Margaret Hawkins || La victoire appartient à celui qui y croit le plus et surtout le plus longtemps.

Margaret Hawkins
Si le danger se présente, je suis prêt. Mais pourquoi le chercher ?
:copyright: Danny/Pearl Harbor
TW : abus sexuels (observatrice), emprise psychologique, violence physique et psychologique, corruption, dépression

never trust or love a wild thing.

âge ~ 26 ans date et lieu de naissance ~ 26 janvier 1997 à New York nationalité ~ américaine métier ~ diplômée en tant que médecin généraliste, tu débuteras ta troisième année de spécialisation en médecine légale à la rentrée de septembre 2023 orientation sexuelle ~ bisexuelle, tu as toujours été attirée par les deux genres sans distinction; pour autant, il est plus facile de s'affiche dans une relation hétérosexuelle au sein des hautes sphères. Néanmoins, tu ne l'as jamais dissimulé. statut civil ~ officiellement en couple depuis plusieurs années, ta relation avec ton petit-ami est à l'agonie et cela fait quelques mois que vous vivez séparément statut monétaire ~ très aisée, tu fais partie de la jeunesse dorée de New-York groupe ~ the soul on fire

all night long slow down the song

01. Jolie Nymphe venue au monde dans ce couple aux apparences idylliques, devançant de peu ton cadet. Tableau enfin complet à leurs yeux, pouvant prononcer dans un murmure ému le mot « famille » face aux regards admiratifs du combat mené pour y parvenir. Des illusions créées pour parfaire le symbole de réussite selon le modèle américain, ni plus ni moins. L’argent leur permit de s’acquitter de la lourdeur de la grossesse, en usant d’une mère porteuse pour mener cette tâche encombrante à bien. Parents trop occupés pour s’amouracher de leur innocente progéniture, vous êtes souvent confiés dans les bras de gouvernantes qui changent fréquemment de visage. Toutes abandonnent le domicile familial, tôt ou tard, après avoir osé refuser les avances assidues d’Harold Hawkins ou éreintées d’y céder trop souvent. Chantage financier et de pouvoir qui incite les victimes à se taire plutôt que de se battre. Connaître les hautes sphères politiques aide indiscutablement le patriarche à obtenir ce qu’il veut de qui il veut en toutes circonstances. Même son épouse, Jane Hawkins, pourtant au courant de l’infâmie, ne pipera point mot à ce sujet ; le mensonge est préférable à la vérité. Mieux, elle le défendra toujours becs et ongles en réfutant les accusations d’autrui, si tant est qu’une langue trop pendue daigne s’aventurer sur cette pente extrêmement glissante et qui conduisait indéfectiblement vers une rétractation définitive. 02. La peur viscérale de risquer ton existence pour un regard désapprobateur, tu la connais par cœur. Très jeune, tu fus soumise aux réactions abusives d’un père dominateur ayant le besoin irascible d’être obéi sans sommation et sans protestation. Les gifles, les coups de ceinture et les punitions correctives s’abattent sur toi et ton frère au moindre faux pas. Parfois, respirer trop bruyamment suffit à déclencher une colère sourde et grondante. Progressivement, tu adoptes le rôle qui t’incombe pour survivre à cet homme que tu dois appeler « Père » mais qui n’en possède que le titre. Jane s’écarte au possible ou participe parfois même à cette odieuse folie, sans doute car elle est tout autant terrorisée que vous ne l’êtes. Tu la méprises pour sa faiblesse de ne pas avoir su vous protéger de lui ; de n’avoir jamais su vous aimer convenablement, aussi. De vous abandonner aux funestes furies de cette ombre qui hante tes nuits sans rêve. Tu en vins à te détester toi-même d’être incapable de protester, de te contenter de courber l’échine et de clôturer ta bouche. Tu n’étais qu’une enfant ; tu l’es encore, parfois. Aujourd’hui, il ne te touche plus physiquement car les bleus visibles seraient une preuve de sa culpabilité. Les mots acerbes sont toutefois tout autant destructeurs, tu en conviens ; toujours murmurés à tes oreilles comme un chant funeste. Tu encaisses l’inacceptable, Margaret, depuis d’innombrables années ; persuadée de mériter cette cruauté sans borne qu’il considère comme une simple éducation par tes rares manquements. Il a littéralement ta vie entre ses doigts et il n’hésite pas à te le rappeler. Ou avait, plutôt, depuis que tu as pris ton indépendance mesurée. Mais malgré cette cage dorée soigneusement ouverte, tu ne sais pas t’envoler au-delà des barreaux. Tu ne l’as jamais su, Maggie, et cela t’effraie plus encore de risquer une chute mortelle plutôt que de demeurer captive de ta Némésis. Douce ironie que celle-ci ! Un jour, peut-être, oseras-tu rêver suffisamment fort pour tenter de t’évader… 03. Petit prince avec lequel tu grandis dans une entente digne d’une osmose. Jamais l’un sans l’autre, toujours enchaînés ensemble par un lien invisible mais indéfectible, vous développez toutefois des personnalités significativement différentes. Les deux facettes d’une même pièce de monnaie, éclatante et terne à la fois. Les années passent et les discordances se marquent davantage. Tu fais de ton mieux pour conserver votre relation aussi indemne que possible ; sans succès. Plus effronté et revanchard que toi, il ose déployer ses critiques sans craindre les retombés. Franchise aussi pure que tranchante, tu n’es point du même acabit et préfères les silences aux émois divulgués. Des reproches fusent à ton encontre et tu ne rétorques guère ; ton frère n’arrive point à accepter ton caractère obéissant, désireux que tu sortes de cette carapace d’acier qui entoure tes sentiments. Vous vous séparez sur le chemin de la vie, non sans que cela t’écorche l’âme chaque jour. Tu te sens abandonnée ; pas à la hauteur de celui qui partage ton sang et tes gênes. Lui qui connaît tes fêlures, il les ignore pour mener son existence comme il l’entend en dépit des prérogatives familiales. Et toi, tu te meurs de plus en plus de ne plus être réchauffée par sa lumière tant essentielle à ta survie. Sa présence te manque cruellement, Margaret, et tu n’oses toutefois la réclamer par peur d’un rejet définitif. 