que je distingue ce que ça hurle, un truc qui rime avec manger.
« Toi tu danses vraiment bien. Mais j’suis sûr que t’es encore plus canon quand tu danses pas sous des néons. »
J’imagine des trucs, te vois dans ce studio que j’ai découvert l’autre jour, la sueur de l’effort perlant de tes cheveux bouclés, sur ton front, et je me dis que ça doit être un sacré spectacle. Mon bras autour de toi me suffit pas, j’ai envie de te toucher partout, de me lâcher complètement, mais y’a une dernière barrière dans ma tête, le seul truc qui a pas été abattu par tout ce que j’ai ingéré sur un estomac vide, celui qui me fait dire que je suis probablement en train de faire n’importe quoi et qu’en plus d’une sacré gueule de bois je vais me réveiller avec des regrets plus grands que le Texas.
Invité
![avatar](https://i.goopics.net/o5sffx.png)
Messages
Rp posté(s)
Invité
( # )
Posté le
Cyrus & Ares
Night out
Une chanson passe, tu pensais profiter du silence pour me glisser un compliment mais aussitôt les basses reviennent, quelques cris des autres clients qui ont sans doute reconnu un tempo familier, veulent venir se frotter, s'agiter, répandre toutes les vibes du monde dans un endroit où chaque épaule frotte chaque épaule, mais où je n'arrive toujours pas à trouver les couilles de te toucher pour de bon, juste nos torses qui se frôlent, et nos nez beaucoup plus près, mais c'est absolument l'effort ultime, et c'est toi qui l'a provoqué. J'ai l'impression d'être un gamin débile et ça m'agace, alors je pose mes deux bains dans le bas de ton dos, t'attire plus près encore, prenant une fois pour toutes mes dispositions. Tu respires l'alcool et ça se perd sur ma bouche à moi, ça me donne envie de boire, mais pas à la bouteille, pas au verre, directement au bord de tes lèvres. Mes mots à moi se perdent directement entre tes lippes, sans que j'ose t'embrasser, quelques millimètres qui font office de barrage suprême. "Tu devrais venir au studio plus souvent alors. Et sans claquer la porte, cette fois." Ma main droite qui remonte sur tes hanches, froisse un peu de tissu alors que je penche la tête, l'air amusé, lèvres mordillées. "T'es beau, Cyrus. M'en branle de tes histoires de néon, de la façon dont on danse, tu souris et je te trouve carrément bandant." Voilà, c'est peut-être une nouvelle façon de tester les limites, mais au moins tu sais à quoi t'en tenir, parce que mon rire résonne directement dans ta gorge alors que j'ai toujours pas osé faire autre chose de mes lèvres que de les articuler pour te voler tout ton oxygène.
Invité
![avatar](https://i.goopics.net/o5sffx.png)
Messages
Rp posté(s)
Invité
( # )
Posté le
Cyrus & Ares
Night out
« Bandant ? J’aime bien l’idée. T’sais que.... »
Mes bras bougent tout seuls, une main qui se retrouve sur ton torse, pourtant pas pour te tenir à distance, glisse jusqu’à ton abdomen, s’installe sur ta hanche, un doigt qui tapote le tissu.
