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instant fragile (ambroise)

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Jairo Kleeman
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Pseudo IRL : simple.things.
Pronom(s) IRL : elle.
Âge IRL : 30-40.
Faceclaim : aron piper.
Crédits : ooolympia.
Statut actuel : présente.
Contact via MP : ofc.
Triggers : à priori pas de triggers particuliers, à en discuter au préalable si vous pensez que ça peut être touchy.
Warnings : drogue, coma, overdose, langage vulgaire.
Âge : le glas de la trentaine a sonné, les meilleures années exploitées déraisonnablement.
Statut civil : célibataire, l'temps passé à gâcher les relations.
Orientation sexuelle : y'a qu'les gars qui affolent ton myocarde.
Métier(s)/Étude(s) : ancien candidat de télé-réalité sur le retour, désormais persona non grata du showbiz. tu revends d'la came en désespoir de cause, et parce que t'y as vu une occasion de faire de l'oseille facilement sans changer tes habitudes de vie.
Quartier de résidence : squattage chez une amie, à durée indéterminée (même si elle n'en a pas vraiment conscience).
Zone libre : baileyezekieljay 3judïnova 3seojunspyrosthéo 3
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Jairo Kleeman



les émotions non exprimées ne meurent jamais. elles sont enterrées vivantes et libérées plus tard de façon plus laide.
s. freud.



((OOTB)) ambre souligne la faille de tes propos hypothétiques qui se veulent rassurants, t’fait comprendre qu’il n’est pas dupe et que tes mots ne sont que du vent. parce que tu ne sais rien. pas plus tard que cinq minutes en arrière, t’ignorais même l’existence de ce secret. le son d'ta voix comme un sparadrap mal appliqué sur une plaie bien trop sanguinolente pour être soignée aussi simplement. la confrontation avec nova ne t’a pas servi d’leçon, c’est pas tes paroles qui ont aidé. les tiennes sont meilleures pour détruire que pour soulager, et les siennes pourraient avoir le même impact chez les wood. cette crainte qui le gangrène et le condamne à supporter seul le poids de la révélation pesante. et si tu comprends le choix de son silence, t’es persuadé que ça reste le mauvais. ambre ne s’autorise pas à confronter son père, à rallier sa soeur, à s’affranchir de ces émotions destructrices en les partageant. gardées à l’intérieur, elles peuplent ses veines, son esprit, se développent comme un parasite. tu voudrais bien les arracher jairo, enfoncer ta main dans la poitrine, dans la cervelle, les déloger pour t’y implanter à leur place. “j’croyais que t’avais capté que ça sert à rien.” t’avances vers lui, réduis la distance pénible, tires sur le lien invisible. le myocarde affolé à l’idée qu’il t’échappe, que tu l'tiennes pas assez fort, que tu concèdes trop de libertés. reviens l’chercher. la raison écrasée sous le poids des pulsions habituellement oppressées, qui s’époumone d’une rengaine différente. laisse-le putain. c’est pas elle qui l’emportera cette fois, chassée d’une main qui s’ancre contre la nuque du supplicié, ta bulle de nouveau en collision avec la sienne. “je sais toujours quand tu mens.” c’est pas tout à fait vrai, mais pas tout à fait faux non plus. la plupart du temps, t’arrives à l’cerner suffisamment. t’es le genre perspicace jairo, qui observe avec beaucoup trop d’attention, qui remarque les détails insignifiants, qui enregistre toutes les informations. tu digères, tu tries, t’analyses. ambre, tu pourrais reproduire la couleur de ses prunelles ensorcelantes dans la moindre variation, t’y perdre même quand il n’est pas là. réciter sans te tromper les premières lignes de son bouquin préféré. désigner la marque de son parfum, l’alcool qu’il choisit selon la fluctuation d’son humeur. identifier le changement de timbre dans sa voix quand il est mal à l'aise. affirmer de la courbe de son sourire s’il appartient aux grimaces factices ou aux inclinaisons sincères. tracer sur son visage le chemin emprunté par ses larmes du coin de son œil jusqu’à sa mâchoire.