04. Tes séances auprès de ta psychologue se suivent depuis des années. C’est elle qui a su diagnostiquer ta dépression nerveuse et qui t’a proposée de suivre une médication pour palier aux effets les plus négatifs de ton esprit embrumé. Bien que le temps ait fait son œuvre, les effets secondaires, tels que les maux de tête, les nausées, les somnolences ou encore les insomnies, reviennent parfois au galop et t’empêchent d’être focus non-stop. Tu utilises alors des comprimés divers et variés pour contrer les indésirables, prétextant qu’il s’agit de simples vitamines auprès de tes proches qui n’en ont cure de ton état de santé. Beaucoup penseraient qu’être psychanalysée par une professionnelle est perturbant au possible et nombreux adolescents se seraient offusqués d’un tel devoir. Pas toi. Tu es consciente des fragilités de ton esprit et tu les acceptes, espérant que les comprimés bienfaiteurs réussissent à masquer le dégoût que tu te portes. Parfois, ta psychologue se contente de te laisser là, allongée sur ce divan confortable à fixer le plafond, sans piper le moindre mot. Moments de paix, tel un havre, que tu chéris fortuitement. Une déconnexion temporaire, dans ta bulle, où toutes tes pensées cessent de s’agiter. D’autres fois, tu parles de tes rares émois et de tes chimères, dans un murmure à peine audible, telle une confession inavouable. Puis, il y a aussi les besoins d’hurler son désespoir et sa rage face au monde d’injustice dans lequel tu évolues et qui te pourris les entrailles ; méthode préférable à celle de marquer ta chair délicate de tes griffes. Tu n’évoques toutefois jamais le contenu de tes séances avec quiconque. Sujet intime et douloureux que tu évinces d’un revers de la main ou d’un haussement fugace d’épaules. Une honte de plus à afficher fièrement pour ton patriarche, appuyant dessus pour laisser s’échapper l’hémoglobine psychique de tes traumatismes, lorsqu’il veut que tu te plies à ses volontés. 05. Puis il y a eu lui, ce fameux garçon dont tu t’es éprise il y a plusieurs années et qui t’a aimée en retour. Première fois que tu te livres envers autrui et que tu abats tes épaisses murailles pour laisser apercevoir ton cœur ensanglanté. Il fut longtemps cette étoile salvatrice dans ta traversée obscure, dès lors que tu sentais le froid de la nuit te transpercer. Il a réchauffé ton âme pour te laisser apercevoir les merveilles des émotions et toi, pauvre idiote, tu as croqué dans ce fruit défendu avec un appétit gargantuesque ; persuadée que ce serait une belle histoire, digne des romances évoquées dans les livres et les séries télévisées, et que vous raconteriez vos péripéties accumulées au fil des décennies, à vos petits-enfants avec nostalgie. Il n’en sera rien, Margaret, et tu le sais désormais. Cette amertume, au fond de ta gorge, ne cesse de te brûler plus fortement à chaque journée qui s’écoule. Ton ciel s’est assombrit et tu as perdu de ta clarté au profit des ombres néfastes de tes songes. « Probablement qu’il a cessé de t’aimer » raisonne ton esprit analytique tandis que ton palpitant hurle à l’homicide volontaire avec préméditation. Tu n’es pas dupe, petite nymphe. Tu sais qu’il t’échappe malgré ton envie de le retenir au creux de tes bras. Il s’est éloigné, petit à petit, laissant la plaie se rouvrir dans une lente agonie. Ce fut d’abord l’intimité et les gestes physiques qui devinrent inexistants avant qu’il n’évoque son besoin de respirer en prenant un appartement loin de celui que vous partagiez. Lui aussi, il t’a abandonnée. Rejetée. Alors tu as cédé à cet appel de l’espoir infime qu’en accédant à cette requête insensée, il te reviendrait en réalisant son erreur. Naïve enfant qui ne peut affronter la réalité sans risquer de s’engouffrer dans les méandres de son mental fissuré. 06. Tes amitiés, elles sont sacrées. Parce que si tu n’as pas choisi ta famille, tu as au moins eu le loisir d’adopter tes compagnons d’infortune. Tu es celle qui pourrait prendre des risques inconsidérés pour ceux qui te sont chers, peu importe les conséquences sur ton âme ou ton enveloppe charnelle. Si l’un d’entre eux t’appelait au beau milieu de la nuit, tu n’aurais aucune hésitation même s’il fallait dissimuler un cadavre ou mettre New-York à feu et à sang pour les sortir du pétrin. Ils sont ton oxygène ; ceux grâce à qui tu trouves la force de respirer et de poursuivre ta lutte interne contre tes noirceurs et les iniquités de ce monde. Pilier incontestable, tes épaules réconfortent, tes bras encerclent, ton sourire réchauffe, tes yeux observent, tes mots apaisent et tes oreilles écoutent. Tu es d’une loyauté sans borne, bien que ton désir de garantir la bonne entente entre tous provoque parfois des frustrations chez autrui. Tes silences peuvent être pesants tout autant que réconfortants car tu n’as point besoin de paroles pour prouver ton implication. Quiconque oserait tenter de blesser les tiens se frotterait à pire sentence que la mort. A vos risques et périls ! 07. Tes études sont une fierté pour tes proches. Brillante élève qui s’est avérée excellente dans les branches scientifiques et les mathématiques, ton destin fut tout tracé dès tes compétences révélées à tes géniteurs ; tu deviendrais médecin car telle était leur volonté. Cursus que tu as suivi avec intérêt, tu ne peux le nier, et dans lequel tu as débuté une spécialisation en médecine légale après l’obtention de ton master en médecine générale. Pourtant, tes rêves étaient différents car ton talent artistique est indéniable : peinture, croquis, esquisses et diverses formes d’art se logeaient dans ton âme et se concrétisaient sous tes doigts habiles. Secrètement, tu aurais tant aimé dessiner des créations pour des maisons de haute couture et que le monde entier puisse s’habiller. Tu as d’ailleurs réalisé plusieurs modèles pour les amies de Jane lors de galas de charité, qui ont reçu de nombreux éloges. Harold a toutefois été vindicatif à ce sujet : inutile de réellement y songer ! Le dessin n’est qu’une passion posée sur des feuilles de papier destinées à être brûlées. Une chimère inaccessible, que tu as rangée dans un tiroir enfermé à clefs. Pour autant, qui n’a jamais songé à ouvrir la boîte de Pandore?