« J’ai très envie de te voir sans ça, là ? J’ai eu un p’tit aperçu l’autre jour et j’crois que j’ai envie de toucher. J’ai envie de glisser mes mains sur tes muscles, tout partout... »
J’éclate de rire, juste devant tes lèvres, mais fais rien de plus que toi. C’est un jeu dangereux, que j’apprécie beaucoup, mais contre lequel mon subconscient me retient encore un peu, parce que c’est pas bien, pas raisonnable. Mais qui aurait envie d’être raisonnable avec ça sous les yeux ? Tu me donnes envie d’envoyer chier toutes mes précautions, tout ce qui me retient d’habitude. J’ai presque envie de te traîner jusqu’aux toilettes pour voir si t’as pas menti et que ça s’agite vraiment dans ton pantalon. Les yeux qui se voilent de désir, je dois avoir les pupilles aussi dilatées que si j’avais pris je sais pas trop quelle drogue. La tête qui se penche, je veux pas attaquer tes lèvres – je crois que ça me fait peur – mais mes dents attaquent doucement ta mâchoire, glissent sur la peau de ton cou. Et puis je me remets à sourire, te lâche d’un coup et m’écarte d’un pas vers l’arrière. Je crois que j’ai envie de jouer, de voir combien de temps on peut faire ça avant que l’un de nous deux craque. Nouveau clin d’œil dans ta direction, je m’écarte un peu plus, marche jusqu’au bar et m’y adosse après avoir commandé une bière. Je te quitte pas des yeux, fasciné par ta façon de bouger, le souvenir de ce que j’ai senti sous mes doigts qui les brûle encore, l’envie d’en découvrir encore plus, tellement plus. Tu me trouve bandant ? Je te trouve sublime, comme les légendes des sirènes, prêt à succomber à ta voix et plonger dans les abysses si t’ouvres la bouche, à céder à ton chant que j’ai pas entendu mais qui m’appelle déjà. Regard brûlant qui te détaille, une gorgée de bière qui me rafraîchit pas même si elle est glacée. Heureusement que j’ai ouvert une ardoise en arrivant, parce que tu m’hypnotises tellement que j’en oublierais de payer. Je vais probablement laisser ma carte derrière moi, d’ailleurs, si tu continues comme ça, si on continue comme ça, si les images qui se jouent sous mon crâne deviennent réalité et que tu m’autorises à utiliser ta peau comme mon prochain canevas.
Invité
![avatar](https://i.goopics.net/o5sffx.png)
Messages
Rp posté(s)
Invité
( # )
Posté le
Cyrus & Ares
Night out
Invité
![avatar](https://i.goopics.net/o5sffx.png)
Messages
Rp posté(s)
Invité
( # )
Posté le
Cyrus & Ares
Night out
« Cy. Pas Cyrus. »
Pas fan de mon nom complet, choisi par le paternel auquel j’ai pas du tout envie de penser quand je t’ai dans mes bras.
« Et ça me fait bien envie aussi. Mais j’ai pas envie de te baiser ici. J’suis pas du genre à te prendre contre un mur de toilettes. »
Je suis pas si cru habituellement, mais faut croire que tu déteins sur moi à vitesse grand V et ça me plaît bien. Main qui glisse sur ta joue avant de reprendre tes lèvres, nous faire à nouveau perdre le souffle. J’étais pas sûr de vouloir rentrer avec quelqu’un. Je suis sûr que je veux rentrer avec personne d’autre que toi.
Invité
![avatar](https://i.goopics.net/o5sffx.png)
Messages
Rp posté(s)
Invité
( # )
Posté le
Cyrus & Ares
Night out
"Viens, on va dehors. On va trouver un bus." Pas envie de l'hôtel non plus, même si ce serait une façon simple et rapide de se débarrasser des hormones, qu'il y en a sans doute des dizaines autour du club. Pour l'instant, j'attrape ta main, glisse mes doigts dans les tiens, profite de cette chaleur qui joue sur mes réactions, nous attire dehors quand on finit la bière d'une traite. Il fait un peu meilleur que quand je suis arrivé, le corps sans doute bien réchauffé par l'ensemble des liqueurs avalées. Du monde sur le trottoir, ça parle fort, ça n'arrête pas, mais je m'en fous pas mal, on avance sur quelques mètres tous les deux, jusqu'à un coin plus sombre, et je m'appuie sur le mur, mes doigts glissés dans les anneaux de ton jean pour t'attirer plus près, mes jambes entre les tiennes, baiser enflammé, tornades qui se déchaînent dans cette ruelle, et c'est pas une belle scène, c'est pas un bon décor, mais putain ce que c'est bon. Je nous décolle avec un peu de regret. "L'arrêt est à deux minutes. Il y a un bus souvent. Ou alors on peut choper un Uber et aller chez toi. Comme tu veux. C'est toi qui décide." C'est déjà beaucoup de liberté que je te laisse, puisque dans un sens c'est toi qui choisit l'atmosphère - chargée en hormones chez moi, sans doute l'air plus océanique de l'autre côté du territoire, vers chez toi. D'habitude, c'est moi qui impose, mes horaires, mes gestes, mes coups de reins, mon lit, mais ce soir j'ai l'impression de vouloir être un peu plus flexible, et puis t'as des arguments convaincants, en témoigne ma main bien posée sur la bosse entre tes jambes, comme pour la cacher au reste du monde, comme pour me réserver ce plaisir à moi seul, mais c'est pas qu'une question de cachette parce que j'appuie en même temps, que mon sourire se dessine un peu plus, dents dehors. "Tu m'emmènes où tu veux, je te suis. Mais t'attends pas à dormir pendant des heures cette nuit." L'air taquin, langue qui glisse sur mes lèvres, je me décroche du mur pour t'attirer vers celui de l'autre côté de la rue, mon bassin qui fait pression sur le tien, alors que je t'embrasse avec une passion nouvelle ; c'est pas mal, j'aime bien. Et toi ? Je peux pas te le demander, j'ai pas d'air, j'ai pas ma bouche, c'est toi qui m'a tout pris pendant quelques minutes.