te mentir avec succès quand tu fréquentes trop longtemps et que tu t’intéresses vraiment, devient un exercice compliqué. “mais j’vais faire semblant de t’croire juste aujourd’hui.” cette fois, c’est plutôt ta propre expérience que tu projettes sur lui pour démonter l’imposture. t’avais comme lui prétendu n’en avoir rien à branler, ôté la chaîne de ton cou pendant trois années de déni, essayé de reléguer les géniteurs sur l’étagère la plus inaccessible. mais ils n’avaient fait que scander ton prénom, poussé des complaintes suffisamment pressantes pour que tu renonces à les ignorer. alors t’avais creusé, cherché, tu t’y étais pété le cœur éclaté contre un mur infranchissable. les efforts inaboutis, les nuits passées à chialer, les mauvais choix toi aussi. ça faisait probablement moins mal de nier que de s’efforcer de remonter à l'origine sans résultat. ambre lui, a le luxe de détenir l’identité de la mère, la possibilité d’une rencontre. au fond, ça t’fait crever de jalousie. et y’a pas que ça que tu lui envies jairo, y’a ce constat que son père aurait pu payer pour s’en débarrasser, camoufler la trahison, opter pour la facilité. à la place, tu comprends qu'il a préféré concéder une fraction de ses richesses pour le garder, a choisi de mettre en péril la stabilité de son couple plutôt que de le confier à une autre. ambre ne se rend pas compte que c’est sa v a l e u r qui a poussé le geste du paternel, et tu t’abstiens de le lui faire remarquer. parce que quelque part, tu t’sens moins seul depuis qu’il a craché son sale secret. sa souffrance au creux des tripes de n’être qu’un objet de troc, un bambin insuffisant qu’on a rejeté, se cristallise comme un point commun capable de souder la relation fragile. et c’est sans doute malsain, mais l’amertume est moins envahissante. ambre subitement, à tes côtés pour absorber une partie de tes propres désillusions.

tu contournes son corps, délaisses sa peau dans une caresse, lui impose de nouveau tes cercles sombres qui coulent dans les iris troublés. “j’te propose un truc.” autre chose que ça, que cet étalage de détresse qui t’laisse impuissant. parce que ta surprise n’a fait que remplir son objectif premier à son détriment, récompense décrochée au prix de la libération d’ses démons. t’avais pensé que frapper des objets inanimés pourrait constituer un échappatoire moins douloureux qu’ses phalanges violacées, salies par les fins d’soirée que tu devines chaotiques. pourtant l’idée avait blessé l’coeur tourmenté, la cervelle malmenée par les pensées déglinguées. est-ce qu’au moins la confession l’a soulagé, rien qu’un peu ?j’t’emmène piquer la meilleure bouteille d’la collection d’ton père et qui me revient de droit selon contrat dûment signé.” t’as pas oublié jairo, tous les mots gravés scrupuleusement dans l’attente de collecter tes dettes. “puis on taille la route pour kings park histoire d’lui faire honneur et d’gueuler à ces connes qui abandonnent qu’on les emmerde.” avec l’océan comme témoin, ça t’semble être un programme plus efficace pour étouffer le brasier. noyer l’chagrin en attendant d’élaborer une meilleure stratégie, ta présence en supplément. c’est toujours moins violent que des cachetons au fond du gosier et des hématomes contre l’épiderme, pas vrai ? au moins jairo, ce s’ra toi le maître de son évasion. “t’en dis quoi ?” tu tends tes doigts vers lui, l’invitation à s’en emparer pour lier les peaux, formaliser l’acceptation. et alors, tu pourras sans doute dessiner sa main dans des proportions fidèles pour l’avoir tenue une fois.

@ambroise wood

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Après moi je veux Qu'on soit malheureux.
Après moi, le déluge.
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regarde-les s'amuser
pendant que tu as l'impression d'être emprisonné.
regarde-les s'affranchir
pendant que tu as l'impression de dépérir...

