Makan ~ la prochaine fois que tu tires, fais-le pour tuer

Harrison Makan Callahan
carpe diem
:copyright: Horace / expression latine
TW : prostitution, dépression, addiction, tentative de suicide, toxicomanie, overdose, meurtres, escorting, alcoolisme, guerre, emprisonnement, infertilité, fausses couches

never trust or love a wild thing.

âge ~ 42 ans date et lieu de naissance ~ tu es né le 1er août 1981, à New-York City nationalité ~ américain métier ~ Officiellement, tu es déclaré comme un simple garde du corps en freelance au sein de la société StarsProtect, qui t'a recruté. Officieusement, tes qualifications réelles sont celles d'un tueur à gages. orientation sexuelle ~ Hétérosexuel, tu n'aimes que la douceur des peaux féminines. statut civil ~ Célibataire, tu n'es pas fait pour les engagements sur le long terme. statut monétaire ~ Les contrats sont juteux et à la hauteur des risques pris. Autrement dit, tu ne manques absolument de rien même si tu vis sobrement. groupe ~ wings in the air

all night long slow down the song

01. Ton histoire débuta avec celle de Sharon. Jeune femme à la peau dorée, mélangée par des ethnies hawaïennes et anglaises, arrivée à la Grosse Pomme en quête d’un travail, de gloire et surtout d’amour. Désillusions violentes s’enchaînant alors, venant heurter son monde utopiste par le tranchant de l’épée de la réalité. La misère s’installa dans les tripes et dans l’esprit. Vendre ses charmes au plus offrant est une nécessité, bien que ses talents pour l’enivrement finissent par la conduire à un job moins périlleux, des années plus tard. Amoureuse folle de l’Amour, besoin insatiable d’être aimée à tout prix, Sharon s’amourache des hommes comme une addiction. Certains partagent ses draps ou sa vie mais tous s’envolent vers d’autres horizons, tôt ou tard. C’est ainsi que tu vins au monde, laissant une bosse arrondie se former sur son corps de vingt-deux ans. Des promesses murmurées au creux de son oreille, après la féérie des étoiles admirées sagement. Le bougre est reparti sur la pointe des pieds et ne reviendra jamais. Engrossée, Sharon accepta son sort, se persuadant que ceci était l’œuvre de la destinée. Tu vins au monde durant l’après-midi du premier jour d’août, après près de deux journées entières de contractions, de cris, des larmes et de sueur, en poussant ce hurlement caractéristique de la vie s’emparant de tes petits poumons. Même si toutes les conditions n’étaient pas réunies, Sharon t’aima de toute son âme – comme le reste de ta fratrie – et fut toujours une bonne mère. La meilleure version d’elle-même, sans nul doute. Bien sûr, elle avait des hauts et des bas, Sharon : la dépression sévère, les médicaments qui la shootaient plus qu’ils ne la guérissaient de ses maux de l’âme, les drames d’une vie amoureuse instable et parfois malmenée, la rudesse de n’être « qu’une femme de la rue », pointée du doigt et moquée par ses mêmes hypocrites qui venaient la rejoindre dans ses draps une fois la nuit tombée. Après plusieurs tentatives de suicide et de nombreux séjours dans des centres publiques, Sharon est désormais prise en charge dans une clinique privée, payée par tes soins, et écoule des jours paisibles au sein d’un établissement de qualité. Il paraît même que, depuis cinq ans, elle file la parfaite romance avec un autre patient – un dénommé Jonathan. Tu leur rends rarement visites, Makan, ayant toujours crainte de briser le frêle équilibre qu’elle semble avoir trouvé dans son esprit torturé.

02. Harrison, c’est le prénom dont tu fus affublé à la naissance, en référence à une certaine célébrité du grand écran. Surnommé Harry par tes proches, tu porteras cette identité durant la majorité de ton existence. Ce n’est qu’à ton retour de ta dernière mission au sein de la Légion Etrangère, que tu décidas de l’abandonner. Comme un enterrement de ta vie passée qui ne fut point glorieuse, tu revins en homme « nouveau » sur les terres de ton enfance. Rares sont ceux qui, désormais, connaissent ce morceau de toi-même bien que tu ne t’en dissimules point. Tu adoptas alors ton second prénom, embrassant une partie de ta culture maternelle : Makan. Cependant, ce symbole de la rédemption n’en est pas réellement un. Une personne fondamentalement mauvaise le demeurera toujours, n’est-ce pas ? Lorsqu’on est capable d’ôter la Vie d’un corps, il ne faut pas s’attendre à obtenir son ticket pour le Paradis. Tu l’as compris, Makan. Ce monde est impitoyable et tu as simplement décidé d’être un loup affamé plutôt qu’un agnelet sans défense.