Invité
![avatar](https://i.goopics.net/o5sffx.png)
Messages
Rp posté(s)
Invité
( # )
Posté le
Cyrus & Ares
Night out
Ravi que tu sois d’accord avec moi, que t’aies pas juste envie qu’on se glisse dans les toilettes, que ça soit pas juste un coup rapide, sauvage et sale. Un mur pourquoi pas, tant que je peux glisser partout sur toi, en toi, mais pas dans une boîte bruyante où on sait pas trop si c’est de l’alcool ou autre chose qui colle sous nos chaussures. Je veux pouvoir t’entendre, te sentir, et c’est pas possible ici. La question que tu lances monte pas tout de suite, j’ai pas envie de réfléchir quand tu me regardes comme ça, j’ai juste envie de t’embrasser encore, de t’arracher tous les mots qui pourraient sortir d’entre tes lèvres, de te couper le souffle encore et encore. Et puis tu proposes de sortir, je suis sans discuter, te laisser entortiller nos doigts et m’entraîner à ta suite. Verres vides, carte oubliée, bien loin de mes pensées qui sont tournées que vers toi, vers ce qu’on s’apprête à faire, vers tout ce que j’ai envie de te faire. L’air à peine frais me redonne un minimum conscience de ce qu’il se passe, mais la brume laissée par l’alcool a été remplacée par celle que tu laisses dans ton sillage en m’entraînant avec toi, m’attirant contre toi. Une main qui me maintient en place sur le mur, l’autre dans ton dos, je pourrais t’embrasser comme ça pendant des heures, je pourrais même changer d’idée et faire plus que t’embrasser, troquer les toilettes contre la ruelle. Y’a pas beaucoup de lumière mais le peu que je vois de tes traits ça me suffit, peut-être même que les réverbères te rendent encore plus beau que les néons. T’as mis fin au baiser et je saute sur l’occasion pour dévorer ton cou, y poser mes lèvres autant de fois qu’il y a de briques dans le mur. Et puis tu parles et ça me fait râler, parce que ça veut dire qu’il faut que je réfléchisse deux minutes et j’ai pas envie. Alors j’appuie mes dents un peu plus fermement contre ta peau, presse ma paume un peu plus contre le bas de ton dos et souris en sentant la tienne contre mon désir. Tu me montres encore que t’es entreprenant, j’aime ça, j’en veux plus. Tu me promets une nuit courte, mes habitudes d’insomniaque attendent que ça. Et puis c’est mon dos contre le mur, nos pantalons qui se pressent et me font grogner, tes lèvres qui retrouvent les miennes. Une main sur ta joue, puis qui glisse dans tes boucles, tire légèrement, te force à lâcher prise. On est tous les deux à bout de souffle et ça me fait marrer. T’es beau même essoufflé. Je te garde là, doigts contre ton crâne, sors mon téléphone. Deux trois mouvements de mon pouce.
