little witch in the woods (hazel)

hazel wood
she's a woman in total control of herself
:copyright: devon cole/w.i.t.c.h

never trust or love a wild thing.

âge ~ vingt-quatre années d'insolence, une détermination hors pair et la volonté de toujours aller de l'avant. date et lieu de naissance ~ née un jour orageux de juillet mille neuf cent quatre-vingt-dix-huit à new-york, au beau milieu des panathénées. nationalité ~ américaine de cœur et d'esprit, elle revendique cependant fièrement de lointaines origines portoricaines et cubaines. métier ~ tatoueuse de renom, elle a abandonné ses études de droit en cours de route pour se consacrer à sa passion première : les arts. statut civil ~ toujours célibataire mais rarement seule, elle aime flirter, séduire, mais sans se dévoiler. une mystérieuse blonde revient cependant fréquemment la hanter. statut monétaire ~ avec un agenda booké plusieurs mois à l'avance et des files d'attente d'un kilomètre de long à chacune de ses conventions, elle ne manque de rien... et surtout pas d'argent. groupe ~ the soul on fire.

all night long slow down the song

un. l'adrénaline coule dans tes veines. tu la sens, qui bat la mesure contre tes tempes. tu sais ce que tu as à faire, et hazel ne se défile jamais. une supplique. une prière. une affirmation. une revendication. « j'arrête le droit. » ton frère, ta moitié, le sait déjà. c'est lui qui t'a aidé à prendre cette décision. mais l'annoncer à ton père, c'est plus définitif. plus... radical. tu n'attends pas son approbation. tu te suffis déjà bien assez à toi-même. mais tu ne veux pas qu'il tombe des nues en apprenant qu'il continue à payer des sommes astronomiques à une université prestigieuse pour rien. tu n'es pas sa fille parfaite et tu ne l'as jamais été, mais tu veux au moins briller par ton honnêteté. depuis la mort de ta mère il y a une quinzaine d'années, vous n'êtes plus que trois : ton frère, ton père et toi. « ce n'est pas trop tôt... tu es nulle, tu sais ? » ton père souris, et tu t'esclaffes. vous êtes soudés. c'est le plus important. deux. la musique t'emporte. une bouteille de bière à la main, une clope de l'autre, tu bouges au rythme des ondes sonores qui vibrent dans ton corps. tu vis pour les soirées. tu respires pour ces brefs moment où le soleil s'est couché et où tu flirtes avec la musique, l'alcool, la cigarette et les femmes. plus rien n'existe autour de toi que le moment présent. et tu te sens libre, enfin, de briller sans filtre. solaire et souriante. sans soucis. sans problèmes. sans inquiétude pour ton alter ego et ses penchants décadents. tu attrapes ta meilleure amie par la taille pour danser ; cette poupée un peu brisée, cette sœur de cœur qui t'aide à avancer. puis tu volettes jusqu'à cette jolie blonde que tu invites à valser. et le reste disparaît. trois. le sourire étincelant, tu trinques avec un quarantenaire bedonnant au regard lubrique. vous faites ensuite quelques pas dans l'allée tout en sirotant du champagne. bas de gamme. pouah. tes bonnes manières t'empêchent de vider la coupe dans un bac de fleurs. cette enflure est prête à payer plusieurs milliers de dollars pour s'offrir l'une de tes linogravures, mais il n'est pas capable de t'offrir une bouteille de champagne décent ? c'est pathétique. l'art d'être un gentleman se perd de nos jours. « vous disiez, mademoiselle wooods ? » tu finis ta coupe d'un trait avant de la poser sur le plateau d'un serveur. « je vous disais, monsieur appleton, que je suis ravie que vous ayez pu assister à l'inauguration de mon exposition, et qui plus est que vous ayez trouvé votre bonheur. » il te décoche un regard lourd, pesant avant de t'attraper par le poignet délicatement. « tout le plaisir est pour moi. une jeune artiste si talentueuse mérite d'être... encouragée. » à cet instant précis, tu sais exactement ce qui va se passer. ton cœur s'accélère. ton regard se fige. cet endroit de la galerie est pratiquement désert, et il le sait. il se rapproche. il prend ta tête entre ses mains moites et boudinées autour d'une alliance oxydée par les années. « monsieur appletaun ? » sans lui laisser le temps de réagir, tu lui plantes la lame de ton couteau suisse dans la cuisse. tu essuies ensuite le sang sur sa ridicule cravate à fleurs avant de l'embrasser sur la joue. « si vous recommencez, il se pourrait bien que je vise plus haut. » puis tu retournes te servir une coupe de ce champagne imbuvable, la tête haute. règle n°1 : toujours avoir un couteau suisse sur sois. quatre. les pieds dans le vide, tu observes le monde qui s'affaire en bas. les cris des passants. la sirène d'un camion de pompier. le crissement des pneus sur le bitume. new-york ne dort jamais. ton dos s'affaisse contre le balcon et tu observes le ciel, mélancolique. où est ton frère ? où ce crétin a-t-il bien pu se fourrer ? tu as souvent songé à déménager. revenir aux sources. à la simplicité. une petite maison dans la forêt, loin du monde et de ses folies, loin de ses ennuis. mais new-york ne dort jamais. et toi non plus. tu éteins ta clope dans un cendrier plein à craquer avant d'en allumer une nouvelle. parfois, tu aimerais bien pouvoir observer le ciel et les étoiles. quelques minutes sans pollution lumineuse, et surtout sans pollution sonore. mais à quoi bon ? tu finirais ici de toute façon. tu finis toujours ici. une boucle infernale. un cercle vicieux qui se répète à en perdre la tête. comme si tu étais née pour vivre ici, et connaître cette vie. un destin immuable à l'instar d'hadès et perséphone ou de de l'enlèvement des sabines. la porte claque, te tire de tes pensées. il est rentré, tout cabossé. encore. cinq. c'est la page blanche. le trou noir. le grand vide. autant craint qu'espéré, comme une renaissance de l'artiste qui trouve en son âme un second souffle pour renaître. la quintessence de l'art dans sa forme la plus pure. tu n'as plus d'idées. plus d'inspirations. plus d'envies. les projets de tatouages s'enchaînent sans t'enchanter. tu espères désespérément quelque chose sans savoir ce que c'est. on te demande des symboles basiques, primaires. des choses qui ne te ressemblent pas. « je voudrais des converses sur mon pied, comme si j'avais des chaussures, mais en fait non. » haha. c'est drôle. tu te mords les lèvres pour ne pas hurler. en rentrant chez-toi ce soir-là, tu commences à te demander si les choses pourraient un jour s'arranger. comme si, à vingt-quatre ans, tu étais déjà blasée. tu ouvres une bière, tu allumes une cigarette, et tu t'affales sur le canapé. tu traînes. tu gamberges. tu te maudis. et tu finis par inviter tes amis. lorsque les silhouettes d'une sylphide à la chevelure blonde et d'une brune explosive apparaissent à l'embrasure de ta porte, tu te dis que tu tiens peut-être une idée. alors tu sors ta tablette et tu esquisses la plus belle œuvre de ta carrière ; trois déesses de l'olympe.