03. Ta vie n’aurait pas été complète sans la présence de ta fratrie. Tout d’abord, il y eut Travis, né d’une infidélité extraconjugale. Son père avait promis de quitter sa compagne pour Sharon ; il n’en fut évidemment rien. Il naquit en 1985, par une fraîche matinée de début de printemps. Marmot insouciant, plutôt bavard et indiscipliné, il marchait fièrement sur tes pas et t’imitait en de nombreux points. Tu fis attention à ce que, contrairement à toi, il ne sombre pas dans les ténèbres, le tenant toujours à bout de bras pour qu’il frôle la lumière. Il s’engagea dans l’armée américaine, à l’aube de ses vingt-trois ans, après avoir poursuivi des études dans les finances grâce à une bourse sportive. Sa vie bascula une décennie plus tard, lorsqu’il revint gravement blessé d’une périlleuse mission et dût prendre des antidouleurs de plus en plus puissants. Mauvais contrôle du médecin peu regardant ou génétique propice à l’addiction, Travis ne supportait plus les souffrances physiques et psychiques de sa dépendance qu’il pensait endiguer. Il se mit également à boire pour oublier sa misère, délaissant son épouse, Rachel, ainsi que ses deux fils, Chris et Ryan. Jusqu’au jour où, pris d’une sourde et irrépressible sensation de désespoir, il en vint à commettre l’irréparable : braquer une pharmacie pour obtenir des opioïdes qu’il se procurait alors illégalement, ce qui conduisit ses proches à être endettés. Geste fatal de 2020 pour lequel il fut appréhendé, arrêté et condamné à quinze ans de prison ferme tout en suivant un programme de désintoxication. Étonnement, Rachel lui a pardonné et a décidé de l’attendre. Quant à toi, tu as promis d’éponger ses ardoises et de subvenir aux besoins de sa famille.

Ensuite, il y eut Abigail. Ange blond aux yeux clairs, survenue en 1988 d’une énième histoire charnelle oscillant entre passion, interdiction et incapacité chronique à s’engager. D’ailleurs, Sharon ne semblait même pas certaine de « qui » était le père biologique avant la naissance de cette dernière, jugeant que les traits physiques ressemblaient plus à l’un qu’à l’autre de ses prétendants. Petit poupée plutôt timide, Abby n’a jamais fait de vaguelette et était même plutôt courtisée. Douce, sensible et incapable de mentir, elle incarnait une légère fragilité dans votre fratrie, ressemblant davantage à votre mère qu’à son géniteur sur le plan émotionnel. Très jeune, elle tombe sous le charme d’un homme un peu plus âgé, Bartholomew, qui possède une cuillère en argent dans la bouche. Elle ne manque de rien, sur le plan matériel, et il la comble de cadeaux. Au début. Progressivement, après le mariage, les ennuis ont commencé pour ce couple pourtant idyllique sur le papier. Le ventre d’Abigail ne s’arrondit point et les rares fois où les tests affichent deux barres, cela ne dure point. Les mois et les années défilent sans que la maternité ne vienne combler de bonheur la triste épouse. Elle devient mélancolique, renfermée et ne sort que par obligation. La fidélité se brise du côté de son mari et elle ferme les paupières en espérant que la venue d’un bébé serait la réponse à tous ses maux. Elle réussira finalement à tomber enceinte et à mettre au monde une adorable fille, prénommée Lily-Rose, en novembre 2017. Un mois plus tard, juste avant les fêtes de Noël, son cher et tendre décide de les quitter pour trouver du réconfort dans les bras de sa jeune maîtresse, lassé de cette vie faite de trop grandes espérances. Mais Abby a décidé de se battre pour obtenir tous les droits sur leur fille tout en se vengeant de cette ultime trahison. Encore aujourd’hui, le couple vit dans la débâcle des procès et des gardes alternées – même si la présence paternelle se fait de plus en plus rare. Le lionceau, devenue lionne, est désormais en phase de réussite et il semblerait que son futur ex-mari va y laisser bien plus que des plumes. Lorsqu’on confond la proie avec le chasseur, c’est ce qui peut arriver. Et qui sait… peut-être qu’un accident malencontreux pourrait, dans un avenir proche, la transformer en veuve joyeuse.