« Cinq minutes avant la course. T’attends pas à dormir du tout. »
Je reprends tes lèvres aussitôt, replace le téléphone dans ma poche et en profite pour placer ma main désormais libre sur tes fesses, presser la chair. J’ai envie de toi d’une force qui me fait presque peur. Ou qui me ferait peur si j’avais pas l’alcool pour distraire mon esprit, ou ton corps contre le mien pour finir de balayer toute pensée rationnelle. On se vide encore un peu les poumons, jusqu’à ce que ça vibre dans ma poche et que je te repousse pour mieux attraper ta main et t’entraîner jusqu’à la voiture noire. À peine bonjour au chauffeur et déjà je t’attire dans un nouveau baiser, pas prêt à laisser filer la moindre seconde de tout ça maintenant que j’y ai gouté. Le trajet passe en quelques secondes, alors que c’est littéralement impossible, mais je pense qu’avoir ta langue dans ma bouche me fait perdre toute notion du temps, et j’ai hâte de voir ce qu’il se passera quand elle sera autre part. On arrive chez moi, y’a personne, tout est éteint. Napo est sûrement bien occupé et Greg sera pas là avant demain soir. On a l’endroit pour nous et c’est pour ça que je voulais qu’on vienne là. Je sais qu’on pourra faire autant de bruit qu’on voudra, qu’on aura pas à craindre la moindre intrusion. Chez toi, j’en sais rien, j’ai pas posé la question. J’avais pas envie de réfléchir, c’était la solution la plus facile. Je reprends goulûment tes lèvres à peine la porte d’entrée fermée, t’entraîne jusqu’à ma chambre, ferme quand même cette deuxième porte à clé. Si mon frère débarque demain matin pour une raison ou une autre, je veux pas qu’il te trouve là. Je suis pas du genre à ramener qui que ce soit à la maison et j’ai pas envie de voir les questions dans ses yeux. Ou de les entendre, en fonction de son humeur. Je te plaque contre le bois, écarte tes jambes en plaçant l’une des miennes entre elles, puis fais sauter tous les boutons de ta chemise. Aussitôt, ma main – celle qui tient pas la tienne – glisse sur ta peau, découvre les muscles que j’ai juste devinés jusqu’à présent, ça me fait grogner de satisfaction. Aussi bien foutu que ce que j’imaginais, beau à pleurer. Je lâche tes lèvres, attaque ton cou, lèche ta pomme d’Adam, me réjouis de ton souffle court.
« J’avais raison. »
Je m’écarte juste un peu, ta main toujours dans la mienne, et te regarde de la tête aux pieds, sourire carnassier aux lèvres.
« T’es encore plus beau sans les néons. »
Je m’approche à nouveau et ris contre ta peau, le bout de la langue qui chatouille ton lobe d’oreille.
« Tu veux un verre ? »
AVENGEDINCHAINS
« Cinq minutes avant la course. T’attends pas à dormir du tout. »
Je reprends tes lèvres aussitôt, replace le téléphone dans ma poche et en profite pour placer ma main désormais libre sur tes fesses, presser la chair. J’ai envie de toi d’une force qui me fait presque peur. Ou qui me ferait peur si j’avais pas l’alcool pour distraire mon esprit, ou ton corps contre le mien pour finir de balayer toute pensée rationnelle. On se vide encore un peu les poumons, jusqu’à ce que ça vibre dans ma poche et que je te repousse pour mieux attraper ta main et t’entraîner jusqu’à la voiture noire. À peine bonjour au chauffeur et déjà je t’attire dans un nouveau baiser, pas prêt à laisser filer la moindre seconde de tout ça maintenant que j’y ai gouté. Le trajet passe en quelques secondes, alors que c’est littéralement impossible, mais je pense qu’avoir ta langue dans ma bouche me fait perdre toute notion du temps, et j’ai hâte de voir ce qu’il se passera quand elle sera autre part. On arrive chez moi, y’a personne, tout est éteint. Napo est sûrement bien occupé et Greg sera pas là avant demain soir. On a l’endroit pour nous et c’est pour ça que je voulais qu’on vienne là. Je sais qu’on pourra faire autant de bruit qu’on voudra, qu’on aura pas à craindre la moindre intrusion. Chez toi, j’en sais rien, j’ai pas posé la question. J’avais pas envie de réfléchir, c’était la solution la plus facile. Je reprends goulûment tes lèvres à peine la porte d’entrée fermée, t’entraîne jusqu’à ma chambre, ferme quand même cette deuxième porte à clé. Si mon frère débarque demain matin pour une raison ou une autre, je veux pas qu’il te trouve là. Je suis pas du genre à ramener qui que ce soit à la maison et j’ai pas envie de voir les questions dans ses yeux. Ou de les entendre, en fonction de son humeur. Je te plaque contre le bois, écarte tes jambes en plaçant l’une des miennes entre elles, puis fais sauter tous les boutons de ta chemise. Aussitôt, ma main – celle qui tient pas la tienne – glisse sur ta peau, découvre les muscles que j’ai juste devinés jusqu’à présent, ça me fait grogner de satisfaction. Aussi bien foutu que ce que j’imaginais, beau à pleurer. Je lâche tes lèvres, attaque ton cou, lèche ta pomme d’Adam, me réjouis de ton souffle court.