cause we're ready for the fame.

la psychologue (f) professionnelle de la santé qui t'accompagne depuis plusieurs années, t'ayant vue devenir une jeune femme de plus en plus belle malgré ses fêlures; relation intimiste, sur le ton des confidences les plus absolues. Rapprochements parfois à la limite de la décence; attirance légère, soufflée dans un murmure de l'esprit comme une douce caresse, mais jamais divulguée.

premier amour (f/h) les émois de la jeunesse, dans cette innocence euphorique qui fit place à l'adolescence. Des regards, des promesses échangées, des frôlements du bout des doigts timides qui amenèrent à cette attirance étonnante. L'insouciance s'envola, laissant place aux plaisirs charnels; première fois offerte à toi, rose pleine d'épines, sous couvert d'un "pour toujours" qui s'effacera aussi aisément que la craie sous la pluie. Tu as disparu, par obligation plus qu'autre chose, délaissant ta bien-aimée. Lorsque tu es revenu(e), elle était amourachée d'un autre et tu es resté(e) à distance, attendant ton heure dans l'ombre. Et, justement, sa séparation prochaine pourrait te conduire à retenter ta chance... pour une nuit ou pour la vie?

cause we're ready for the fame.

Spoiler:

Date d'inscription : 05/04/2023

preums ici ! Encore rebienvenue à toi, hâte de voir ce que tu vas faire de la petite Maggie. 1615483537

merci beaucoup pour ton accueil 2369551186

BB MAGGIE :coeur:

J'ai hâte d'en lire plus et de découvrir ce bout de femme 859726454

Tes choix sont divins

SUNNY-LEY

Merci infiniment pour ton accueil et tes compliments :coeur: 3768101868

Âge : 25 ans (02.11.1998)

MAIS JE SUIS JOIE 3768101868

Tellement contente de te voir tenter Artémis (avec ce choix exquis de fc en +) 1615483537

Hâte de découvrir ta version de la poupée, même si l'aperçu que tu nous as donné est déjà incroyable !
Bon courage pour ta fiche, tu sais où nous trouver en cas de besoin gk8p8b