Et pour terminer, Jill vint au monde. La plus volcanique et indépendante de la fratrie vit le jour en 1996. Grossesse découverte tardivement, Sharon n’eut d’autre alternative que de garder cette fillette au tempérament de feu. Combattive, féministe, sûre d’elle et libre, elle est sans nul doute celle dont tu es le plus proche malgré son incapacité chronique à tenir en place. L’école, ce n’était pas pour elle ; tout ce qu’elle y trouvait, là-bas, c’était de quoi s’encanailler. Elle frappait, Jill, si on l’insultait. Elle donnait des coups de poings autant que des mots tranchants en représailles. Bourreau plutôt que victime, elle ne s’est jamais laissée faire. Pas même lorsqu’un professeur lui manqua de respect alors qu’elle n’avait que treize ans. Avec les années, elle a appris quand se taire et quand l’ouvrir. Quand user de ses griffes et quand juste s’écorcher la paume avec. Jeune fille de la rue, elle a fréquenté les pires ombres de l’humanité juste pour voir si elle en était capable. Malgré les tentations, elle n’a pas cédé à la facilité de l’alcool ou des drogues. A la place, Jill voulait se faire un nom ; qu’on la paie pour passer du temps avec elle. C’est dès sa majorité qu’elle s’est engagée dans l’escorting – tout comme le fit votre mère. Un choix qu’elle vous a imposé et dont vous ne pouviez la dissuader. Protecteur, tu as toujours gardé un œil sur elle. Inutile, s’égosillerait-elle ! Elle sait se débrouiller, Jill. Elle sait se défendre. Elle crie à qui veut l’entendre qu’elle n’a besoin de personne. Mais toi, Makan, tu sais qu’elle ment. Un peu. Elle aussi, elle a une certitude qui la rassure : elle aura toujours son grand frère derrière elle. Envers et contre le monde entier.

04. Gina, c’était cette gosse paumée âgée de quinze ans que tu as croisée au détour d’une ruelle alors que tu en avais dix-sept. Fuyant un foyer où s’enchaînaient les violences à répétition, elle s’était échappée du regard des autorités pour terminer sa course près de là où tu zonais avec tes mauvaises fréquentations. Ses grands yeux noisette eurent raison de ton palpitant et tu l’accueillis au sein de votre communauté. Très vite, elle s’avéra roublarde et plutôt maligne. Débrouillarde avec les flics, aussi. Comme toi, elle se mit à dealer pour s’faire du blé et se sortir de la misère. C’était ça, votre plan : mener une belle vie de riches loin des ennuis ; le secret du bonheur, paraît-il. Malheureusement pour toi, elle a commencé à dérailler et à consommer. Des joints, au début ; c’est monté crescendo. Tu l’as suivi, Makan, tenté par cette euphorie qu’elle te décrivait comme une expérience sensationnelle et sans risque. « Rien qu’une fois », jura-t-elle. Mensonge éhonté que tu préférais croire plutôt que d’affronter la réalité de sa toxicomanie risquant de les détruire, elle et vos rêveries. Vous vous êtes échappés de vos univers de pauvres âmes esseulées, vous rejoignant dans cet enfer de l’addiction. Votre relation a duré huit longues années de perdition, de passions et de ruptures à répétition. Vous vous déchiriez pour mieux vous aimez, soufflait-on à votre insu. Vous vous êtes tant infligés, Makan, que tu as cessé de compter les points. C’était l’enfer, vous deux. Mais un enfer dans lequel vous retourniez, inlassablement ; incapables de survivre sans l’autre pour oxygène. Jusqu’au jour fatidique où il y eut ce « trop ». Cette dose de trop. Elle a cessé de respirer. Brutalement, elle s’était envolée à jamais, se dérobant entre tes doigts. La vie s’était extirpée de ses poumons sans un bruit, ne laissant à ton âme plus que la cacophonie de son silence pour compagnie. Tu avais perdu l’Amour de ta Vie. Et toi, tu ne voyais plus aucune issue à ce funeste monde. C’est toutefois pour ta fratrie que tu as décidé de poursuivre sans elle. Deux ans après sa disparition, tu as même entrepris de changer ta destinée. Parce que toi, tu respirais encore.