cause we're ready for the fame.

Spoiler:

Bienvenue mademoiselle

Date d'inscription : 28/03/2023

bienvenuuuue officiellement parmi nous ma belle

bonne chance pour ta fiche et encore, je le dis, j'ai hate de jouer ce lien toutes les deux 3895158862

bienvenu sur le forum !
à voir ce que tu vas faire de jenna 1146254469

Bienvenue parmi nous et je suis fan de ton pseudo :coeur:

merci beaucoup les loulous. :coeur:

@camila j'ai hâte de jouer avec toi également. 859726454

@billie merci ! j'ai bien passé dix minutes à chercher donc ça me fait plaisir. 3768101868

Excellent choix d'avatara en passant

Date d'inscription : 28/03/2023

@Hazel Wood oh que oui, hâte de voir ce que cela peut donner tout ça 1146254469

Âge : 25 ans (02.11.1998)

MA BELLE ATHENAAAAAA 1194034422

Je suis trop contente de voir débarquer par ici avec cette beauté qui plus est !
Bienvenue à toi officiellement sur le forum et merci de tenter mon pl 3768101868

Et ce début de fiche mamamia 708160586

Hâte d'en découvrir davantage sur ta demoiselle et surtout n'hésite pas si tu as la moindre question sur le pl 1615483537

merci. :coeur: j'espère être à la hauteur de l'incroyable athéna. 1340082138

en tout cas je suis contente que le début de la fiche te plaise ! j'essaye de finir ça dans la journée et ensuite place au rp.