« J’avais raison. »
Je m’écarte juste un peu, ta main toujours dans la mienne, et te regarde de la tête aux pieds, sourire carnassier aux lèvres.
« T’es encore plus beau sans les néons. »
Je m’approche à nouveau et ris contre ta peau, le bout de la langue qui chatouille ton lobe d’oreille.
« Tu veux un verre ? »
Invité
![avatar](https://i.goopics.net/o5sffx.png)
Messages
Rp posté(s)
Invité
( # )
Posté le
Cyrus & Ares
Night out
Serrures qui s'enchaînent, clefs qui tournent, et je me retrouve dans ta chambre, sans même pouvoir te demander un café. Bon, après, j'avoue, si c'est pour que tu te glisses entre mes cuisses plus vite, je peux faire abstraction d'un espresso... Mais quand même, Cy. Tu lèches, tu mords, tu grattes, tu caresses, et j'ai l'impression que mes cinq sens sont devenus cent millions, je peux pas lutter contre toi et je laisse tomber ma chemise au sol, expose mon torse entier à la Lune, de ma main dégrafe ton pantalon, le fait choir aussi. On a tous les deux perdu un vêtement. Égalité, balle au centre. "Je veux bien... N'importe quoi, en fait. Du moment que c'est fort." Pas peur pour mes performances sous liqueur, j'ai déjà géré bien pire que cinq shots, deux bières, trois mojitos et un verre de ce que tu me serviras. Tu t'apprêtes à partir et je te retiens de mes deux bras contre ton ventre. "Juste avant..." Parce que j'aime pas l'équité, que j'ai jamais aimé ça, je te débarrasse de ton haut aussi. En profite pour masser le haut de ton dos, pour caresser le bas, puis pour agripper à mon tour tes fesses, pendant quelques secondes, chair qui se malaxe bien sous la pression de mes doigts amusés et qui en réclament plus. "Bien. Tu peux y aller maintenant, je bouge pas d'ici." Et c'est déjà un demi mensonge, parce que je me laisse tomber sur ton lit, dans un râle exagéré de satisfaction qui te semblera bien morne dans quelques heures, me redresse appuyé sur mes deux bras, le pantalon qui disparaît aussi parce que finalement, l'égalité c'est chouette comme principe philosophique, en chaussettes blanches et en boxer sur ton lit, les courbes de chaque tissu qui ne trompent personne : je mets du quarante cinq aux pieds et je suis super excité. Je regarde un peu dans ta chambre, déshabille les meubles et ouvre les tiroirs du regard, me laisse jouer à imaginer ce que tu peux bien cacher. Des dessins parfaits ? Des croquis intimes ? Est-ce que les dessinateurs s'envoient des dick drawings ? Tu reviens, me tire de mes pensées et je me redresse pour coller nos deux boxers et récupérer direct mon verre dans ta main. Levé à ta santé, et puis je te murmure quelques promesses indécentes à l'oreille qui remettent en cause la santé susmentionnée, éclate de rire, t'embrasse pour récupérer ta première gorgée et avale la mienne avec un sourire carnassier. "Merci pour le verre, et pour chez toi. C'est sympa ici." J'y prendrais pas goût pour autant, t'inquiètes, c'est juste du commérage avant qu'on commence à ne plus pouvoir parler correctement.
Messages
Rp posté(s)
Contenu sponsorisé
( # )
Posté le
:: rp terminés
|
|