05. Anton, c’est avant tout ton loyal ami ; ton confident. Presque une figure paternelle. Cet ancien sniper émérite t’a repéré, alors que tu étais engagé au sein de la Légion Etrangère depuis cinq ans. Il t’a convaincu de rejoindre sa société, intitulée « StarsProtect ». Des activités en apparence lisses où les agents, tous libres d’accepter ou de refuser des contrats, jouaient les gardes du corps pour des hommes et des femmes qui en possèdent les moyens financiers. Rémunération plutôt intéressante pour ceux qui suivent les règles de cette entreprise aussi blanche qu’un corbeau ; en-dessous de ce miroir teinté se dissimule un monde parallèle comparable au darknet. Des compétences discrètes sont exigées pour mener à bien ces missions d’un autre genre : assassinats, complots, tortures, infiltrations et toute la panoplie qu’on peut imaginer. Il suffit de tendre les doigts pour décrocher un précieux pactole, sous couvert de risquer de se prendre une balle perdue entre les deux yeux. Parfait pour des hommes qui n’ont rien à perdre ou qui sont avides de protéger leur clan du besoin. T’as accepté d’embrasser le côté sombre de ce projet, Makan, n’y offrant aucune résistance. Revenu d’entre les morts, jouissant alors de cette ardoise presque vierge, tu as recommencé ta vie à zéro. Ou presque. Il fallait admettre également que tu ne fus pas choisi au hasard par l’œil avisé d’Anton : il avait décelé ton potentiel dans ce passé trouble. Tout autant que cette noirceur, au fond de toi, qui te rend singulièrement dangereux pour quiconque aurait l’idiotie de figurer sur une de tes fiches d’élimination. Tu ne ratais jamais ta cible, Makan. Peu importe le temps qu’il fallait pour y parvenir : l’échec n’était clairement pas une option.

06. Tu as rencontré Phoebe peu de temps après ton intégration au sein de « StarsProtect ». Richissime cliente, héritière d’une dynastie, elle était une cible à atteindre. Contrat émis sur sa tête à la chevelure ébène, son tendre époux cherchait indiscutablement à obtenir le veuvage dans les plus brefs délais. Tu n’aurais eu aucun scrupule à mettre un terme à cette insipide existence, si elle ne t’avait pas persuadé – par ses mots – de trahir le commanditaire de cet acte odieux alors qu’elle venait de mettre au monde leur enfant. Elle t’offrit le triple de la somme proposée. Tu ne fis point la fine bouche, Makan ; l’argent sale n’a pas l’odeur de la félonie, après tout. C’est donc son cher et tendre qui trouva mystérieusement la mort dans un tragique accident de la route. Rien de bien difficile pour toi. Votre collaboration aurait dû s’achever sur ce bel exploit, évidemment. Cependant, la veuve avait décidé que tu lui avais offert sa liberté et elle ne voulait point d’une dette aussi colossale entre vous, malgré l’argent reçu. Tu as eu beau essayer de la convaincre qu’elle ne te devait plus rien, elle ne l’entendait point de cette oreille. Progressivement, un jeu s’est installé entre vous. Une belle balade de « fuis-moi je te suis et suis-moi je te fuis » sous quelques pics à la « je t’aime moi non plus ». Puis, les émotions se sont installées et vous avez entamé une relation charnelle. « Pas de sérieux » ne cessiez-vous de vous répéter mutuellement, persuadés que la vie finirait pour vous séparer et que vos émois n’étaient que passagers. Mais, un beau matin d’avril, elle s’est rameutée avec un document médical affirmant sa grossesse bien entamée. Tu n’y croyais pas, Makan ; elle fut pourtant suffisamment sûre d’elle-même pour t’offrir un test de paternité – qui se révélera positif. C’est ainsi que le petit Harry, ton fils, ta chair, vint au monde en octobre 2018. Cette naissance inespérée fit de toi un père, sur le papier ; mais ton existence dans son entourage était d’une extrême dangerosité. Vous viviez dans la peur constante d’une vendetta qui rejaillirait sur eux. Alors, tu ordonnas à Phoebe de s’en aller avec ses deux enfants, dont le vôtre, le plus loin possible de toi. De ne jamais tenter de reprendre contact avec toi, par n’importe quel biais que ce fusse, sauf en cas de nécessité absolue. Elle devait oublier que tu respirais et prétendre auprès de Harry que tu avais disparu de la surface de la Terre. C’est ce qu’elle fit, Makan. Elle partit, sans se retourner, emportant avec elle le souvenir du doux visage de ce bébé. Tu ne possèdes rien sur eux ; pas même une photographie. Savoir Harry en sécurité est tout ce qui t’importe. Et tant pis si cela t’oblige à ne jamais le connaître.