gamin bancal, anxieux. tas de ramassis, d'horreur, d'enfer. les flammes se sont emportées, levées. trop hautes. ambre n'est même plus capable de savoir ce qu'il se passe de l'autre côté. atroces barrières. terrible prison. regard perdu. mensonges sifflant au creux de ses oreilles faisant trembler jusqu'à sa propre âme. celle délaissée, abîmée, cabossée. si peu d'amour propre. si peu d'envie. souffle éparse, palpitations éteintes.
jusqu'à ce qu'il dépose ses doigts contre lui. épiderme réactive. tendre geste. captivant. grisante sensation de revenir dans la réalité. à moins que ça ne soit lui qui l'entraîne dans ses songes. l'un ou l'autre. même longueur d'onde. il sait. mieux que les autres. compréhension qui dérape. virage en épingle. course effrénée sans aucune carte. virage sur la gauche puis sur la droite. précipice d'un côté, l'enfer de l'autre. chemin tortueux où ambroise s'emballe. aussi fort que son myocarde quand l'homme démon le retient. du bout des doigts.
l'impression d'être loin. impossible d'être brisé. si. par lui. mots convaincants, écrasant les songes. mensonges plus si bien maniés. mais acceptés. pour cette fois.
me lâche pas.
comme une attendrissante berceuse.
comme une effrayante supplication.
le silence à la place des mots. rien qu'une respiration, acceptant cette réalité, la leur. au moins pour les heures à venir. demain sera un autre jour. il ressemblera sûrement à ce réveil difficile, le coeur au bord des lèvres. le besoin de tout oublier, omniprésent. contre jairo, ambroise respire. pour de vrai. l'impression de retrouver une raison de redresser la tête. morceau d'espoir ou de similitude qui s'installe. rien qu'un faux-semblant. rien qu'un mensonge. rien qu'un souffle de confession, émotion éparse qui s'effacera comme les autres pour n'y laisser que les plus destructrices. celles qui brûlent et consument.
alors le gamin s'accroche. il s'accroche aux deux obsidiennes sombres s'installant dans les siennes. il s'y accroche avec hargne et violence. comme une bouée. phare éclairant un morceau de route qu'ambroise s'accapare. au moins ce soir. l'agréable poison coulant dans ses douloureuses veines, atténuant les douleurs. en créant d'autres, plus acceptables. elles feront mal plus tard, quand le dos sera tourné. quand il sera oublié. comme toujours.
jairo absorbe sa détresse, d'un clignement maladroit. rancune dissimulée, effacée. le gamin redresse sa tête et entend. écoute. sarcasmes piétinés. relation d'un jour, d'autrefois mais différente. plus dangereuse. plus passionnée. l'impression d'être compris le submerge. encore et encore. ambroise est prêt à se jeter dans ces sensations. se jeter tête la première et s'y noyer. si seulement ça pouvait être la dernière sensation de sa vie, il signerait immédiatement. nouvelle proposition, nouvelle destination. main tendue qu'il pourrait refuser. qu'il devrait refuser. le poison est dangereux.
mais c'est trop tard.
ambroise est déjà empoisonné jusqu'à la moelle. besoin destructeur.
ses doigts glissent contre les phalanges tendues. gestes tendres se transformant en une inquiétante poignée de main. pour se protéger, donner le change. tentative vaine de reprendre un semblant de contrôle qu'il lui a déjà livré de plein grès. j'pense qu'on devrait en prendre au moins deux. léger rictus. sombre mais présent. sursaut de vie. sursaut d'envie.  
main lâchée, un instant. rien que pour glisser son épiderme contre la sienne. sensation exquise dissimulée. le temps d'étaler le liquide carmin sur ses traits. yeux plissés. respiration retenue. geste de trop. reprendre contenance en lui tirant la capuche pour cacher cette foutue belle gueule. se protéger, encore. ambroise s'écarte et s'échappe avant de faire une précieuse connerie. besoin de cachetons. il aura de l'alcool à la place. parce que sa putain de drogue ce soir, c'est lui. soupire exquis, brise légère venant effacer les idées passionnantes. faux. elles sont toujours là. enfouies. ou pas. main qui récupère la sienne. dernière tentative. aller viens, on s'casse. pour se justifier. la hâte. le besoin. instinct primitif de se rapprocher de ses pairs, de se rapprocher de ce qui fait du bien.
main lâchée à contre coeur quand les anciennes grilles l'arrêtent. appuies-toi sur moi. pour monter. léger surprise au fond des astres brillants. haussement d'épaules quand il va se positionner contre le métal pour l'aider à grimper plus facilement qu'à l'arrivée. t'es blessé. premiers mots. tu t'es blessé. un geste vers son minois ensanglanté.