07. C’est par le biais de Jill que tu as fait la rencontre de Satine. Plus exactement, vous vous étiez déjà croisés à quelques reprises par le passé sans pour autant vous adresser la parole. Tout ce que tu savais d’elle, c’est que la blonde fut autrefois escorte. Toi aussi tu connaissais ce milieu pour avoir côtoyé les amies de ta mère ; moins bien que celles qui y avaient évolué, tu devais l’admettre. Vous vous êtes mis à bavarder ensemble au moment où Satine a décidé de fonder sa propre agence et de recruter ta cadette ; c’était il y a cinq ans, déjà. La grande blonde a alors plus ou moins pris ta petite sœur sous ses ailes protectrices, veillant à ce que rien de malencontreux ne lui arrive malgré cet univers particulièrement difficile. Progressivement, une relation amicale s’est instaurée entre vous. Platonique, évidemment. C’est Jill qui s’est mêlée de vos affaires, vous assommant tous les deux de suppliques pour que vous travailliez ensemble et que tu veilles à la protection de la société de sa patronne. Persuadée toutefois d’être capable de maintenir son indépendance, Satine a refusé à plusieurs reprises tes propositions, toujours faites dans l’objectif d’éviter un drame à son business humain. Malheureusement, très récemment, elle a subi le revers de la médaille que tu redoutais tant, essuyant alors l’affront d’une attaque envers sa propre personne dans le but d’obtenir sa soumission et d’être affiliée à une tierce organisation criminelle. Une nouvelle alliance risque alors de se tisser entre vous et cela a de quoi faire trembler d’effroi vos ennemis, malgré la canicule estivale.

(quelques traits de caractère: taciturne, observateur, loyal, attaché à sa fratrie, rancunier, responsable, pragmatique, aime l'adrénaline, sournois, punitif, gentleman, belliqueux, égoïste)

cause we're ready for the fame.

ancien(ne) client(e) tu as loué les services de Makan à une certaine époque; le travail a été effectué comme souhaité et le versement effectué. Auras-tu alors à nouveau besoin de son professionnalisme?

une escorte Makan te paie gracieusement pour l'accompagner dans des missions plutôt ombrageuses, généralement pour que tu occupes la future victime ou que tu lui serves de couverture en jouant sa petite-amie du moment.

cause we're ready for the fame.

Spoiler:

quel personnage 3895158862

reeeee parmi nous et bonne chance pour ta fiche
j'crois que tu connais la maison

merci infiniment 3895158862

ooooooohhhhh que j’aime ces craquages :coeur: :coeur: :coeur:
ravi de te voir te tripler, surtout avec JASOOOOOOOOON FCKING MOMOA!!!!! bonne rédaction à toi, tu connais la maison :twoh: :twoh:
ton avatar est réservé ! :coeur:

qui revoilà :siffle:
rebienvenue chez toi :string:

roh ce choix de fc 430782802

so seksy

re bienvenue sur le fo et bon courage pour la rédaction de cette nouvelle fiche qui s'annonce prometteuse

Re-Bienvenue sur le forum 2369551186

:coeur:

Date d'inscription : 08/04/2023

recoucou beauty 3507757973

quel bon choix again, j'ai vraiment hâte de découvrir la suite et de voir tout ça se développer en rp :siren:
en espérant moins de drama pour ce pauvre makan, mais est-ce que qqn y croit ?
3286105285

Merci à tous pour votre accueil 1194034422

@Jairo Kleeman Du drama? Où ça? 1046566883

Ca s'est rempli tout à coup ta fiche 1157830493

Re-re-rebienvenue 1194034422