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((OOTB)) proposition acceptée, la signature est apposée d’une main serrée. deuxième engagement soutiré depuis vos retrouvailles cahotiques. et ce putain de frémissement sur son visage, résonne comme une victoire. t’es content mister fucking sourire, tellement que l’émotion est contagieuse et tire sur le coin des lèvres. deux bouteilles t’es pas contre jairo, même si les muscles et le crâne protesteront demain. t’accepteras toutes les conditions qu’il ajoutera en petits caractères, pour soulager les maux. ses maux. tes maux. l’équilibre fragile qui s’inverse à mesure qu’il se livre. tic tac. ambre prend des initiatives qui font tressaillir la colonne, galvanisent l’esprit. celle de te toucher en particulier, l’amarante poisseuse étalée sur les grains de beauté, le vêtement rabattu sur le front, les doigts emprisonnés contre sa paume. encore. autant de gestes superflus qui n’ont pas besoin d’exister, qui noient la raison, les idées. les pulsations en cavale, déréglées. ses pulpes sur ta peau, comme un remède à toutes les balafres sculptées dans l’organe malmené. celles qu’il a lui-même entaillées de cette même main contre le même épiderme, aussi menaçante que cajoleuse. jairo, t’es prêt à strier la peau d’autres marques de verre brisé s’il cherche ensuite à les effacer. tic tac les affronts du passé presque oubliés, dissipés par cette manifestation d’faiblesse. presque. suffit pas d’sa main sur toi pour pardonner, pas vrai ? ce serait pitoyable, ce serait minable. mais ambre va plus loin. s’arrête, te mate, s’inquiète. remarque, te remarque. manifeste un peu trop d’intérêt. c’est pas exactement c’que t’as espéré, son attention ? oui, oui, oui. son bras qui s’lève pour pointer ta gueule, c’est ton corps tout entier qui s’éloigne dans un réflexe. tu n’sais pas s’il aurait recommencé, mais on n’sait jamais. non, non, non. tu n’vas quand même pas désamorcer cette bombe qu’il t’a confiée pour cinq foutus doigts et un excès d’gentillesse. tic tac, le temps est compté pauv' con. t’es déjà tombé dans son putain d’sablier, la lente agonie a débuté. il t’reste encore la possibilité de péter les parois avec tout ce qui est à ta portée. les coudes, les genoux, le crâne, les dents. peu importe, il suffit d’une petite fissure pour vider la cage cristalline des grains asphyxiants. mais peut-être qu’il ne fera plus ce genre de choses, qu’il plongera de nouveau dans sa détresse tellement loin qu’il ne discernera plus rien d’autre autour. l’envie contradictoire que ta présence soit envahissante et insignifiante en même temps, la peur de regagner c’morceau d’affection traqué sans relâche pour l’sentir de nouveau s’arracher. parce qu’il s'arrime bizarrement, s’recolle pas tout à fait pareil. comme ces sales mioches qui découvrent sous le papier doré des cadeaux de noël un jouet réclamé depuis des mois, incapables de le manipuler quand il trône finalement entre les mains impatientes. pas par manque d’intérêt non, par crainte de le casser. parce que l’jouet même s’il est un peu bancal, un peu abimé, hypnotise la rétine. “ça va, c’pas une entaille sur la gueule qui va m’empêcher d’escalader la grille.” logique. la manche de ton pull comme un mouchoir, vient frotter ta peau souillée. et tu n’sais pas s’il fait aussi référence à ta prestation lamentable à l’arrivée, qu’il a deviné qu’un truc ne tourne pas rond chez toi. que l’corps est anormalement ridicule, comme le sien. pourquoi ? la drogue, la fatigue, ça bousille. tu t’en tiendras à ces conclusions pour l’instant, la singularité de son ascension stockée dans une partie de ton cerveau qui lui est dédiée. s’ajoutera aux milliers d’autres informations, sera traitée en temps voulu. en attendant tu boudes volontairement sa proposition, préfères grimper sans aide. tu galères autant qu’à l’aller, sans doute plus encore. “allez barbie traîne pas, la nuit nous attend.” tu t’éloignes, rejoins la moto. la cicatrice martyrisée par les excès de tes mouvements coléreux, tire et lance. vivement l’alcool dans la trachée. vivement la douleur anesthésiée. vivement son corps à tes côtés pour oublier.

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